Et voilà, je suis arrivé à Carhaix (29) sur le site des Vieilles Charrues après une heure de voiture depuis Pont-Aven.
Arrivé vers 16h, aucun problème pour se garer dans l’artère principale de la ville, quasiment en face de l’entrée du site.
Pareil pour le camping : on pouvait planter sa tente où on voulait, aucun problème de place (donc très différent de l’année dernière).
Cette année, j’ai aussi changé de technique avant le plantage de tente : la socialisation avec mes futurs voisins en vue de déceler les velléités djembétistes (j’entends par là le syndrome du joueur de djembé, maladie très en vogue aux Vieilles Charrues).
Après un rapide tour de ronde, il s’avère que personne ne possède de djembé, génial je vais enfin pouvoir récupérer cette année.
Je plante donc ma tente, commence à tendre mes filins, déballe mon duvet, prépare à manger. Je sors pour discuter avec les amis et là que vois-je ? Non pas un, mais deux joueurs de djembé !
Purée, ils se sont incrustés parmi mes voisins comme des fourbes pendant que je m’installais ! Et que font deux joueurs de djembé quand ils se rencontrent… allez je vous laisse deviner !