enceintes-bluetooth-novodio-puresound

Ubuntu : associer une clé bluetooth avec des enceintes bluetooth Novodio PureSound

Pour mon anniversaire, j’ai eu la bonne surprise de découvrir mon cadeau : des enceintes Bluetooth Novodio PureSound, pour écouter de la musique ou des podcasts dans le salon sans pour autant rester planté devant l’ordinateur du bureau.

J’ai récupéré une vieille clé bluetooth. Je la branche, elle est détectée instantanément sous Ubuntu sans avoir à installer de pilotes additionnels. Génial.

Etape 1 : installation des paquets bluetooth

Pour commencer, j’avais enlevé il y a quelques années tous les pilotes et applications relatifs à bluetooth, étant donné que je n’avais rien sur cette machine qui disposait de cette technologie.

Du coup, il me faut réinstaller le paquet gnome-bluetooth

sudo apt-get install gnome-bluetoothCode language: JavaScript (javascript)

Etape 2 : établir une connexion permanente

Mettez l’enceinte sous tension et appuyez sur le gros bouton broadcast au dos de l’appareil pour qu’il puisse être détecté.

On lance le scan des appareils Bluetooth à portée :

hcitool scan

Résultat:

Scanning ...
	DC:2C:26:10:09:8D	Novodio PureSoundCode language: CSS (css)

Notre enceinte bluetooth Novodio PureSound est bien détectée. hcitool nous donne également son adresse MAC, que nous allons ajouter à notre configuration :

sudo nano /etc/bluetooth/hcid.conf

et on ajoute les informations relatives à notre enceinte :

device DC:2C:26:10:09:8D {
         name "Novodio PureSound"
         auth enable;
         encrypt enable;
 }Code language: JavaScript (javascript)

et on redémarre le service bluetooth

sudo service bluetooth start

Il existe une manière plus graphique d’ajouter l’enceinte : il suffit de cliquer sur Applications > Outils Système > Paramètres Systèmes > Bluetooth.

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WordPress : accorder les bonnes permissions aux fichiers et dossiers avec chown et chmod photo 2

WordPress : accorder les bonnes permissions aux fichiers et dossiers avec chown et chmod

Il est primordial d’accorder les bonnes permissions aux fichiers et dossiers d’un site sur un serveur web. Si ces permissions sont trop permissives, l’administrateur du site s’expose à la compromission du site, voire du serveur.

Sous WordPress, c’est la même chose : les fichiers et dossiers du site doivent avoir les bonnes permissions.

Le problème : des permissions trop larges

chmod-007-permis-executer-300

Sur le site, j’ai eu pendant trop longtemps un problème avec les fichiers et répertoires de thèmes ou de plugins.

Je m’explique : à chaque fois qu’un plugin voulait créer des fichiers (dans un répertoire /cache par exemple), la seule solution était de mettre les permissions de ce répertoire à 777, le mal absolu puisque cela permet au monde entier de lire, écrire et exécuter des fichiers dans ce dossier.

Pour les fichiers de thèmes éditables par WordPress, il fallait que leurs permissions soient à 666, ce qui là aussi posait un gros souci de sécurité.

Voici donc un tuto pour apprendre comment mettre les bonnes permissions à vos fichiers et dossiers pour votre site, qu’il tourne sous WordPress ou non.

Étape 1 : définir le bon propriétaire et groupe pour les fichiers

Les fichiers du site doivent appartenir au propriétaire et au groupe qui les fait tourner.

En règle générale; les serveurs de fichiers (comme Apache ou NginX) ont comme propriétaire www-data et comme groupe groupe www-data.

Dans mon cas, ayant installé les fichiers via SSH, les fichiers étaient détenus par l’utilisateur root. Je crée donc un nouvel utilisateur pour mon site:

adduser caddy www-data

Je vais donc assigner à l’utilisateur caddyet au groupe www-data la permission d’être propriétaire de mes fichiers, avec la commande chown.

Pensez à changer caddypour le nom de votre utilisateur web ou FTP.

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Linux : renommer des fichier en masse avec Thunar Bulk Renamer

Il peut être très utile d’avoir sous la main un petit utilitaire qui permet de renommer des fichiers en masse facilement.

Sous Linux, j’utilise l’outil Thunar Bulk Renamer (Thunar Renommer en masse en français) qui ressemble à ceci :

thunar-bulk-renamer

Thunar Renommer en masse

Thunar est un gestionnaire de fichiers puissant pour XFCE, dont les fonctions peuvent être étendues à l’aide de plugins.

Renommer en masse est un plugin qui permet de renommer toute une liste de fichiers très facilement, avec une interface simple et intuitive. Il permet de :

  • insérer et remplacer des noms de fichiers
  • insérer diverses manières de numéroter
  • rechercher, remplacer, supprimer des caractères
  • changer la casse

Installation de Thunar

Pour installer Thunar, il suffit de lancer :

sudo apt-get install thunarCode language: JavaScript (javascript)

Le raccourci vers l’application Thunar Bulk Renamer se trouve dans Applications > Outils Système > Renommer en masse.

Si le raccourci n’est pas créé, il suffit d’ajouter un nouveau raccourci sur le tableau de bord comme ceci :

1. clic droit sur le tableau de bord > ajouter au tableau de bord > lanceur d’application personnalisé

thunar-bulk-renamer-lanceur

2. entrez la commande suivante :

thunar --bulk-rename

3. choisissez une icône (engrampa.svg m’a semblée adéquate!) et validez.

Thunar Renommer en masse supporte aussi les expressions régulières (regex), c’est un vrai plaisir à utiliser (voir copie d’écran). Un vrai gain de temps également.

Et vous, qu’est-ce que vous utilisez pour renommer vos fichiers ?

Le logo VirtualBox d'Oracle, représentant un cube 3D avec les lettres VM, signifie ses capacités en tant que logiciel de virtualisation permettant aux utilisateurs d'exécuter plusieurs systèmes d'exploitation sur un seul ordinateur, y compris Linux.

Linux : installer VirtualBox via le PPA d’Oracle

J’ai toujours eu un peu de mal avec l’installation et la mise à jour de VirtualBox sous Linux. Il ne faut pas l’installer via les dépôts Ubuntu car ceux-ci deviennent vite obsolètes et ne seront proposées que les mises à jour de sécurité.

Il vaut donc mieux installer VirtualBox directement depuis Oracle, en installant d’abord le noyau linux, les entêtes du noyau et dkms pour éviter toutes les erreurs récurrentes au démarrage de l’application.

Voici ce que j’utilise désormais : tout est automatisé et ne prend que quelques secondes.

Etape 1 : installation des paquets pré-requis

On installe dkms et le noyau linux pour résoudre tous problèmes de dépendances ultérieurs :

sudo apt-get install build-essential dkms linux-source linux-headers-`uname -r`Code language: JavaScript (javascript)

Cela évite, entre autres, de tomber sur cette erreur lors du lancement d’une machine virtuelle :

Kernel driver not installed The VirtualBox Linux kernel driver (vboxdrv) is either not loaded or there is a permission problem with /dev/vboxdrv. Please reinstall the kernel module by executing
‘/etc/init.d/vboxdrv setup’
as root.

Etape 2 : installation de VirtualBox avec le PPA d’Oracle

Installation de VirtualBox en une seule commande :

echo "deb http://download.virtualbox.org/virtualbox/debian `lsb_release -sc` contrib" | sudo tee -a /etc/apt/sources.list.d/virtualbox.list && wget -q http://download.virtualbox.org/virtualbox/debian/oracle_vbox.asc -O- | sudo apt-key add - && sudo apt-get update && sudo apt-get install virtualbox-4.3Code language: PHP (php)

Avec cette commande, on télécharge la clé Oracle pour VirtualBox, on installe le dépôt de VirtualBox en fonction de notre version de Linux, on rafraichit la liste des paquets et on installe la dernière version de VirtualBox.

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La faille Heartbleed dans OpenSSL : mettez à jour vos serveurs

Heartbleed

heartbleed

Dans la nuit du lundi 7 au mardi 8 avril 2014, une équipe de chercheurs du Codenomicon et le chercheur Neel Mehta de Google Security ont découvert une faille dans la librairie open-source OpenSSL.

OpenSSL est une librairie utilisée pour gérer la couche SSL/TLS de nombreux logiciels (serveurs webs, webmails, VPN, messagerie instantanée…).

La faille, baptisée Heartbleed, est une vulnérabilité sérieuse dans le protocole d’encryption OpenSSL, utilisé pour chiffrer et sécuriser les connexions.

Potentiellement, cette faille permet de dérober des données normalement chiffrées et des clés privées.

Concrètement, cela signifie que toutes les données que nous avons considérées comme sécurisées ne l’étaient pas.

Heartbleed affecte approximativement 66 % des serveurs du monde entier et existe depuis décembre 2011.

En exploitant cette faille, un hacker peut lire 64 KB de la mémoire du système protégé par OpenSSL et ainsi voler les mots de passe, les clés de chiffrement, toutes les données qui transitent entre votre ordinateur et le serveur, et ensuite pouvoir se faire passer de manière transparente pour un service web ou un internaute…

Cela ne laisse aucune trace : un PoC est disponible.

Déterminer la version d’OpenSSL

Toutes les versions d’OpenSSL 1.0.1 à 1.0.1f inclus sont vulnérables. Pour savoir quelle version d’OpenSSL est actuellement installées sur votre système, tapez :

dpkg -s openssl | grep Version

La faille a été introduit dans OpenSSL en décembre 2011 et s’est retrouvé dans la nature avec la sortie d’OpenSSL 1.0.1 le 14 mars 2012.

OpenSSL 1.0.1g, sortie le 7 avril 2014, corrige Heartbleed.

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Ubuntu : graver un disque blu-ray avec K3B photo 1

Ubuntu : graver un disque blu-ray avec K3B

Je viens de faire l’acquisition d’un graveur Blu-Ray, histoire de ne pas passer mon temps à découper le contenu de mes répertoires en dossiers de 4.38 Go. J’ai opté pour un graveur externe USB, de chez Samsung.

samsung-se506bb

Premiers essais

Déballage, branchement, insertion d’un blu-ray vierge : 30 secondes. Lancement d’une gravure de 45 Go : plantage de la gravure. Second essai en créant une image disque avant : plantage de la gravure. Troisième essai, je baisse la vitesse de gravure à 2x – plantage.

Installation de cdrtools

Brasero et K3B ne peuvent pas graver de blu-rays par défaut. Il faut leur ajouter cdrtools :

sudo add-apt-repository ppa:brandonsnider/cdrtools 

On met à jour les dépôts :

sudo apt-get update && sudo apt-get upgradeCode language: JavaScript (javascript)

et on installe les paquets cdrecord et mkisofs :

sudo apt-get install cdrecord mkisofsCode language: JavaScript (javascript)

L’installation de cdrecord et mkisofs va supprimer deux paquets existants (genisoimage et wodim) et nous permettre de graver des BD sans erreurs.

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403-error

Des images qui renvoient une erreur 403

Aujourd’hui, j’édite un ancien article et le prévisualise pour voir les changements : je m’aperçois alors que l’image de l’article ne s’affiche plus.

Ni une ni deux, je sors mon terminal et tente de récupérer l’image avec wget. Erreur 403. Je vérifie la configuration Apache et Varnish, rien à signaler (et surtout rien n’avait été modifié).

Je vérifie alors le fichier via FTP : il se trouve qu’il ne possédait pas les bons droits!

Evidemment, avec un chmod 600, cela ne risque pas de s’afficher… Les autres images, celles qui s’affichaient bien et renvoyaient un code 200, étaient bien chmodées en 644.

Solution : CHMOD

Il faut donc chmoder l’ensemble des fichiers du répertoires, 640 pour les images ce sera parfait :

find /home/public_html/wp-content/uploads -type f -exec chmod 640 {} \;

et pour les répertoires, 750 c’est correct :

find /home/public_html/wp-content/uploads -type d -exec chmod 750 {} \;

Notez la différence de syntaxe : on utilise f pour les fichiers (files) et d pour les répertoires (directory).

Guide pour réaliser un bon moonwalk

Source : https://animagraffs.com/moonwalk/

Ah, le moonwalk ! Ce pas de danse iconique rendu célèbre par Michael Jackson dans les années 80 continue de fasciner et d’inspirer. Réaliser un bon moonwalk n’est pas une mince affaire ; cela demande technique, pratique et un peu de flair. Dans ce guide, nous allons décomposer le processus étape par étape, afin que vous puissiez glisser sur le sol comme le Roi de la Pop.

1. Comprendre le principe du moonwalk

Le moonwalk crée l’illusion que vous marchez en avant alors que vous glissez en arrière. La clé est dans le mouvement fluide des pieds et le contrôle du poids du corps. Avant de commencer, observez attentivement des vidéos de Michael Jackson exécutant le moonwalk. Notez la fluidité de ses mouvements et la façon dont il transfère son poids d’un pied à l’autre.

2. Choisir les bonnes chaussures et le bon sol

Pour réussir un bon moonwalk, l’équipement est crucial. Choisissez des chaussures avec une semelle lisse pour faciliter le glissement. Évitez les chaussures avec trop d’adhérence. Le sol joue également un rôle important : un sol lisse comme du parquet ou du lino est idéal. Évitez les tapis ou tout sol offrant trop de résistance.

3. Position de départ

Commencez par vous tenir droit, les pieds joints. Le secret du moonwalk est de ne jamais laisser les deux pieds toucher le sol en même temps de la même manière. Vous allez toujours avoir un pied plat et l’autre sur la pointe des pieds.

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Linux Mint : installer une imprimante HP WiFi photo

Linux Mint : installer une imprimante HP WiFi

Cela fait des mois que j’ai laissé tomber l’installation de l’imprimante HP en WiFi chez mes parents sur mon portable qui tourne sous Linux Mint Debian Edition. La cause ? L’installation qui plante à chaque fois sans le moindre message d’erreur.

Dernièrement, j’ai eu l’occasion de recevoir mon pote Nico dans mon nouveau chez moi. Il voulait changer de distribution linux et je lui avais conseillé Linux Mint (“tu verras, c’est joli ! tout en aluminium brossé !”). Il l’a donc installé et est lui aussi tombé sur l’os de l’installation du driver HP.

Voici donc les étapes que j’ai suivies pour configurer cette imprimante sur ma LMDE.

Etape 1 : lancer hp-setup en tant que root

Il suffit de lancer l’utilitaire hp-setup dans un terminal en mode graphique et en root :

gksu hp-setup

Voici le premier écran :

hp-setup-device-discovery

On se connecte à l’imprimante en WiFi donc on sélectionne l’option Network/Ethernet/Wireless network.

Ensuite, dans les options avancées, il faut utiliser la méthode de découverte du réseau pour mDNS/Bonjour.

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Linux : résoudre l'erreur "failed to execute /lib/udev/socket:@/org/freedesktop/hal/udev_event" photo

Linux : résoudre l’erreur “failed to execute /lib/udev/socket:@/org/freedesktop/hal/udev_event”

linux-logo

Après une mise à jour de votre installation Linux, et après avoir rédémarré votre machine, il est possible que vous obteniez des dizaines de messages d’erreur au moment du boot du système.

Le problème : des messages venant de Hal

Concrètement, dans demsg, on obtient toute une série de messages comme ceux-ci :

 [   12.543288] udevd[2958]: failed to execute '/lib/udev/socket:@/org/freedesktop/hal/udev_event' 'socket:@/org/freedesktop/hal/udev_event': No such file or directory
[   12.548789] udevd[2962]: failed to execute '/lib/udev/socket:@/org/freedesktop/hal/udev_event' 'socket:@/org/freedesktop/hal/udev_event': No such file or directoryCode language: JavaScript (javascript)

Solution : désinstaller hal

Et bien sachez qu’il suffit de désinstaller Hal avec :

sudo apt-get remove halCode language: JavaScript (javascript)

hal était une bibliothèque permettant l’accélération matérielle sous les systèmes GNU/linux et qui servait aux applications à découvrir et utiliser les composants de la machine.

Depuis le kernel 2.65, cette fonctionnalité a été fusionnée avec udev qui gère maintenant tout cela.

Linux : résoudre l'erreur "failed to execute /lib/udev/socket:@/org/freedesktop/hal/udev_event" photo

Linux : résoudre l’erreur “cannot open pixbuf loader module file”

linux-logo

Aujourd’hui, je ressors mon ordinateur portable sur lequel se trouve mon installation Linux Mint.

Problème : une erreur récurrente dans le terminal de mise à jour

Un nouveau pack de mise à jour est disponible donc je lance l’installation des nouveaux paquets de ma Linux Mint Debian Edition. Au cours de la mise à jour, j’obtiens l’erreur suivante :

(gtk-update-icon-cache-3.0:12015): GdkPixbuf-WARNING **: Cannot open pixbuf loader module file '/usr/lib/x86_64-linux-gnu/gdk-pixbuf-2.0/2.10.0/loaders.cache': No such file or directory

This likely means that your installation is broken.
Try running the command
  gdk-pixbuf-query-loaders > /usr/lib/x86_64-linux-gnu/gdk-pixbuf-2.0/2.10.0/loaders.cache
to make things work again for the time being.Code language: JavaScript (javascript)

L’erreur est récurrente dans le terminal d’installation et il n’y a plus moyen d’ouvrir d’images : on obtient une erreur comme quoi le format n’est pas reconnu.

Solution : recréer le cache pixbuf

La solution, partiellement donné dans le message, consiste à lancer cette commande avec le chemin complet dans un terminal :

/usr/lib/i386-linux-gnu/gdk-pixbuf-query-loaders /usr/lib/i386-linux-gnu/gdk-pixbuf-2.0/2.10.0/loaders.cache

Ce bug a déjà été mentionné sur le gug tracker de Debian : https://bugs.debian.org/cgi-bin/bugreport.cgi?bug=640150

Cela aide aussi de terminer l’installation et de lancer un petit :

apt-get update && apt-get upgrade && apt-get autocleanCode language: JavaScript (javascript)

Hop, résolu.

Serveur dédié : mise en place de l'IPv6 photo 4

Serveur dédié : mise en place de l’IPv6

IPv6 (Internet Protocol version 6) est un protocole réseau sans connexion de la couche 3 du modèle OSI.

Grâce à des adresses de 128 bits au lieu de 32 bits, IPv6 dispose d’un espace d’adressage bien plus important qu’IPv4.

Cette quantité d’adresses considérable permet une plus grande flexibilité dans l’attribution des adresses et une meilleure agrégation des routes dans la table de routage d’Internet.

La traduction d’adresse, qui a été rendue populaire par le manque d’adresses IPv4, n’est plus nécessaire.

ipv6

Fin 2013, on estime le déploiement d’IPv6 à 2 %, et ce en dépit d’appels pressants à accélérer la migration, l’épuisement des adresses IPv4 publiques disponibles étant imminent.

Histoire d’assurer la pérennité de la connexion de notre serveur Kimsufi, voici comment mettre en place l’IPv6. Cela prend à peu près 15 minutes.

Etape 1 : récupérer l’adresse IPv6

Méthode graphique : identifiez-vous dans le Manager OVH et allez dans Serveur Dédié > Récapitulatif. Vous devriez obtenir quelques informations sur la connexion de votre Kimsufi, comme ceci :

ipv6-ovh

Méthode “terminal” : un autre moyen de trouver l’IPv6 est de lancer le terminal et taper la commande ifconfig :

ifconfig

Notez bien l’adresse IPv6 du serveur, nous allons nous en servir dans la prochaine étape.

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