Avez-vous déjà été captivé par une émission sur Arte+7, mais contrarié de ne pas pouvoir la télécharger pour la regarder plus tard ? Vous n’êtes pas seul!
Beaucoup de téléspectateurs rencontrent des difficultés à télécharger des vidéos depuis Arte+7, un service de replay populaire qui propose un contenu riche et varié, car l’adresse du fichier vidéo n’est pas visible en clair et n’est pas détectée par toutes les extensions de capture de flux vidéo des navigateurs.
Heureusement, il existe une méthode simple et efficace pour télécharger vos émissions préférées sans avoir besoin de logiciels tiers complexes. Dans cet article, nous allons explorer cette méthode étape par étape.
Comprendre le défi du téléchargement sur Arte+7
Avant de plonger dans la solution, comprenons d’abord pourquoi le téléchargement de vidéos depuis Arte+7 peut sembler compliqué.
Le site d’Arte+7 utilise une technologie de streaming avancée qui rend l’adresse du fichier vidéo invisible. Cela signifie que les extensions de capture de flux vidéo courantes peuvent ne pas fonctionner comme elles le feraient sur d’autres sites.
J’ai longtemps essayé de télécharger les vidéos en regardant le code source pour identifier les flux, et ensuite utiliser des logiciels dédiés pour les télécharger… sans succès, alors qu’il existe une méthode bien plus simple et efficace.
Linux Mint Debian Edition (LMDE) est vraiment très stable et fonctionne avec des paquets éprouvés mais pas vraiment à jour.
Si vous avez du matériel récent, il est possible qu’il ne soit pas détecté – c’est le cas du pavé tactile de mon ordinateur portable – à cause du noyau linux qui laggue un peu.
A l’heure où j’écris ces lignes, Linux Mint Debian Edition utilise le kernel 3.16 alors que le dernier en date est le 4.6.3… voyons comment on peut le mettre à jour.
Le kernel Liquorix
Liquorix vient remplacer le noyau linux de votre distribution.
C’est un noyau à jour, avec des configurations supplémentaires pour les ordinateurs de travail, le multimédia et les jeux vidéos.
Installation de Liquorix
On passe root :
sudo -i
On édite le fichier sources.list d’apt :
nano /etc/apt/sources.listCode language:PHP(php)
et on y ajoute :
# liquorix kernel
deb http://liquorix.net/debian sid mainCode language:PHP(php)
On sauvegarde le fichier, on met à jour les paquets et on installe le keyring de Liquorix :
Aujourd’hui, petite mise à jour mineure de PHP7, en utilisant les dépôts DotDeb.
Le problème : PHP-FPM désactivé par défaut
A la fin de l’installation, j’obtiens ce message d’avertissement :
Setting up php7.0-fpm (7.0.8-1~dotdeb+8.1) ...
Installing new version of config file /etc/init.d/php7.0-fpm ...
NOTICE: Not enabling PHP 7.0 FPM by default.
NOTICE: To enable PHP 7.0 FPM in Apache2 do:
NOTICE: a2enmod proxy_fcgi setenvif
NOTICE: a2enconf php7.0-fpm
NOTICE: You are seeing this message because you have apache2 package installed.
[ ok ] Restarting PHP 7.0 FastCGI Process Manager: php-fpm7.0.Code language:JavaScript(javascript)
C’est bien la première fois qu’une mise à jour de PHP désactive PHP-FPM, ce n’est pas vraiment une mise à jour mineure et sans accroc.
On réactive donc les deux modules indiqués et on relance la configuration de PHP-FPM avant de relancer Apache et PHP-FPM :
Je lance le site : page d’erreur de certificat la première fois, et page blanche ensuite !
Des modules PHP à installer séparément
Après analyse des dernières lignes du fichier log d’Apache, je me suis rendu compte que le site avait besoin des modules mbstring et xml or, cette nouvelle version ne les fournit plus : ce sont maintenant des paquets à installer à part.
Voici le message d’erreur des logs:
[26-Jun-2016 08:39:12 UTC] PHP Fatal error: Uncaught Error: Class 'DOMDocument' not found in /public_html/wp-content/plugins/ginger/front/gingerfront.core.php:171
Stack trace:
#0 /public_html/wp-includes/plugin.php(235): ginger_parse_dom('...')
On installe donc mbstring et xml avant de relancer Apache et PHP :
Cette fois-ci, c’est tout bon. Tous les services sont actifs et le site est de nouveau opérationnel.
Attention donc : c’est une mise à jour mineure que j’aurais pu faire en SSH depuis mon téléphone, sans avoir les moyens de réparer à distance. Cela remet en perspective les mises à jour “on-the-go“.
Voici les nouveaux modules qui ne sont plus inclus par défaut avec PHP : bcmath, dba, mbstring, soap, xml et zip. Ce sont donc maintenant des paquets à part entière, à installer séparément.
Voici comment afficher du contenu (texte, HTML, JS, CSS ou tout autre contenu) dans un bloc DIV, après un délai que vous aurez préalablement défini, le tout en JavaScript.
C’est écrit en JavaScript pur (vanilla JavaScript), c’est-à-dire sans librairies supplémentaires, et donc compatible avec tous les navigateurs. On utilise innerHTML pour faire apparaître la div après le délai imparti.
Exemple de contenu affiché après un délai
Le texte suivant apparaît 7 secondes après le chargement de la page :
Le code : afficher le contenu d’une DIV après un délai
Voici le style CSS à placer dans l’entête de la page (HEAD) :
Ainsi que le code JavaScript qui s’occupe du délai:
/*
|-----------------------------------------------------------------------
| Delayed DIV text in vanilla JavaScript by Matt
| URL : https://www.skyminds.net
|-----------------------------------------------------------------------
|
| Returns predefined text in a DIV after a delay.
|
*/
(function(){
var element_id = 'example_div' ; /* name of div ID w/ delayed text */var delayed_text = "Ceci est un texte d'illustration pour tester l'affichage d'un bloc DIV après un délai défini.";
var time = 7; /* time in seconds until display */
setTimeout(function(){
document.getElementById(element_id).innerHTML = delayed_text;},time*1000);
})();Code language:JavaScript(javascript)
Fonctionnement du script
Voici comment fonctionne le script : on recherche le bloc DIV qui possède l’identifiant #exemple_div et on lui injecte le contenu de la variable delayed_text après le délai en secondes défini dans la variable time.
Ne pas oublier d’échapper les slash par des antislash dans les balises de fermeture (liens, paragraphes etc) dans la variable delayed_text.
Problème : aucune option pour démarrer depuis le lecteur optique
Récemment, j’ai eu à réinstaller le système d’exploitation sur un ordinateur portable. Jusque là, rien de bien nouveau.
Mais quelle ne fut pas ma surprise de constater que le l’ordre de boot du BIOS ne proposait pas l’option de démarrer depuis le lecteur optique (DVD d’installation de l’OS) !
Seuls les différents disques durs étaient disponibles à la sélection.
Solution : désactiver le Secure Boot et lancer CSM
Si cela vous arrive sur votre machine, voici comment ressuciter l’option qui permet de démarrer sur le DVD de votre OS préféré :
1. Appuyez sur “ESC” ou “F2” au démarrage pour entrer dans la configuration du BIOS,
2. Allez dans l’onglet “Security”, sélectionnez “Secure Boot Menu” et désactivez “Secure Boot Control”,
3. Sous l’onglet “Boot”, activez “Launch CSM”,
4. Sauvegardez les changements et quittez le BIOS,
5. Appuyez sur “ESC” ou “F2” pour revenir dans le BIOS,
6. Sous l’onglet “Boot”, le lecteur DVD ainsi que les clés USB sont maintenant visibles. Sélectionnez le lecteur DVD comme première option de démarrage.
7. Sauvegardez les changements, quittez le BIOS et redémarrez la machine.
Voilà, votre ordinateur portable devrait maintenant booter depuis le lecteur DVD.
Pas de clé publique disponible pour vérifier l’authenticité des dépôts
Au lancement de la mise à jour des paquets du serveur, je suis tombé sur le message d’erreur suivant :
W: There is no public key available for the following key IDs:
8B48AD6246925553
W: There is no public key available for the following key IDs:
8B48AD6246925553
W: There is no public key available for the following key IDs:
8B48AD6246925553Code language:PHP(php)
Visiblement, APT a perdu ses petits et ne retrouve plus la clé publique GPG d’un des mes dépôts (webmin en l’occurence).
Voici comment remédier au problème.
Solution : demander et ajouter la clé au trousseau GPG
Un peu de ménage dans APT
On commence par faire un peu de ménage dans les fichiers APT avec un petit coup de balai:
apt-get cleanCode language:JavaScript(javascript)
… avant de récréer le dossier lists/partial pour véritablement recréer le cache APT :
J’ai installé Ubuntu 16.04 deux mois avant la sortie officielle, quand le kernel linux était encore dans la branche 4.2.x et le pavé multitouch (Elan Pad) n’était absolument pas reconnu comme multi-touch mais comme simple souris.
Après de multiples installations de kernel, chacune ajoutant son lot de surprises comme perte de la carte vidéo après le démarrage, ronflement maximal du ventilateur du processeur, boot impossible après l’écran de démarrage GRUB… il faut se résoudre à l’évidence : mieux vaut attendre le kernel officiel, signé et testé.
Le premier kernel fonctionnel qui m’a permis de retrouver le multi-touch est le kernel 4.4.0-20, sans trop d’effets secondaires (changement du pilote graphique).
Les technologies d’authentification des emails SPF et DKIM ont été développées afin de fournir une plus grande assurance sur l’identité de l’expéditeur d’un message.
L’adoption de ces technologies a augmenté régulièrement mais le problème des emails frauduleux et trompeurs n’a pu etre réglé.
Il existe une multitude d’environnements et de systèmes différents pour envoyer des emails, et on fait souvent appel à des applications tierces pour gérer les envois.
S’assurer que chaque message peut être authentifié avec SPF ou DKIM n’est pas une mince affaire étant donné que le traitement des emails se fait en temps réel.
Si le propriétaire d’un domaine envoie un groupe de message et que certains peuvent être authentifiés et d’autres non, alors les récipiendaires de ces messages sont obligés de faire la distinction entre les messages légitimes qui ne sont pas authentifiés et les messages frauduleux qui ne sont pas authentifiés non plus.
Par nature, les algorithmes de spam sont sujets aux erreurs et doivent évoluer constamment pour répondre aux nouvelles tactiques des spammeurs. Au final, certains messages frauduleux parviendront toujours à atteindre la boite de réception du destinataire final.
Le seul moyen de résoudre ces problèmes est de partager l’information entre l’expéditeur et le destinataire. Les destinataires vont fournir des informations sur leur infrastructure d’authentification des messages et les expéditeurs vont dire aux destinataires quoi faire lorsqu’un message reçu n’est pas authentifié.
En 2007, Paypal a été pionnier dans cette approche et a construit un système avec l’aide de Yahoo! Mail puis Gmail. Les résultats ont été très probants, menant à une baisse du nombre des emails frauduleux qui se faisaient passer comme venant des serveurs de Paypal acceptés par les destinataires.
DMARC : un protocole d’authentification email
DMARC, qui signifie Domain-based Message Authentication, Reporting and Conformance est un protocole d’authentification email qui se base sur les protocoles SPF et DKIM – maintenant largement déployés – en ajoutant une fonction de rapport qui permet aux expéditeurs et destinataires d’améliorer et vérifier la protection du domaine contre les emails frauduleux.
DMARC se base sur le processus d’authentification des messages entrants et aide les destinataires à déterminer si les message est “aligné” avec ce que le destinataire connaît de l’expéditeur. Sinon, DMARC inclut une manière de gérer les messages “non-alignés”.
Voici le principe de fonctionnement de DMARC :
Il est important de noter que DMARC est basé à la fois sur les spécifications de DKIM (DomainKeys Identified Mail) et SPF (Sender Policy Framework) qui sont toujours en cours de développement par l’IETF.
Les inodes perdues ! Cette semaine, j’ai eu droit à un problème particulier sur le serveur : alors que rien dans la configuration des services n’a été changé, je me suis rendu compte que WordPress ne réagissait pas comme d’habitude.
Les symptômes les plus visibles sont la lenteur de l’application, l’impossibilité de mettre à jour ou corriger un article ou encore ajouter des tags à un nouvel article.
Je tente alors un df -i pour vérifier le nombres d’inodes disponibles :
df -i
Un nœud d’index ou inode (contraction de l’anglais index et node) est une structure de données contenant des informations à propos d’un fichier stocké dans les systèmes de fichiers Linux/Unix.
À chaque fichier correspond un numéro d’inode (i-number) dans le système de fichiers dans lequel il réside, unique au périphérique sur lequel il est situé.
Les inodes contiennent notamment les métadonnées des systèmes de fichiers, et en particulier celles concernant les droits d’accès.
Les inodes sont créés lors de la création du système de fichiers. La quantité d’inodes (généralement déterminée lors du formatage et dépendant de la taille de la partition) indique le nombre maximum de fichiers que le système de fichiers peut contenir.
Dans notre cas, catastrophe, il ne reste quasiment plus d’inodes disponibles !
Mon NAS Synology est configuré pour se mettre automatiquement à jour, ce qui est plutôt pratique puisque cela permet d’automatiser les mise à jour de sécurité et des paquets essentiels.
Hier, une nouvelle mise à jour du DSM est arrivée : DSM 6. La mise à jour s’est visiblement bien déroulée mais quelques petites choses ont été modifiées au sein du système, dont la perte d’accès root pour rsync, ce qui est problématique pour mes sauvegardes.
Le truc qui change, c’est qu’au lieu d’utiliser root comme utilisateur, il va désormais être obligatoire d’utiliser un utilisateur qui appartient au groupe administrators. Chez moi, il y en a plusieurs mais pour des raisons de simplicité, nous utiliserons l’utilisateur admin dans ce tutoriel.
Voyons donc comment donner l’accès à rsync pour l’utilisateur admin, cela ne prend que quelques minutes.
Ajouter des utilisateurs dans le groupe des administrateurs
Nous commençons par vérifier que nous possédons bien au moins un administrateur sur le NAS. Par défaut, il devrait au minimum y avoir le compte admin mais vous pourriez l’avoir désactivé pour des raisons de sécurité (c’était mon cas avant de faire cette mise à jour).
Rendez-vous dans Synology > Control Panel > Group > Administrators > Edit members:
Ici, nous avons bien l’utilisateur admin. N’hésitez pas à y ajouter vos autres utilisateurs qui possèdent les droits d’administration.
Note: profitez-en pour faire un détour par Control Panel > User et changez le mot de passe de l’utilisateur admin pour un mot de passe plus robuste.
Je me suis rendu compte en écrivant mes derniers articles que le clavier de mon ordinateur portable n’était pas bien configuré : il était en effet impossible d’écrire la lettre ê (e accent circonflexe).
Le problème est dû au choix de la configuration du clavier à l’installation du système d’exploitation. Dans ma précipitation, j’avais choisi le modèle 105 touches, sans lettres mortes.
Solution : changer la disposition du clavier
Sous Ubuntu, voici la marche à suivre pour ajouter un clavier utilisable avec les accents:
Allez dans Système > Préférences > Matériel > Clavier > Agencement,
Cliquez sur Ajouter,
Sélectionnez Pays: France puis Variantes: Français,
Enlevez la disposition du clavier précédente (“Français, sans touches mortes” pour moi),
Testez l’accent circonflexe, normalement ce devrait être réglé.
J’aime bien que mon fond d’écran change de temps en temps. Cela permet de ne pas avoir un bureau trop fixe, de ne pas avoir toujours la même image sous les yeux.
Ce qui est drôle, c’est que ce n’était pas le cas avant – je pouvais garder le même fond d’écran pendant des mois, voire même des années pour certains.
Sous linux, j’ai utilisé plusieurs programmes pour varier les fonds d’écrans comme Drapes ou Wallch mais, au fur et à mesure des nouvelles moutures de mon système d’exploitation et/ou des mises à jours des paquets et dépendances, ces programmes ont cessé de fonctionner. D’abord Drapes puis, récemment Wallch.
Je suis donc parti en croisade pour chercher une nouvelle alternative et suis tombé sur Variety, qui tourne sous tous les linux dérivés de Debian, comme Ubuntu ou Linux Mint.
Variety
Variety est donc un changeur de fond d’écran (wallpaper changer, c’est plus chic et ça sonne mieux en anglais) léger, très exhaustif en fonctionnalités et ultra-simple à prendre en main.
Il peut automatiquement télécharger de nouvelles images depuis des sources diverses, changer le fond d’écran à un intervalle donné ou à la demande et permet de trier les images pour garder les meilleures.
On peut également ajouter de nouvelles sources d’images.