Aujourd’hui, une nouvelle vidéo de Sungha Jung reprenant la chanson With or Without You de U2.
Excellente reprise, je peux me la passer en boucle.
Aujourd’hui, une nouvelle vidéo de Sungha Jung reprenant la chanson With or Without You de U2.
Excellente reprise, je peux me la passer en boucle.
Ce weekend, c’était le mariage de Clémence et Arnaud. Je me souviens que juste après le CAPES, il y a donc 3 ans maintenant, Arnaud nous avait annoncé leur projet de se marier en 2008. On l’avait tous félicité, sans toutefois prendre conscience qu’il était déjà en train de tout planifier.
Trois ans plus tard, nous recevons le faire-part : le mariage est prévu le vendredi 25 juillet à Sarzeau, dans le Morbihan. Comme prévu. Il est vraiment trop fort Arnaud. En juin, nous avions dignement fêté son enterrement de vie de garçon. Vendredi, c’était le grand jour.
Chaque année, des collègues obtiennent leur mutation et de nouveaux collègues arrivent dans l’établissement, ce qui fait que l’équipe pédagogique est sans cesse renouvelée.
Cette année, ce ne sont pas moins de 25 départs… et donc le pot des mutants s’est tenu dans la cour de récréation, juste après la répartition des classes.
Ce qui est sympa au pot c’est que c’est très champêtre : quelques tables, les gens apportent de quoi manger et boire et hop, roule ma poule !
Par contre, il faut être là à l’heure : les deux pizzas ont tenu 30 secondes à peu près. Les retardataires ont eu droit à la charcuterie.
Mention spéciale pour les gâteaux maison – je me suis encore régalé avec le brownie new-yorkais de Pierre-Jean !
Comme promis, voici mon compte rendu de l’enterrement de vie de garçon d’Arnaud. L’article est un peu long donc, une fois n’est pas coutume, il est divisé en plusieurs pages accessibles à la fin de l’article.
Il est vendredi soir et je file après les cours direction Arpajon. Enfin, filer, c’est un bien grand mot parce que le périphérique parisien le vendredi à 19, cela ne file pas. Cela glue. Heureusement que j’ai le GPS, cela facilite vraiment le trajet quand on n’a pas besoin de regarder les directions. J’arrive enfin chez Arnaud, après 1h30 de route.
Arnaud, Arthur, Fred (le cousin d’Arnaud) et Julien sont déjà là. Mathieu arrive un peu plus tard. Je découvre l’appartement d’Arnaud pour la première fois – hé oui, je n’avais pas pu venir auparavant ! Petit apéritif tranquille. On essaie de ne pas parler boulot mais bon… c’est dur de décrocher ! On a toujours une petite anecdote amusante à partager.
Arnaud met quelques pizzas à chauffer. Les canettes de bière commencent à s’amonceler gentiment sur la table. Arrive le moment du jungle speed.
Je suis vraiment mauvais à ce jeu, c’est incroyable… tout le monde l’a remarqué, même Fred et Mathieu que je rencontrais pour la première fois.
Même en me distribuant une carte sur trois, j’ai réussi à ramasser la totalité des cartes présentes sur le tapis. Hopeless.
C’est à ce moment-là qu’on attaque à la tequila : un shot de tequila, une petite pincée de sel, une bouchée de citron et une gorgée de jus de tomate pour adoucir le tout. Bis repetita placent. Au bout de quelques shots, l’anesthésie des amygdales est totale.
Ce week-end, nous avons dignement enterré la vie de garçon d’Arnaud !
Et oui, comme il se marie en juillet, il fallait bien que nous organisions un petit week-end pour lui faire sa fête comme il se doit.
Samedi soir, je suis allé voir Vinsent, un jeune guitariste de bossa nova, au Théâtre de la Reine Blanche avec le gang de la fac et de l’IUFM de Nantes : Arnaud, Arthur, Clémence et Laurène.
Nous nous sommes d’abord donné rendez-vous chez Arthur, du côté de Nation, avant de prendre une mousse près du métro. On papote un peu.
Une dizaine de stations plus tard, nous arrivons à Chapelle. Le Théâtre de la Reine Blanche se trouve à quelques rues de là. Nous rencontrons Vinsent devant la porte, qui cherche à s’en griller une pour tuer le stress.
Le gars de la billetterie, très sympa, discute avec nous du quartier et nous confie que l’Ice Bar, situé juste en face, accueille pas mal de VIP comme Céline Dion ou encore les Worlds Apart… nous lui faisons alors gentiment remarquer qu’ils sont plus “apart” que “world”, ce qui l’a bien fait rire.
Lundi soir, j’ai fêté ma pendaison de crémaillère avec Arnaud et Arthur. Il était temps – cela fait bientôt deux ans que j’habite dans cet appartement ! Cela m’a donné l’occasion de faire un bon petit ménage et de descendre à la cave quelques cartons qui embarrassaient l’entrée, ce qui est une très bonne chose.
On entame la soirée avec une petite bouteille de cidre bien fraîche accompagnée de quelques chipitos, olives et feta. On enchaîne sur quelques bières puis je me mets aux fourneaux. Au menu, j’avais prévu un petit curry de poulet avec riz et sauce de légumes plus noix de coco et fondant au chocolat en dessert.
Arnaud avait rapporté une bouteille de Château Maucaillou 1999 qui a parfaitement fait l’affaire. C’était vraiment une excellente bouteille !
Ensuite on est passé aux choses sérieuses : le jungle speed. C’est marrant mais à chaque fois que je joue à ce jeu, c’est avec Arthur et Arnaud et toujours lorsque j’ai un petit coup dans le nez. Du coup je suis un peu moins vif. Et je ramasse toujours un paquet de 50 cartes supplémentaires, à la grande joie de mes deux compères !!! On a fini tranquillement en regardant Napoleon Dynamite sur grand écran. Classy !
Vous avez sans doute remarqué qu’il n’y a pas eu d’article sur le site samedi matin comme à l’accoutumée. La faute revient à la soirée de vendredi soir, passée en compagnie d’Arnaud et Arthur, mes deux mousquetaires ex-PLC2-85. Il ne manquait que Ben. Nous nous sommes donné rendez-vous chez Arthur, dans le XXème arrondissement de Paris, un coin pas mal du tout. Le menu fut simple mais varié : bières, pizzas, quelques bouteilles de vin (dont une de Merlot – clin d’Å“il à l’IUFM de La Roche sur Yon !), shooters de rhum cubain. Le tout entre-parsemé d’anecdotes sur nos élèves, nos collègues, nos amies, le voyage d’Arthur à Cuba et le mariage d’Arnaud qui se profile à l’horizon des vacances d’été…
Un an que nous ne nous étions vu, cela en fait des choses à rattraper ! J’ai été initié au Jungle Speed. Encore un jeu auquel on va souvent m’inviter car je ramasse généralement toutes les cartes du tapis pour les ajouter à ma pile. C’est un jeu très drôle mais il faut que j’y rejoue en étant sobre !
Nous avons fini la soirée dans un bistrot pas loin de la Flèche d’Or, dont l’entrée nous a été refusée par manque de place. Ont suivies quelques tournées de rhum vanille. Des gens ont commencé à danser dans le bar, c’était assez rigolo : on se serait cru dans la période twist/jerk des années 60. Le barman a fermé le rideau du bar, qui s’est alors transformé en club privé : la musique a joué moins fort, les discussions aussi et les cendriers sont réapparus sur les tables comme par enchantement. Nous sommes sortis une heure plus tard par la porte de derrière. Passablement éméchés, nous avons alors entamé la discussion avec un couple de Québécois très sympas qui venaient d’arriver à Paris.
Et nous nous sommes couchés chez Arthur vers 4h30 du matin, ronds comme des billes ! J’ai mis 3 jours à me remettre de cette soirée… le rhum cubain, il ne rigole pas avec nos têtes !
Ce week-end, deux collègues du collège ont organisé la première soirée P.R.O.F.S de l’année, dans un restaurant basque, La Peña Festayre, situé sur le parvis de la Cité des Sciences de La Villette.
Le restaurant vaut le coup d’oeil : on se croirait dans une feria avec ces longues tables en bois, capables d’accueillir une trentaine de personnes bien serrées les unes contre les autres dans un bon esprit de camaraderie.
Arrivés les premiers, nous nous sommes installés au bon endroit : ni trop au centre, ni trop en bout de table. Du coup on a pu participer à toutes les discussions importantes, ce qui était plutôt pas mal.
Carton rouge à celles et ceux qui n’ont pas pu s’empêcher de parler boulot à table ! C’est l’un des rares moments où l’on se réunit et où l’on peut parler d’autre chose que du collège et ils n’en profitent même pas… Franchement, il y a des baffes qui se perdent.
Au menu : foie gras en entrée, grillades avec moultes pommes de terre et mi-cuit en dessert. Ayant fini notre plateau assez vite, ceux qui n’ont pas touché au leur ont fait tourner : devinez qui a mangé deux fois ? Pareil pour le dessert – nous nous en sommes chargés sans problèmes. Nous avons fait de même avec les quelques Ricards et pichets de sangria.
Arrivés à 20h, nous avons quitté la soirée vers 1h du matin, méchamment allumés il faut bien l’avouer. J’avais bien du mal à marcher droit et heureusement que nous avions un chauffeur. Super soirée, on ne s’est pas ennuyé un seul moment. Mieux vaut une soirée courte mais intense qu’une plus longue où l’on se demande ce qu’on y fait…
Ah, j’oubliais. On m’a promis une semaine douloureuse à cause des nombreuses photos qui ont été prises lors de la soirée. Ma réputation risque d’en prendre un petit coup au passage je crois !
Organiser une soirée qui reste gravée dans les mémoires de vos invités n’est pas une mince affaire. Cela nécessite un mélange harmonieux de planification minutieuse, de créativité débordante et d’une attention méticuleuse aux détails. Que ce soit pour célébrer une occasion spéciale, renforcer les liens entre amis ou simplement pour profiter d’un bon moment, chaque aspect de votre soirée doit être pensé avec soin.
Cet article est conçu pour être votre guide ultime dans l’art d’organiser des soirées mémorables. Que vous soyez un hôte expérimenté cherchant à peaufiner vos compétences ou un débutant désireux de faire une première impression marquante, vous trouverez ici des conseils et des astuces pour chaque étape de la planification.
Nous couvrirons tout, depuis la définition du thème parfait et la création d’invitations personnalisées, jusqu’à la sélection de la musique et la préparation culinaire. Vous apprendrez comment décorer de manière à captiver vos invités dès leur arrivée, et comment gérer l’espace pour maximiser le confort et la convivialité.
De plus, nous aborderons l’importance de choisir des activités divertissantes et interactives, et comment gérer l’espace pour une fluidité optimale. Vous découvrirez également comment l’art du timing parfait peut améliorer l’expérience globale de la soirée pour vous et vos invités.
En suivant ces conseils, vous serez en mesure de transformer une soirée ordinaire en un événement exceptionnel et inoubliable. Préparez-vous à plonger dans le monde fascinant de l’organisation de soirées, où chaque détail compte et chaque moment est une opportunité de créer quelque chose de vraiment spécial.
Allez, finies les vacances, les soutenances et tutti quanti ! Place au boulot maintenant : reprise avec les quatrièmes et les cinquièmes aujourd’hui. Les premiers étaient amorphes, les seconds dynamiques et cherchant à faire avancer le cours. Cela fait plaisir cela ! Pourvu que ça dure ^_^
Mais après la soutenance, il faut organiser le pot avec les collègues. J’avoue que j’avais complètement oublié ce petit détail, c’est même la prof de latin qui me l’a rappelé :
Latin – “t’es validé ? Félicitations !!! Quand est-ce que tu payes ton coup ?”
Matt – “… euh… ben… cet aprem’ !”
Du coup, j’ai eu droit à une petite virée chez Leclerc histoire de m’approvisionner en amuse-gueules et boissons éthyliques. Cela va donner demain dans la salle des profs, je peux vous le garantir.
La St Patrick avait été royale, je prédis une après-midi relativement relax pour les profs comme pour les élèves. Comment ça j’incite à la débauche ? Meuh non… et puis de toute façon cela ne se fête qu’une fois alors… hein ! ^_^
Dans une équipe, il y a ceux qui assurent et ceux qui craignent. Nous, on assure. A fond les marrons d’ailleurs, ce qui nous vaut parfois le regard exaspéré mais toujours rigolard de notre expert psychologue. Et à l’IUFM, on s’est créé un bon petit groupe de quatre (par ordre alphabétique : Arnaud, Arthur, Ben et moi-même), genre ‘fous-fous la galette’ qui n’arrêtent pas de faire les 400 coups, au grand dam de ceux qui viennent d’autres sections. Il faut aussi avouer lorsque certains connaissent les dialogues de Pulp Fiction par coeur, cela laisse des traces… you bad motherfuxx0r ! Et pour marquer le coup, nous nous sommes donnés rendez-vous vendredi soir pour un petit restau (pizzeria en fait) très sympa où je me suis régalé avec ma dame blanche… mais je m’égare. Après le restaurant vint (pun!) le bar où nous avons fini la soirée : Guinness et Desperados au menu, accompagnés de toutes les réflexions qu’on ne peut pas faire en classe par manque de temps ou d’à propos.
Et bien cela faisait bien longtemps qu’on ne s’était pas retrouvé comme ça en groupe avec des potes d’études. Cela change du tout au tout avec la première année d’IUFM où tout le monde s’ignore les yeux baissés et la tête dans les bouquins. Là je me sens revivre. Encore un petit chouillas de délire et je vais me croire replongé en 1ère/Terminale ! On pourrait se demander comment attendre de nos élèves concentration et tenue en classe lorsque nous faisons pire parfois ? Bon sujet de réflexion ça ! ;-)