Je vous présente l’OVNI musical du jour : Justin Johnson, qui nous fait une démonstration épatante en jouant de la musique avec une bêche-guitare à 3 cordes!
Admirez plutôt:
Justin Johnson est un artiste américain, surnommé “The Wizard” pour sa maîtrise des instruments à cordes.
Il est connu comme le Slidestock International Slide Guitar Champion et est sponsorisé par plusieurs fabricants de guitares dans le monde entier. Il publie des livres de théories et de techniques musicales.
Cet instrument hors du commun a été fabriqué par Roger G. Berry du Mississippi Blues Guitars à Hazlehurst, aux États-Unis.
Sympa comme son, non ? Sa maîtrise est vraiment impressionnante… et je ne regarderai plus jamais ma bêche comme avant.
Dan Tyminski est un compositeur, chanteur et musicien américain de bluegrass, surtout connu pour sa version de la chanson Man of Constant Sorrow, jouée dans le film O Brother, Where Art Thou?.
J’aime beaucoup sa chanson The Boy Who Wouldn’t Hoe Corn, accompagné de Jerry Douglas au dobro :
Dan Tyminski est membre du groupe Alison Krauss and Union Station et a lancé deux albums solo : Carry Me Across the Mountain (2000) et Wheels (2008).
C’est un joli mélange de musique celtique et de bluegrass/country, cela se marie très bien!
Voilà un bonhomme que j’aurais bien aimé voir en concert.
Rory rocks.
Paroles : “As The Crow Flies” (originally by Tony Joe White)
As the crow flies, baby Will I ain’t so far from you As the crow flies, baby Will I ain’t so far from you But since I don’t have wings I can’t get home as fast as I want to As the crow flies, baby Will I ain’t so far from you As the crow flies, baby Will I ain’t so far from you But since I don’t have wings I can’t get home as fast as I want to In a dream last night Where I heard you call my name In a dream last night Where I heard you call my name
Well, I took it as an omen And I jumped on the very first weight train Yeah, as the crow flies Well, you don’t know baby How I miss you sweet caress Well, you don’t know baby How I miss you sweet caress When I’m in your lovin’ arms I swear I make my very best As the crow flies, baby That’s how I’m on my way As the crow flies, baby I’m on my way But don’t stop runnin’ I can get home for the break of day Get home for the break of day Get home for the break of day Get home for the break of day Get home for the break of day Get home for the break of day Get home for the break of day Get home for the break of day
Tiens, cela fait longtemps que je n’ai pas fait d’article sur mes découvertes musicales. Je lance donc les articles “coups de cœur” qui ont pour but de faire découvrir quelques artistes sympas à suivre.
Joanne Shaw Taylor est une anglaise née en 1985. Son jeu est influencé par Albert Collins et Steve Ray Vaughan : style énergique, gros son de guitare, voix enrouée du blues… elle ne tarde pas à se faire remarquer par Dave Stewart (Eurythmics) alors qu’elle a 16 ans à peine. Il l’emmène dans sa tournée européenne en 2002.
Depuis, elle a sorti deux albums : White Sugar (2009) et Diamonds in the Dirt (2010). J’ai une préférence pour le premier.
Jeudi soir, je suis allé voir Natchez et Molly Hatchet au Trabendo, en compagnie d’Olivier et d’Igor, qui est le frontman du groupe de métal français Abinaya.
J’arrive pile à l’heure pour retrouver les copains. La salle est à moitié pleine seulement lorsque le concert commence.
Lundi soir, je suis allé voir Morcheeba en concert au Bataclan, boulevard Voltaire dans le 11ème arrondissement de Paris, arrêt de métro Oberkampf (ligne 5).
Comme dimanche, il y avait une file d’attente de plus de 500 mètres, qui débordait sur la rue Oberkampf.
Alors qu’on attendait, une C6 s’est arrêtée le long du trottoir pour y déposer… Philippe Bouvard. Il n’allait pas au concert. Another WTF moment.
La salle est pleine. Je me trouve une place devant la balustrade près du bar, en hauteur pour bien voir. Impeccable.
Première partie : MoonPix Recorder
MoonPix Recorder est un groupe français qui ressemble vaguement à du Radiohead. Personnellement, je n’ai pas accroché. Ceci dit, je n’aime pas vraiment Radiohead donc… bon.
A la fin de la première partie, MoonPix Recorder a envoyé un énorme ballon dans la salle. Les gens se sont donc renvoyé le ballon pendant tout le changement de set, ce qui a un peu tué le temps.
Le public est bigarré, tendance bobo parisiens.
Morcheeba
Morcheeba est un groupe britannique originaire de Douvres mélangeant downtempo, trip hop, rhythm and blues et pop. Il est formé des frères Paul Godfrey (DJ), Ross Godfrey (guitare et clavier) et de la chanteuse Skye Edwards.
Le groupe est en forme : Skye Edwards, en grande forme, flotte littéralement dans sa robe rouge qu’elle a elle-même réalisée.
Le bas de la robe est accroché à ses mains, ce qui fait qu’elle ressemble à un papillon lorsqu’elle bouge ses bras.
Ajoutez à cela le ventilateur qui se trouve devant elle et on dirait qu’elle flotte sur scène, avec le vent qui joue dans les replis de sa robe. C’est du plus bel effet sur scène.
George Thorogood est un musicien de blues-rock américain qui a formé le groupe George Thorogood & the Destroyers au début des années 1970. Sa musique est souvent associé au monde biker.
Vendredi soir, je suis allé entendre Popa Chubby au Bataclan. Arrivé juste à l’heure, j’aperçois Arnaud et Arthur, bière à la main, m’attendant tranquillement accoudés à la table des goodies à l’effigie du groupe.
Le temps d’aller chercher ma coupe de houblon et de trinquer avec les copains, Popa entre sur scène, saluant le public les bras grands ouverts. Il se porte toujours aussi bien et portait son chapeau de feutre noir.
Pour la petite histoire, Popa Chubby, de son vrai nom Ted Horowitz, est un chanteur et guitariste de blues et de rock new-yorkais. Son nom de scène est tiré d’une expression d’argot, “pop a chubby”, qui signifie “avoir une érection”. Chacun de ses albums est un concept en lui-même. Son style agressif fait de lui le leader d’un genre musical nouveau, le New York City Blues.
Hier soir, je suis allé voir les Counting Crows au Bataclan, dans le XIème arrondissement de Paris. C’est la première fois que j’allais au Bataclan : c’est une salle moyenne mais bien conçue – avec une fosse circulaire, un second niveau derrière une balustrade et un premier étage avec les faulteuils – qui peut accueillir pas mal de monde finalement.
Hier soir, j’ai assisté au concert donné par Paul Personne et Hubert-Félix Thiéfaine à l’Olympia, en compagnie d’Olivier, un collègue d’histoire-géographie plutôt rockeur.
Arrivés dans la salle, nous constatons que tous les fauteuils ont été retirés, signe qu’il va y avoir du monde. D’ailleurs la salle est déjà à moitié remplie.
On s’assoit, histoire de ne pas se fatiguer inutilement. L’air est frais à cause de la climatisation qui souffle du sol : mieux vaut avoir un petit pull !
Première partie : Catleya
Une fois n’est pas coutume, j’ai – momentanément mais je compte sur vous pour me rafraichir la mémoire! – oublié le nom du groupe qui a joué en première partie. Le groupe Catleya, normalement composé de quatre personnes, ne comprenait que le guitariste et la chanteuse… ce qui est un peu étrange : lorsque l’on a la chance de venir jouer à l’Olympia, on vient normalement avec le groupe au complet, non ?