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Installer LineageOS (Android 9.0 Pie) sur le OnePlus One

lineageos

Aujourd’hui, j’ai installé LineageOS (Android 9.0 Pie) sur mon OnePlus One, histoire de lui redonner un second souffle et de bénéficier des dernières mises à jour de sécurité Android.

Le OnePlus One (OPO) est sorti en mai 2014, il a donc quelques années derrière lui et tourne sous CyanogenMod 13, c’est-à-dire Android 6.0.1 (Marshmallow). Autant dire qu’il n’a pas vu de correctifs de sécurité depuis quelques années!

Étape 1: activer le débogage USB

Sur le téléphone, on commence par activer le mode développeur:

  1. Ouvrez Paramètres > A propos du téléphone.
  2. Tapez 7 fois sur le numéro de build.
  3. Vous venez d’activer le mode développeur!

Grâce au mode développeur, vous avez maintenant accès à des options qui n’étaient pas visibles auparavant et qui vont nous être nécessaires.

Pour activer le débogage USB:

  1. Ouvrez Paramètres > Options pour les développeurs
  2. Activez l’option Débogage Android
  3. Désactivez l’option Mettre à jour la récupération CyanogenMod (sinon l’installation du recovery sera impossible).

Étape 2: installation d’ADB

Android Debug Bridge (adb) est un outil de développement qui facilite la communication entre un appareil Android et un ordinateur. Cette communication s’effectue soit par câble USB, soit en WiFi.

Branchez votre OnePlus One en USB.

Téléchargez les derniers pilotes ADB issus du SDK Android puis décompressez l’archive.

Ouvrez le terminal, rendez-vous dans le répertoire platform-tools et listez ensuite votre téléphone avec cette commande:

./adb devices

Résultat:
List of devices attached
b4be4c53	deviceCode language: PHP (php)

Notre OnePlus One est bien détecté. On reboot en mode fastboot:

./adb reboot bootloader

On liste les appareils détectés par fastboot:

./fastboot devices

Résultat:
b4be4c53    fastboot

Attention, c’est la commande qui va effacer vos données donc pensez à sauvegarder avant!

On déverrouille le bootloader avec:

./fastboot oem unlock
                                                    OKAY [  0.168s]
 Finished. Total time: 0.168s

La partition est effacée, le téléphone va rebooter deux fois puis vous présenter le choix de la langue… comme au premier jour.

Comme c’est un reset de l’appareil, il faut de nouveau activer le débogage USB (étape 1).

Étape 3: installation de TWRP (custom recovery)

Téléchargez TWRP pour OnePlus One (bacon) puis placez le fichier dans le dossier platform-tools, c’est plus commode.

Connectez le téléphone en USB. Ouvrez le terminal et entrez:

./adb reboot bootloader

Puis, on vérifie que fastbootdétecte bien le téléphone:

./fastboot devices
b4be4c53	fastboot

Et on flash TWRP:

./fastboot flash recovery twrp-3.2.3-20190125-bacon.img

Sending 'recovery' (12068 KB)                      OKAY [  0.382s]
Writing 'recovery'                                 OKAY [  0.224s]
Finished. Total time: 0.643sCode language: JavaScript (javascript)

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Activer SSH sous CPanel photo 4

SSH : solution pour l’erreur “Permissions 0644 for ‘id_rsa.pub’ are too open”

Lors d’une connexion SSH sur le serveur d’un client chez WPEngine, je suis tombé sur le message d’erreur suivant:

@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@
@         WARNING: UNPROTECTED PRIVATE KEY FILE!          @
@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@
Permissions 0644 for '/Users/matt/.ssh/id_ed25519.pub' are too open.
It is required that your private key files are NOT accessible by others.
This private key will be ignored.
Load key "/Users/matt/.ssh/id_ed25519.pub": bad permissionsCode language: PHP (php)

Voici la commande que j’avais entré:

ssh -i ~/.ssh/id_ed25519.pub -o IdentitiesOnly=yes EXAMPLE@wEXAMPLE.ssh.wpengine.netCode language: JavaScript (javascript)

Au lieu d’utiliser ma clé privée, j’ai utilisé ma clé publique (id_ed25519.pub) qui – comme elle est publique – bénéficie de droits plus large que la clé privée.

Il faut donc relancer la commande en retirant l’extension .pub du chemin de la clé, pour que la clé privée soit prise en compte:

ssh -i ~/.ssh/id_ed25519 -o IdentitiesOnly=yes EXAMPLE@wEXAMPLE.ssh.wpengine.netCode language: JavaScript (javascript)

Dès lors, plus de problème de connexion et la connexion sur le serveur WPEngine se fait sans souci:

  ____  _____  _____
 ╱   ▕ ▕    ▕ ▕    ▕
▕    ▕ ▕    ▕ ▕    ▕
▕____▕  ╲___╱  ╲___▕                                      ▫
 ____           ____     ▃  ▃  ▃  ▃▃▃    ___   __    __      __   ___
▕    ▕    _    ╱   ▕     █  █  █ ▕█▀▀▙  ▕___) |  ▕  ╱  ▕ ▕  |  ▕ ▕___)
▕    ▕   ( )  ▕    ▕      ██ ██  ▕███▛  ▕     |  ▕ ▕   ▕ ▕  |  ▕ ▕
▕____╱    ‾    ╲___▕       █ █   ▕█      ╲__╱ |  ▕  ╲__▕ ▕  |  ▕  ╲__╱
 ____    ___   ___                                  ___╱
▕    ╲  ╱   ╲ ▕    ╲
▕    ▕ ▕    ▕ ▕    ▕
▕____╱ ▕____▕ ▕____▕

WP Engine Shell - PHP 7.3
Obtenir le statut de toutes les jails fail2ban photo

Obtenir le statut de toutes les jails fail2ban

fail2ban jails 1280x853

Si vous utilisez fail2ban sur votre serveur dédié – et vous devriez! – il peut être vraiment utile de lister les statuts de toutes les jails fail2ban.

Cela permet de voir quelles sont les jails actives et de vérifier qu’il n’y a aucun problème de configuration.

On peut obtenir le statuts de toutes les jails fail2ban avec la commande suivante:

fail2ban-client status | sed -n 's/,//g;s/.*Jail list://p' | xargs -n1 fail2ban-client statusCode language: JavaScript (javascript)

Voici un exemple de résultat de la commande:

Status for the jail: pam-generic
|- Filter
|  |- Currently failed:	0
|  |- Total failed:	0
|  `- File list:	/var/log/auth.log
`- Actions
   |- Currently banned:	0
   |- Total banned:	0
   `- Banned IP list:
Status for the jail: postfix
|- Filter
|  |- Currently failed:	0
|  |- Total failed:	4482
|  `- File list:	/var/log/mail.log
`- Actions
   |- Currently banned:	0
   |- Total banned:	223
   `- Banned IP list:
Status for the jail: sasl
|- Filter
|  |- Currently failed:	4
|  |- Total failed:	14126
|  `- File list:	/var/log/mail.log
`- Actions
   |- Currently banned:	4
   |- Total banned:	1927
   `- Banned IP list:	45.148.10.70 46.38.144.17 46.38.144.202 46.38.144.32
Status for the jail: sshd
|- Filter
|  |- Currently failed:	0
|  |- Total failed:	0
|  `- File list:	/var/log/auth.log
`- Actions
   |- Currently banned:	0
   |- Total banned:	0
   `- Banned IP list:Code language: PHP (php)

A garder dans sa trousse à outils!

MySQL: résoudre l'erreur "Incorrect datetime value" lors d'opérations sur les tables photo

MySQL: résoudre l’erreur “Incorrect datetime value” lors d’opérations sur les tables

mysql logo compressor 1280x662

Depuis le passage du site sur le nouveau serveur, ORION, j’utilise MySQL 8 en lieu et place de MariaDB, histoire de tester les les gains de performance.

Or, avec la nouvelle configuration de MySQL par défaut, vous pouvez obtenir cette erreur lors de simples opération de maintenance comme l’optimisation des tables:

example.wp_comments: Table does not support optimize, doing recreate + analyze instead
example.wp_comments: Invalid default value for 'comment_date'
example.wp_comments: Operation failed
example.wp_et_social_stats: Incorrect datetime value: '0000-00-00 00:00:00' for column 'comment_date' at row 1
example.wp_et_social_stats: Invalid default value for 'comment_date'
example.wp_et_social_stats: Table does not support optimize, doing recreate + analyze instead
example.wp_et_social_stats: Invalid default value for 'sharing_date'
example.wp_et_social_stats: Operation failedCode language: JavaScript (javascript)

Cela est dû à un changement de configuration, notamment dans la directive sql_mode depuis MySQL 5.7.

Voyons-donc ce que contient la directive par défaut. Identifiez-vous sur le serveur MySQL:

mysql -u root -p

Puis vérifiez le contenu de la variable de configuration sql_mode:

show variables like 'sql_mode';Code language: JavaScript (javascript)

Résultat:

+---------------+-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------+
| Variable_name | Value                                                                                                                 |
+---------------+-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------+
| sql_mode      | ONLY_FULL_GROUP_BY,STRICT_TRANS_TABLES,NO_ZERO_IN_DATE,NO_ZERO_DATE,ERROR_FOR_DIVISION_BY_ZERO,NO_ENGINE_SUBSTITUTION |
+---------------+-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------+
1 row in set (0.02 sec)Code language: JavaScript (javascript)

Ce qui pose problème, ce sont ces deux directives: NO_ZERO_IN_DATE et NO_ZERO_DATE.

Deux solutions s’offrent à nous : éditer la valeur directement depuis la console mysql ou alors depuis le fichier de configuration my.cnf.

Méthode 1 : éditer la valeur de sql_mode depuis la console MySQL

Si vous vous trouvez toujours dans la console mysql, vous pouvez lancer la reqête suivante, qui enlève les drapeaux NO_ZERO_IN_DATE et NO_ZERO_DATE à notre directive sql_mode:

SET sql_mode = 'ONLY_FULL_GROUP_BY,STRICT_TRANS_TABLES,ERROR_FOR_DIVISION_BY_ZERO,NO_ENGINE_SUBSTITUTION';Code language: JavaScript (javascript)

Relancez ensuite le serveur:

service mysql restart

Méthode 2 : éditer la valeur de sql_mode depuis le fichier de configuration MySQL (my.cnf)

Nous allons donc éditer notre fichier de configuration MySQL:

nano /etc/mysql/mysql.conf.d/mysqld.cnf

Et ajouter (ou modifier) la variable de configuration sql_mode en l’amputant des valeurs NO_ZERO_IN_DATE et NO_ZERO_DATE:

sql_mode=ONLY_FULL_GROUP_BY,STRICT_TRANS_TABLES,ERROR_FOR_DIVISION_BY_ZERO,NO_ENGINE_SUBSTITUTION

Enregistrez le fichier puis redémarrez le serveur mysql:

service mysql restart

Vous pouvez désormais lancer des requêtes de maintenance ou de modification de la structure des tables de la base de données sans problèmes.

Activer SSH sous CPanel photo 4

Résoudre l’erreur SSH: Missing privilege separation directory: /run/sshd

Sur un nouveau serveur à base d’Ubuntu Server 18.04, j’obtiens cette erreur à la suite d’un test du service ssh:

sshd -t

Could not load host key: /etc/ssh/ssh_host_ed25519_key
Missing privilege separation directory: /run/sshdCode language: JavaScript (javascript)

Les solutions à ces deux problèmes sont triviales, cela se règle en deux petites commandes.

L’erreur Could not load host key

L’erreur Could not load host key survient lorsque certaines clés SSH n’ont pas été générées lors de l’installation du système d’exploitation du serveur.

Dans le cas du serveur qui nous occupe, il nous manque la clé de chiffrement ED25519 qui doit se trouver à l’adresse /etc/ssh/ssh_host_ed25519_key.

Pour générer toutes les clés de chiffrement SSH manquantes, une seule commande suffit:

ssh-keygen -A

L’argument -A signifie que l’on génère toutes les clés (All keys). Voici le résultat sur le serveur:

ssh-keygen: generating new host keys: ED25519Code language: JavaScript (javascript)

L’erreur Missing privilege separation directory: /run/sshd

Cette erreur apparaît lorsque le répertoire mentionné – ici /run/sshd – n’a pas été correctement créé. Il suffit de le créer:

mkdir -p /run/sshd

Vérifiez la configuration SSH:

sshd -t

S’il n’y a plus d’erreur, vous pouvez alors redémarrer le service ssh:

service ssh restart

Et voilà, problèmes réglés.

Linux : obtenir la valeur numérique du chmod photo

Linux : obtenir la valeur numérique du chmod

chmod permissions compressor

Je vous ai déjà parlé du chmod et du chown de manière extensive mais aujourd’hui on va un tout petit peu plus loin.

La valeur du chmod telle qu’elle apparaît dans le terminal est un peu esotérique. Prenons par exemple le chmod d’un fichier standard de WordPress : -rw-r-----, cela demande une petite gymnastique intellectuelle pour réaliser quels sont les droits véritables.

Je vous propose donc une petite commande qui va vous simplifier la vie, de manière à vous donner la valeur numérique du chmod des fichiers et répertoires.

Il vous suffit d’utiliser la commande stat comme ceci, dans votre fenêtre de terminal:

stat -c '%a %U:%G %n' *Code language: JavaScript (javascript)

Notes:

  • -c permet de formater la sortie avec la template entre apostrophes
  • %a donne la valeur octale du chmod
  • %U donne le nom de l’utilisateur du chown
  • %G donne le groupe de l’utilisateur du chown
  • %n donne le nom du fichier

Et voilà simple et efficace!

Serveur dédié : installation de MariaDB 10.3 photo

MariaDB : résoudre l’erreur “Column count of mysql.proc is wrong”

Sur l’un des serveurs de mes clients Codeable, j’ai mis à jour MariaDB de la version 10.1 à la version 10.3 et voici ce que retournait MariaDB lors du lancement de procédures:

ERROR 1558 (HY000): Column count of mysql.proc is wrong. Expected 21, found 20. 
Created with MariaDB 100212, now running 100303. 
Please use mysql_upgrade to fix this errorCode language: JavaScript (javascript)

Si cela arrive, pas de panique: MariaDB fonctionne et le site s’affiche mais la base de données mysql n’a pas été mise à jour par apt, il faut lancer la procédure d’installation manuellement, depuis le terminal.

On met donc la base mysql à jour avec mysql-upgrade:

mysql_upgrade -u root -p

et on relance MariaDB:

service mysql restart

La routine de mise à jour mysql_upgrade permet de mettre à jour la base interne de MariaDB, qui évolue au fil des mises à jour.

Au redémarrage du service, plus de problème avec les procédures SQL.

WordPress : résoudre le problème de la table wp_options à qui manquent une colonne Unique et une Primary Key photo

WordPress : résoudre le problème de la table wp_options à qui manquent une colonne Unique et une Primary Key

Chez Codeable, j’ai travaillé sur l’optimisation d’un site e-commerce propulsé par WooCommerce récemment, qui connaissait quelques problèmes de lenteur.

Sous phpMyAdmin, on trouvait également cette erreur:

Current selection does not contain a unique column

Si vous obtenez cette erreur, c’est que la structure de la table wp_options n’est pas à jour donc nous la vérifions avec wp-cli:

wp db query "DESCRIBE $(wp db prefix --allow-root)options" --allow-rootCode language: JavaScript (javascript)

Le résultat obtenu nous montre qu’il n’y a pas de clé primaire (primary key) qui est normalement option_id et qu’il n’y a pas de restriction unique imposée sur la colonne option_name:

+--------------+---------------------+------+-----+---------+-------+
| Field        | Type                | Null | Key | Default | Extra |
+--------------+---------------------+------+-----+---------+-------+
| option_id    | bigint(20) unsigned | NO   |     | NULL    |       |
| option_name  | varchar(191)        | YES  |     | NULL    |       |
| option_value | longtext            | NO   |     | NULL    |       |
| autoload     | varchar(20)         | NO   |     | yes     |       |
+--------------+---------------------+------+-----+---------+-------+Code language: PHP (php)

Et c’est là que le bât blesse – voici à quoi ressemble la structure standard de la table wp-options:

+--------------+---------------------+------+-----+---------+----------------+
| Field        | Type                | Null | Key | Default | Extra          |
+--------------+---------------------+------+-----+---------+----------------+
| option_id    | bigint(20) unsigned | NO   | PRI | NULL    | auto_increment |
| option_name  | varchar(191)        | NO   | UNI | NULL    |                |
| option_value | longtext            | NO   |     | NULL    |                |
| autoload     | varchar(20)         | NO   | MUL | yes     |                |
+--------------+---------------------+------+-----+---------+----------------+Code language: PHP (php)

Ajouter la Primary Key manquante à wp_options

On ajoute à la colonne option_id la clé primaire qui lui manque:

wp db query "ALTER TABLE $(wp db prefix --allow-root)options MODIFY option_id INT AUTO_INCREMENT PRIMARY KEY;" --allow-rootCode language: JavaScript (javascript)

Et on vérifie le résultat:

wp db query "DESCRIBE $(wp db prefix --allow-root)options" --allow-rootCode language: JavaScript (javascript)

Ajouter la contrainte Unique qui manque à wp_options

Pour ajouter la contrainte UNIQUE à la colonne option_name, on lance:

wp db query "ALTER TABLE $(wp db prefix --allow-root)options ADD UNIQUE (option_name);" --allow-rootCode language: JavaScript (javascript)

Là, il est possible que cela bloque, suivant ce qui se trouve dans votre table wp_options.

Résoudre le problème des doublons

Si vous obtenez une erreur comme :

ERROR 1062 (23000) at line 1: Duplicate entry 'jetpack_available_modules' for key 'option_name'Code language: JavaScript (javascript)

alors cela signifie qu’il existe des enregistrements option_name dupliqués, des doublons qui portent le même nom alors que chaque nom option_name devrait être unique.

On peut obtenir la liste des enregistrements option_name doublons avec cette requête:

wp db query "SELECT option_name, COUNT(*) optioncount FROM $(wp db prefix --allow-root)options GROUP BY option_name HAVING optioncount > 1 ORDER BY optioncount DESC;" --allow-rootCode language: JavaScript (javascript)

Par ordre ascendant, voici la liste des doublons:

+---------------------------------------------+-------------+
| option_name                                 | optioncount |
+---------------------------------------------+-------------+
| jetpack_callables_sync_checksum             |       47123 |
| jetpack_sync_full_config                    |          50 |
| jetpack_sync_full_enqueue_status            |          43 |
| jpsq_sync_checkout                          |          10 |
| jetpack_sync_full__params                   |           5 |
| jetpack_sync_settings_sync_via_cron         |           4 |
| jetpack_sync_full__started                  |           4 |
+---------------------------------------------+-------------+

On peut supprimer automatiquement tous les doublons option_name de deux manières différentes, soit en utilisant la plus vieille valeuroption_id(donc la plus petite valeur d’ID), soit en utilisant la valeuroption_id la plus récente (plus grande valeur d’ID).

Garder le doublon option_name le plus ancien

Voici la requête SQL qui montre uniquement le plus ancien enregistrement (MIN) option_id pour chaque doublon de valeur option_name:

SELECT *
FROM wp options
WHERE option_id NOT IN
    (SELECT *
     FROM
       (SELECT MIN(n.option_id)
        FROM wp_options
        GROUP BY n.option_name) x)Code language: CSS (css)

Une fois que vous avez vérifié le résultat, on peut passer à la suppression.

Cette requête SQL garde l’enregistrement (MIN) option_id le plus ancien de tous les doublonsoption_name et supprime tous les enregistrements plus récents que la valeur trouvée:

DELETE
FROM wp options
WHERE option_id NOT IN
    (SELECT *
     FROM
       (SELECT MIN(n.option_id)
        FROM wp_options n
        GROUP BY n.option_name) x)Code language: CSS (css)

Voici l’équivalent wp-cli:

wp db query "DELETE FROM $(wp db prefix --allow-root)options WHERE option_id NOT IN (SELECT * FROM (SELECT MIN(n.option_id) FROM $(wp db prefix --allow-root)options n GROUP BY n.option_name) x)" --allow-rootCode language: JavaScript (javascript)

Garder le doublon option_name le plus récent

Cette requête SQL ne montre que les enregistrements option_id les plus récents (MAX) pour tous les doublons option_name :

SELECT *
FROM wp_options
WHERE option_id NOT IN
    (SELECT *
     FROM
       (SELECT MAX(n.option_id)
        FROM wp_options n
        GROUP BY n.option_name) x)Code language: CSS (css)

Et voici la requête qui permet de garder les enregistrements option_id les plus récents (MAX) pour tous les doublons option_name en supprimant tous les doublons les plus anciens:

DELETE
FROM wp_options
WHERE option_id NOT IN
    (SELECT *
     FROM
       (SELECT MAX(n.option_id)
        FROM wp_options n
        GROUP BY n.option_name) x)Code language: CSS (css)

Voici l’équivalent wp-cli pour garder l’enregistrement option_name le plus récent:

wp db query "DELETE FROM $(wp db prefix --allow-root)options WHERE option_id NOT IN (SELECT * FROM (SELECT MAX(n.option_id) FROM $(wp db prefix --allow-root)options n GROUP BY n.option_name) x)" --allow-rootCode language: JavaScript (javascript)

Vérifier les clés et contraintes de la table wp_options

Ajoutons de nouveau la contrainte UNIQUE sur la colonne option_name :

wp db query "ALTER TABLE $(wp db prefix --allow-root)options ADD UNIQUE (option_name);" --allow-rootCode language: JavaScript (javascript)

Si vous n’obtenez pas d’erreur, vérifiez la table une nouvelle fois pour constater les changements:

wp db query "DESCRIBE $(wp db prefix --allow-root)options;" --allow-rootCode language: JavaScript (javascript)

Kaboom! Votre table wp_options possède maintenant une PRIMARY KEY sur la colonne option_id et la contrainte UNIQUE sur la colonne option_name:

+--------------+---------------------+------+-----+---------+----------------+
| Field        | Type                | Null | Key | Default | Extra          |
+--------------+---------------------+------+-----+---------+----------------+
| option_id    | bigint(20) unsigned | NO   | PRI | NULL    | auto_increment |
| option_name  | varchar(191)        | NO   | UNI |         |                |
| option_value | longtext            | NO   |     | NULL    |                |
| autoload     | varchar(20)         | NO   |     | yes     |                |
+--------------+---------------------+------+-----+---------+----------------+Code language: PHP (php)

Je vous conseille de vérifier la structure de la table de temps à autre, notamment si vous constatez une prise de poids anormale en très peu de temps

Serveur dédié : installation de MariaDB 10.3 photo

MariaDB ne veut plus redémarrer : quelques solutions

MariaDB ne veut plus se lancer

Sur le serveur chinois que j’ai monté pour un de mes clients sur Codeable, le site a commencé à afficher des erreurs étranges : erreur 502 pour nginx sur certaines pages et des nombres étranges en lieu et place des données de la base de données.

Après un redémarrage des services PHP, nginx et mysql, je constate que MariaDB veut bien s’arrêter mais ne veut plus de lancer.

Voici ce que donne:

systemctl status mariadb.serviceCode language: CSS (css)

Résultat:

● mariadb.service - MariaDB database server
   Loaded: loaded (/lib/systemd/system/mariadb.service; enabled; vendor preset: enabled)
   Active: failed (Result: exit-code) since Mon 2019-04-22 18:14:22 CST; 59s ago
  Process: 721 ExecStartPost=/bin/sh -c systemctl unset-environment _WSREP_START_POSITION (code=exited, status=0/SUCCESS)
  Process: 718 ExecStartPost=/etc/mysql/debian-start (code=exited, status=0/SUCCESS)
  Process: 12274 ExecStart=/usr/sbin/mysqld $MYSQLD_OPTS $_WSREP_NEW_CLUSTER $_WSREP_START_POSITION (code=exited, status=1/FAILURE)
  Process: 12179 ExecStartPre=/bin/sh -c [ ! -e /usr/bin/galera_recovery ] && VAR= ||   VAR=`/usr/bin/galera_recovery`; [ $? -eq 0 ]   && systemctl set-environment _WSREP_START_POSITION=$VAR || exit 1 (code=exited,
  Process: 12176 ExecStartPre=/bin/sh -c systemctl unset-environment _WSREP_START_POSITION (code=exited, status=0/SUCCESS)
  Process: 12173 ExecStartPre=/usr/bin/install -m 755 -o mysql -g root -d /var/run/mysqld (code=exited, status=0/SUCCESS)
 Main PID: 12274 (code=exited, status=1/FAILURE)
   Status: "MariaDB server is down"
systemd[1]: Starting MariaDB database server…
mysqld[12274]: 2019-04-22 18:14:19 140194687476288 [Note] /usr/sbin/mysqld (mysqld 10.1.26-MariaDB-0+deb9u1) starting as process 12274 …
systemd[1]: mariadb.service: Main process exited, code=exited, status=1/FAILURE
systemd[1]: Failed to start MariaDB database server.
systemd[1]: mariadb.service: Unit entered failed state.
systemd[1]: mariadb.service: Failed with result 'exit-code'.Code language: PHP (php)

Bon, chou blanc. Cela ne nous donne aucune information exploitable quand à l’erreur qui empêche le démarrage du service de base de données.

Solution: vérifier l’espace disponible sur le disque du serveur

On regarde ensuite ce que nous donnent les logs de MariaDB:

tail -f /var/log/mysql/error.logCode language: JavaScript (javascript)

Résultat:

2019-04-22 18:14:19 140194687476288 [Note] InnoDB: Completed initialization of buffer pool
2019-04-22 18:14:19 140194687476288 [Note] InnoDB: Highest supported file format is Barracuda.
2019-04-22 18:14:19 140194687476288 [Note] InnoDB: 128 rollback segment(s) are active.
2019-04-22 18:14:19 140194687476288 [Note] InnoDB: Waiting for purge to start
2019-04-22 18:14:19 140194687476288 [Note] InnoDB:  Percona XtraDB (http://www.percona.com) 5.6.36-82.1 started; log sequence number 11397472969
2019-04-22 18:14:19 140194687476288 [Note] Plugin 'FEEDBACK' is disabled.
2019-04-22 18:14:19 140194687476288 [ERROR] mysqld: Can't change size of file (Errcode: 28 "No space left on device")
2019-04-22 18:14:19 140194687476288 [ERROR] Can't init tc log
2019-04-22 18:14:19 140194687476288 [ERROR] AbortingCode language: PHP (php)

Là, c’est beaucoup plus intéressant. Visiblement, deux erreurs majeures sont à l’origine du non-démarrage du service:

  • il n’y a plus d’espace disponible sur le disque dur du serveur,
  • le fichier /var/lib/mysql/tc.log ne peut pas être initialisé.

Après un petit df, il s’avère que le client a installé un plugin de sauvegarde qui a littéralement saturé tout l’espace disponible.

Après un petit ménage, il ne reste plus qu’à gérer la seconde erreur, Can’t init tc log.

Le fichier /var/lib/mysql/tc.log peut parfois souffrir d’un problème de permission.

Dans le cas du client, on l’archive par précaution:

mv /var/lib/mysql/tc.log /var/lib/mysql/tc_bakup.logCode language: JavaScript (javascript)

Puis on relance le serveur MariaDB:

service mysql start

On vérifie le statut du service:

service mysql status

qui nous retourne:

service mysql status
● mariadb.service - MariaDB database server
   Loaded: loaded (/lib/systemd/system/mariadb.service; enabled; vendor preset: enabled)
   Active: active (running) since Mon 2019-04-22 18:17:22 CST; 1h 37min ago
  Process: 12467 ExecStartPost=/bin/sh -c systemctl unset-environment _WSREP_START_POSITION (code=exited, status=0/SUCCESS)
  Process: 12464 ExecStartPost=/etc/mysql/debian-start (code=exited, status=0/SUCCESS)
  Process: 12340 ExecStartPre=/bin/sh -c [ ! -e /usr/bin/galera_recovery ] && VAR= ||   VAR=`/usr/bin/galera_recovery`; [ $? -eq 0 ]   && systemctl set-environment _WSREP_START_POSITION=$VAR || exit 1 (code=exited,
  Process: 12337 ExecStartPre=/bin/sh -c systemctl unset-environment _WSREP_START_POSITION (code=exited, status=0/SUCCESS)
  Process: 12334 ExecStartPre=/usr/bin/install -m 755 -o mysql -g root -d /var/run/mysqld (code=exited, status=0/SUCCESS)
 Main PID: 12437 (mysqld)
   Status: "Taking your SQL requests now..."
    Tasks: 29 (limit: 4915)
   CGroup: /system.slice/mariadb.service
           └─12437 /usr/sbin/mysqld

Apr 22 18:17:20 iZuf6aj6jz83uxa0jgbgcrZ systemd[1]: Starting MariaDB database server...
Apr 22 18:17:21 iZuf6aj6jz83uxa0jgbgcrZ mysqld[12437]: 2019-04-22 18:17:21 139940495544896 [Note] /usr/sbin/mysqld (mysqld 10.1.26-MariaDB-0+deb9u1) starting as process 12437 ...
Apr 22 18:17:22 iZuf6aj6jz83uxa0jgbgcrZ systemd[1]: Started MariaDB database server.Code language: PHP (php)

A noter que l’erreur 502 de nginx n’était pas due à une mauvaise configuration du server block mais bien d’un manque d’espace disque.

C’est important à vérifier, avant de se lancer dans la dissection du fichier de configuration d’nginx (qui n’aurait pas réglé le problème dans ce cas précis).

WordPress : nettoyer les tables wp_options et wp_postmeta photo

WordPress : nettoyer les tables wp_options et wp_postmeta

Nous allons aujourd’hui examiner deux tables importantes de votre base de données WordPress, wp_options et wp_postmeta.

C’est un domaine qui est souvent négligé en ce qui concerne les performances globales de WordPress et de la base de données.

Cela est très visible sur les sites les plus anciens et les plus gros et peut être la cause des temps de requête lents sur votre site en raison des données à chargement automatique laissées par les plugins et les thèmes tiers.

Voici quelques conseils pour vérifier, dépanner et nettoyer vos tables wp_options et wp_postmeta.

Que contient la table wp_options ?

La table wp_options contient toutes les données relatives aux options et paramètres de votre site WordPress telles que:

  • URL du site, URL de la page d’accueil, adresse électronique de l’administrateur, catégorie par défaut, publications par page, format d’heure, etc.
  • Paramètres pour les plugins, les thèmes, les widgets,
  • Données temporairement mises en cache.

La table wp_options contient plusieurs champs :

  • option_id
  • option_name
  • option_value
  • autoload

Le champ qui nous intéresse particulièrement est le champ autoload, qui contient un drapeau qui peut être soit “yes”, soit “no”. Cela contrôle essentiellement si la valeur est chargée ou non par la fonction wp_load_alloptions().

Les données à chargement automatique sont des données qui sont chargées sur chaque page de votre site WordPress. L’attribut autoload est défini sur «yes» par défaut pour les développeurs, mais tous les plugins ne doivent théoriquement pas charger leurs données sur chaque page.

Le problème que les sites WordPress peuvent rencontrer est celui où la table wp_options contient une grande quantité de données auto-chargées. Cependant, la table wp_options n’a pas non plus été conçue pour contenir des milliers de lignes.

Combien coûte trop de données autoloadées? Cela peut varier, bien sûr, mais idéalement, vous voulez que la taille de votre ordinateur soit comprise entre 300 Ko et 1 Mo.

Une fois que vous commencez à approcher la plage de 3 à 5 Mo ou plus, il existe très probablement des éléments pouvant être optimisés ou supprimés du chargement automatique.

Et tout ce qui dépasse 10 Mo doit être traité immédiatement. Cela ne signifie pas toujours que cela posera un problème, mais c’est un bon point de départ.

Vérifier la taille totale des données auto-chargées

On peut calculer la taille totale des données auto-chargées d’un site WordPress en effectuant la requête suivante sous MySQL:

SELECT SUM(LENGTH(option_value)) as autoload_size FROM wp_options WHERE autoload='yes';Code language: JavaScript (javascript)

La valeur d’autoload_size est exprimée en octets. Il y a 1024 octets dans un KB et 1024 KB dans un MB. Dans notre cas, 622 138 octets sont donc égaux à 0,62 MB. Donc pour ce site, c’est une bonne taille! Si vous restituez moins de 1 Mo, ne vous inquiétez pas. Cependant, si le résultat était beaucoup plus grand, passez à l’étape suivante.

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The SEO Framework : résoudre l'erreur 404 du fichier sitemap.xml sous NginX photo

The SEO Framework : résoudre l’erreur 404 du fichier sitemap.xml sous NginX

Cela fait belle lurette que j’ai troqué Yoast SEO pour The SEO Framework, qui est bien mieux codé et plus performant.

Récemment, lors d’un changement de serveur, je me suis aperçu que l’un des sites avait son fichier sitemap.xml qui renvoyait une erreur 404 sous NginX.

Si cela vous arrive, deux solutions s’offrent à vous.

Vérification du server block

Commencez d’abord par vérifier que votre serveur block contient les bonnes directives pour gérer les règles de WordPress:

location / {
        # This is cool because no php is touched for static content.
        # include the "?$args" part so non-default permalinks doesn't break when using query string
        try_files $uri $uri/ /index.php?$args;
}Code language: PHP (php)

Sauvez votre server block puis relancez NginX. Il est possible que cela ne soit pas suffisant, si c’est le cas, nous allons ajouter une directive supplémentaire.

Une directive dédiée pour sitemap.xml

Ajoutons une directive supplémentaire à notre server block, qui permettra de rediriger vers la sitemap générée par The SEO Framework :

# sitemap.xml directive
# Matt Biscay
# https://www.skyminds.net/?p=30771
location = /sitemap.xml {
	rewrite ^/sitemap.xml$ "/?the_seo_framework_sitemap=xml" permanent;
}Code language: PHP (php)

Sauvez les changements et rechargez NginX – boom, la sitemap est de retour!

Linux : supprimer les vieux kernels et libérer de la place sur la partition /boot photo

Ubuntu : supprimer les vieux kernels et libérer de la place sur la partition /boot

Voici un tutoriel qui vous permet de supprimer les kernels linux installés sur votre serveur qui ne sont pas actuellement utilisés.

Cela est utile pour faire un peu de ménage sur la partition /boot, idéalement avant qu’elle ne soit complètement saturée. Sinon, je vous donne aussi l’astuce pour faire le ménage manuellement et retrouver APT complètement opérationnel.

Ce tutoriel a été testé sous Ubuntu Server 18.04 LTS, il est complètement transférable sous Ubuntu et Debian.

Cas de figure 1: /boot n’est pas plein à 100% et apt est opérationnel

1. On vérifie la version actuelle du kernel

uname -r

Cela nous donne la version du noyau sous laquelle tourne notre machine:

4.15.0-46-genericCode language: CSS (css)

2. On supprime les vieux kernels

2.a. On liste les vieux kernels

sudo dpkg --list 'linux-image*'|awk '{ if ($1=="ii") print $2}'|grep -v `uname -r`Code language: JavaScript (javascript)

You will get the list of images something like below:

linux-image-4.15.0-45-genericCode language: CSS (css)

2.b. On supprime les vieux kernels (un par un)

sudo apt purge linux-image-4.15.0-45-genericCode language: CSS (css)

Une fois que les vieux kernels sont supprimés, on supprime également les paquets qui seront maintenant obsolètes:

sudo apt autoremove

Et on finit par la mise à jour de la liste des noyaux de GRUB:

sudo update-grub

Voilà, il ne vous reste plus qu’à rebooter votre machine ou votre serveur. Il ne reste que le dernier kernel.

Cas de figure 2 : apt est indisponible car /boot est plein à 100%

NOTE: cette partie du tutoriel n’est valable que si et seulement si vous ne pouvez utiliser APT parce que la partition /boot est pleine à 100%.

1. Listez les images de kernel

Obtenez la liste des images de kernels et faites la liste des kernels que vous pouvez supprimer car ils ne sont plus utilisés. Cette commande vous montre les kernels installés à l’exception de celui qui est en cours d’utilisation:

sudo dpkg --list 'linux-image*'|awk '{ if ($1=="ii") print $2}'|grep -v `uname -r`Code language: JavaScript (javascript)

Voici le résultat de la commande, la liste des kernels installés mais inutilisés:

linux-image-3.19.0-59-generic
linux-image-3.19.0-61-generic
linux-image-3.19.0-65-generic
linux-image-extra-3.19.0-59-generic
linux-image-extra-3.19.0-61-generic
linux-image-extra-3.19.0-65-genericCode language: CSS (css)

2. Préparez la suppression

Vous devez préparer la commande qui va supprimer tous les kernels inutilisés en utilisant la brace expansion pour vous simplifier la vie. Je vous conseille d’écrire la commande dans un éditeur de texte et de bien la vérifier avant de la lancer dans le terminal.

N’oubliez pas d’exclure le kernel actuel ainsi que les deux kernels les plus récents pour pallier tout problème:

sudo rm -rf /boot/*-3.19.0-{59,61,65}-*

3. Nettoyez APT et ses messages d’avertissement à propos d’une installation partielle

sudo apt-get -f installCode language: JavaScript (javascript)

4. Autoremove

Enfin, on lance la commande autoremove pour supprimer les paquets relatifs aux vieilles images de kernel qui ont été rendues orphelines par le nettoyage manuel de /boot :

sudo apt autoremove

5. Mise à jour de GRUB

sudo update-grub

6. APT est opérationnel

Vous pouvez de nouveau utiliser APT et mettre à jour, installer et supprimer les paquets de votre distribution:

sudo apt update