Lever 5h du matin, le temps de se préparer pour être prêt à partir vers 6h15. Petit thé rapide dans le hall de l’hôtel. Notre chauffeur de mini-bus, un Allemand, se charge de la tournée des hôtels et remplit son mini-bus d’une vingtaine de passagers.
San Francisco – Yosemite Valley
S’ensuit une petite escapade auto-routière, routière puis routière/montagnarde. Nous sommes sortis de San Francisco (sans problèmes), avons traversé la région agricole de San Joaquin Valley puis sommes montés sur les petites routes de montagnes pour rejoindre la Yosemite Valley (cela se prononce /yo-se-me-tee/ ou [joʊˈsɛməti] pour vous autres linguistes).
Quatre heures de route en tout (en comptant la pause pipi/café/muffin/achat de sandwich à mi-trajet) pour rejoindre Yosemite National Park.
Pour commencer, rien de tel que de se réveiller à 5h du matin à cause du jetlag ! Petit déjeuner à l’hôtel où c’est un self-service et donc on en profite pour se blinder pour la journée, qui s’annonce plutôt fraîche : 10°C !
Nous descendons à pied jusqu’au centre-ville de San Francisco et en profitons pour poser devant l’Hotel California. Bon, ce n’est pas celui qui fait la pochette de l’album des Eagles (qui se trouve en réalité dans la banlieue de Los Angeles) mais quand même :
En ville, nous prenons un de ces bus touristiques double-decker open-top. Et pour montrer que nous sommes des warriors, nous allons bien évidemment nous assoir en haut, histoire d’en prendre plein la vue.
Aujourd’hui, nous quittons New York City. Direction JFK airport. A peine arrivés à l’aéroport, on se rend compte immédiatement que c’est le bazar intégral : des gens courent dans tous les sens, des hôtesses battent le rappel pour les derniers voyageurs, des stewards informent des gens qui ne parlent pas anglais que “sorry, you’ve missed your flight…”. Pas glop.
Dans ce chaos, nous apprenons qu’il faut enregistrer ses valises soi-même. Nous faisons la queue sur le trottoir, comme les autres. Sauf que nous ne sommes pas américains donc on nous redirige à l’intérieur de l’aéroport. Re-queue.
L’enregistrement s’effectue sur une borne. Chaque passager peut avoir jusqu’à deux bagages en soute. Cela coûte 20$ par bagage enregistré.
Une fois que les tickets sont imprimés, vous pouvez faire une nouvelle fois la queue pour arriver au tapis roulant sur lequel le steward se fera un malin plaisir de balancer vos bagages d’un geste martial expert.
Voici la troisième journée de l’US Summer Trip. Suite de mes aventures new-yorkaises.
Breakfast at Toastie’s
On se lève tôt et on prend le métro, direction 5th Avenue. On prend le petit déjeuner chez Toastie’s. Je prends un medium coffee et un blueberry muffin. Le medium m’a l’air aussi grand que le large d’hier. Je suis perplexe !
5th Avenue
Balade sur la 5ème avenue : pas mal de grands magasins mais aussi des magasins de souvenirs pas chers, ce qui est plutôt surprenant.
Au passage, on aperçoit une grosse Bentley noire avec pour plaque d’immatriculation “PLAZA” (que l’on ne peut pas lire sur la photo).
The Rockefeller Center
Nous marchons quelques blocs puis revenons sur nos pas vers Rockefeller Plaza pour aller au Rockefeller Center, un complexe commercial construit par la famille Rockefeller composé de dix-neuf bâtiments. Il est situé dans le quartier de Midtown, entre la 5ème avenue et l’avenue des Amériques de l’île de Manhattan.
Le plus grand théâtre couvert américain, le Radio City Music Hall, se trouve dans le complexe du Rockefeller Center, tout comme la plupart des studios new-yorkais de la chaîne NBC.
Le GE Building (financé par General Electrics), gratte-ciel de 70 étages, constitue la pièce centrale du Rockefeller Center, avec une hauteur de 266 mètres.
Avec son toit plat, où est d’ailleurs située l’une des plus célèbres plates-formes d’observation de la ville, le Top of the Rock, la plate forme offre un panorama à 360 degrés sur la ville, que seul l’Empire State Building parvient à égaler.
L’avantage du Rock, c’est qu’il n’y a pas de file d’attente, donc c’est un très bon plan !
Pour la petite histoire, l’ascenseur vous emmène au 67ème étage en… 44 secondes ! Je peux vous dire que c’est impressionnant, surtout qu’il y a une petite animation son et lumière dans le plafond de l’ascenseur, on ne voit pas du tout le temps passer.
En haut, la vue circulaire est tout simplement magnifique : on aperçoit tout New York. Le temps était un peu couvert ce matin-là. Nous avons eu droit à un hélicoptère du NYPD, qui nous a fait un signe de la main en faisant deux fois le tour du bâtiment.
Décidément, entre les gardes-côte et la police en hélicoptère au-dessus de Manhattan, on est sous bonne garde.
Hop-hop, tout le monde debout ! Le jour se lève et il vaut mieux profiter de New York avant qu’il ne fasse trop chaud :
Nous quittons l’appartement et marchons dans Brooklyn vers l’arrêt de métro Bedford. Nous traversons McCarren Park où s’entraînent des dizaines de personnes, certaines ayant même des coaches sportifs personnels, payés à prix d’or.
Plus loin, il y a même un parc à chien : c’est un peu pareil sauf que celui-ci est dédié aux animaux canins, leurs maîtres bavardant sur des bancs en périphérie. Vous ne pouvez pas louper le parc à chien, tant l’odeur vous pique le nez !
Comme promis, voici le compte-rendu de mon voyage d’été aux États-Unis. Contrairement aux précédents récits de voyages, je ne mettrai pas “day X” dans le titre de l’article mais je classerai en fonction des villes ou attractions visitées.
Pour la rédaction, je me suis servi de ce que j’avais posté via Twitter ainsi que les quelques centaines de photos prises au cours du voyage.
Il est 9h30 lorsque le taxi nous emmenant à Roissy Charles De Gaulle arrive devant chez moi. “On y sera en moins d’une demi-heure, cela roule bien dans ce sens-là”, avait-il dit au téléphone.
C’était sans compter sans accident sur l’A1. Les regards étaient plutôt inquiets dans la voiture mais finalement cela s’est débloqué juste avant la sortie vers l’aéroport.
Petit pas de course pour aller chercher les cartes d’embarquement et poser les valises. Petit café en attendant l’appel de l’embarquement.