Ce matin, il est 7h30, il tombe quelques gouttes et nous sommes parmi les premiers dans la queue pour la visite de la Basilique Saint Pierre. La file d’attente est due au portique de sécurité semblable à ceux des aéroports.
La Basilique Saint Pierre
Vers 8h, nous entrons dans la Basilique et pouvons admirer la grandeur et les richesses de ce sanctuaire chrétien. Tout y est démesuré et on se sent comme un lilliputien dans le monde de Gulliver.
Au dehors, le ciel est chargé mais nous en profitons pour nous placer à l’endroit idoine depuis lequel il est possible d’aligner toutes les colonnes pour n’en voir qu’une rangée.
Nous filons et faisons tout le tour du mur d’enceinte pour faire la queue pour entrer dans les musées du Vatican. Il est 8h30, soit une demi-heure avant l’ouverture officielle du musée.
Nous sommes bien mieux placés dans la file qu’hier. Il commence à pleuvoir et les vendeurs de babioles troquent leurs porte-clés décapsuleurs contre des parapluies, s’adaptant ainsi à toute inconstance du ciel en temps réel.
Une heure et dix minutes de queue plus tard – le temps de prendre nos tickets (16 euros la place) – nous entrons au musée. Nous suivons le conseil du Routard et filons directement à la Chapelle Sixtine admirer l’œuvre de Michel-Ange : pour y accéder, il faut déambuler dans les couloirs et passer par les chambres de Raphaël, qui sont vraiment magnifiques.
Les chambres de Raphaël
On voit notamment la fresque connue sous le nom d’École des Philosophes, qui ravit Cécile, étant donné qu’elle l’étudie chaque année avec ses élèves. C’est quand même formidable de pouvoir l’admirer en vrai.
La Chapelle Sixtine
Le parcours vers la Chapelle Sixtine se poursuit par une exposition d’œuvres chrétiennes modernes, toutes plus surprenantes et inhabituelles les unes que les autres. Puis, nous pénétrons sous la voûte et nous laissons envoûter par ces magnifiques peintures.