Après un réveil à 6h40, un petit déjeuner copieux et savoureux nous attend au restaurant de l’hôtel. Une multitude de plats appétissants s’offrent à nous, notamment des plats typiquement thaï.
Le marché flottant de Damnoen Saduak
Nous partons en bus pour le marché flottant de Damnoen Saduak, qui se trouve au sud-ouest de Bangkok.
Les allées du marché sont des canaux que nous empruntons dans une pirogue. Les marchands de foulards, de statuettes, d’éventails et de chapeaux utilisent des gaffes pour amener notre pirogue le long du quai de leur échoppes ou nous accostent avec leur pirogue.
Couleurs et senteurs diverses et variées s’offrent à nos sens.
Un dresseur de serpents nous propose même, pour une centaine de bahts, de porter un de ses pythons sur nos épaules. Nous nous sommes contentés de prendre quelques photos de la bête.
Les commerçants en Thaïlande ne sont pas du tout agressifs : ils ne vous sautent pas dessus et n’essaient pas de vous vendre quelque chose à tout prix.
Voici la quatrième et ultime saison de Mad Dogs, composée de seulement deux épisodes, diffusée sur Sky1.
Intitulée “Mad Dogs : The Finale”, cette dernière saison est donc la fin du périple pour Woody (Max Beesley), Quinn (Philip Glenister), Baxter (John Simm) et Rick (Marc Warren).
Tout a commencé quand ce groupe d’amis s’est rendu à Majorque (saison 1) pour célébrer la retraite anticipée du cinquième de la bande.
Ces vacances se sont transformées en cauchemar pour le groupe qui s’est retrouvé alors mêler à une affaire qui les dépassait où se mêlaient flics corrompus, drogues meurtres, chantages. Cela les a entrainés à Ibiza (saison 2), puis en Afrique (saison 3).
Pour cette ultime saison, le groupe d’amis retourne enfin en Angleterre, mais il leur est impossible de reprendre une vie normale.
Quand Rick pense avoir trouvé une solution financière, il va de soi que cela ne va pas tourner rond.
Les vacances infernales de Woody (Max Beesley), Quinn (Philip Glenister), Rick (Marc Warren) et Baxter (John Simm) ne sont toujours pas terminées : Mad Dogs reprend pour une troisième saison sur Sky.
Le repos et la récupération ne sont définitivement pas au programme : les quatre amis finissent dans une prison délabrée au beau milieu d’un désert aride.
Ressemblants à des prisonniers de Guantanamo Bay, les gars sont interrogés par leurs mystérieux kidnappers et se font violemment attaquer par un autre prisonnier qui s’appelle Mercedes (Jaime Winstone).
Et pour couronner le tout, ils apprennent que des criminels psychotiques cherchent à les assassiner…
Voici la seconde saison – extrêmement attendue! – de Mad Dogs.
On reprend là où nous en étions à la fin de la première saison. Baxter, Rick et Woody sauvent la vie de Quinn en renversant Dominic avec leur voiture.
Les quatre amis quittent l’île avec le ferry pour Barcelona pour rejoindre l’Angleterre. Mais ils se trompent de ferry et débarquent à Ibiza. Baxter révèle alors qu’il a emmené l’argent avec lui.
Mad Dogs, diffusée sur la BBC, nous raconte l’histoire de quatre amis d’enfance, maintenant dans la quarantaine.
Quinn (Philip Glenister), Baxter (John Simm), Woody (Max Beesley) et Rick (Marc Warren) pensent qu’ils vont s’amuser au soleil chez leur ami Alvo (Ben Chaplin), qui possède une villa luxueuse à Majorque, en Espagne.
Mais rien ne se passe comme prévu et les évènements s’enchaînent sans qu’ils ne puissent faire grand chose pour éviter le pire.
Cinquième journée de l’Egyptian Summer Trip 2010. Aujourd’hui, c’est ma journée off : piscine, plage, spa… c’est les vacances et on se relaxe à fond !
C’est un peu la journée qui fait le pont entre deux journées de bus donc on en profite : lézardage à la piscine, bronzage sur la plage, plongée en apnée au bout du ponton, dernier massage au spa…
On attaque la deuxième journée du voyage en Egypte tranquillement : petit-déjeuner au restaurant (qui est self-service) où l’on peut avoir des gaufres, pancakes, omelettes faites devant vous avec les ingrédients que vous souhaitez. Rien de tel pour se remettre du voyage.
Piscine, plage et plongée
La journée a passé assez vite : piscine le matin, plage et baignades en Mer Rouge l’après-midi, au bout du ponton qui se trouve sur la plage de l’hôtel. Alors la Mer Rouge n’est évidemment pas rouge mais plutôt verte bleutée.
On l’appelle ainsi à cause de certaines algues (Trichodesmium erythraeum) qui donnent à l’eau une couleur rougeâtre lorsqu’elles meurent.
L’eau est super chaude, c’est un vrai bain. Il faut dire que pour moi, la référence est les 18° bretons donc bon, sacré différence.
Chaussé de mes nouveaux chaussons, je me suis acheté un masque et un tuba bon marché au centre nautique pour 10 euros.
Quand je pense que j’ai un matériel de qualité qui vaut vingt fois ça à la maison… et que je ne l’avais pas sous la main au moment du départ !
L’eau est extrêmement claire et la vie sous-marine très riche : il y a des poissons multicolores tout autour, à moins d’un mètre de la surface !
Cette année, pour les vacances, j’ai décidé de partir chercher le soleil… en Egypte ! Cela s’est fait un peu au dernier moment : j’ai pris mon billet lundi pour partir deux jours plus tard, mercredi.
Paris – Hurghada
Lever 2h45 du matin, taxi à 3h15, enregistrement à 4h à Roissy Charles de Gaulle où l’on récupère les documents de voyage et le voucher pour le transfert aéroport/hôtel. La journée va être longue ! Embarquement vers 6h, arrivée à Hurghada vers 12h30. L’aéroport est immense, tout en marbre, entièrement climatisé et très peu fréquenté : il était désert à notre arrivée.
Sortis de l’aéroport, on prend une grande claque niveau chaleur : 43° de vent chaud. On se dirige vers les bus qui font tourner leur clim à fond. Un bref coup d’œil sur notre gauche nous montre cinq égyptiens entassés dans une vieille Peugeot 605 break blanche, les jambes dépassant des vitres nous hélant “tax!” – qui veut dire taxi. On se demande bien comment ils pourraient nous emmener, la voiture est blindée !
Il est 6h du matin et nous sommes déjà dans le hall sud du Golden Nugget, qui se trouve être quasiment en face du Plaza, ce qui est plutôt pratique. Nous attendons le bus qui doit nous emmener à l’aérodrome de Boulder City.
Quelques bus s’arrêtent, on demande aux chauffeurs qui nous disent que ce sera le prochain. On en profite pour commander les petits cafés du matin.
J’étais encore en train de me brûler les lèvres lorsque le chauffeur annonce que son bus est tout neuf et qu’il n’accepte personne avec des boissons dans le bus. Du coup, tout le monde a dû balancer son café… pas cool !
Bus to Boulder City
Le bus s’est arrêté dans plusieurs grands hôtels du Strip donc cela nous a permis de voir les entrées des hôtels que nous n’avions pas encore vues. L’hôtel Excalibur me fait vraiment rire, on a l’impression que l’on va dormir chez Mickey !
Le chauffeur est un petit comique et se moque gentiment de tous ceux qui montent dans le bus. Il nous donne aussi quelques tips de choses à voir à Vegas (les fontaines du Bellagio le soir par exemple).
On arrive à Boulder City qui se trouve à 20 miles de Las Vegas. A l’origine, la ville a été créée en 1931 – au moment de la Grande Dépression – pour les ouvriers qui ont construit Hoover Dam.
Elle a été conçue par le gouvernement fédéral pour être une ville idéale et représentant l’avenir. Boulder City compte 15 000 habitants et est une petite ville tranquille qui fait beaucoup penser à celle d’Eurêka : mêmes rues, même ambiance !
Plane ride to The Grand Canyon
Arrivée à l’aéroport. Après quelques minutes d’attente, notre pilote s’approche vers nous. Il porte les lunettes de Top Gun et marche quasiment comme s’il était au ralenti, avec le vent de la piste dans les cheveux – très drôle !
Nous prenons place dans un petit avion qui peut emmener 12 personnes. Curieusement, on fait moins les malins – ce n’est pas la même chose que de monter dans un avion d’une compagnie “standard”.
Ceinture bouclée, appareils photos sortis, audioguide sur les oreilles. Les moteurs se mettent en marche et après un ou deux soubresauts, l’avion décolle. Cela roule pas mal de droite à gauche !
Nous passons au-dessus de Boulder City puis au-dessus de Hoover Dam, un barrage sur la Colorado River à la frontière entre l’Arizona et le Nevada :
Il est 5h du matin et nous nous trouvons à l’entrée du Plaza, sous les milliers d’ampoules qui en constituent le plafond. Il fait tellement chaud là-dessous que l’on commence quasiment à transpirer !
Nous attendons un bon quart d’heure. Jack regarde sa montre et commence à s’inquiéter de ne pas voir le guide arriver. Les minutes passent et son anxiété grandit. Au fond de moi, je ne désespère pas, j’ai la foi. Je lui dis mais cela ne le rassure pas.
Quelques minutes plus tard, un mini-van arrive : c’est notre guide ! Il s’excuse de son retard et nous annonce que nous serons les seuls lors de cette visite guidée :
G : Nobody is crazy enough to do Death Valley on the hottest summer day ! M : Well, we are :)
Breakfast at the gas station
Nous sortons de Las Vegas puis nous arrêtons à une station service : notre guide en profite pour faire le plein, nettoyer le pare-brise et vérifier ses niveaux tandis que nous allons acheter de l’eau.
Si c’est le jour le plus chaud de l’été et que l’on se retrouve dans le désert, mieux vaut avoir quelque chose à boire.
Ah ben y’avait longtemps tiens ! Vendredi après-midi, je vais à la piscine avec mon pote Pierre-Jean en sortant des cours. Je l’emmène toujours avec moi, c’est plus sympa de faire la route ensemble.
On arrive à la piscine, on se gare et hop, sport. Il est à peu près 15h. Piscine, sauna, on décompresse de notre avant-dernière semaine de cours.
Nous sommes pas mal fatigués en ce moment donc ça fait du bien de se relaxer un peu. Il est 17h30, je m’approche de la voiture en regardant les roues.
C’est bizarre mais il y a comme un truc inhabituel, quelque chose qui me dérange à propos de la voiture. Je déverrouille les portes, Pierre-Jean ouvre le coffre. Hé c’est bizarre ça – ah oui, le barillet du coffre pendouille, signe qu’il a été forcé.