Voici la seconde saison d’Utopia, diffusée sur Channel 4.
La série nous ramène dans les années 1970, quand Philip Carvel commence à travailler sur Janus avec Milner.
Alors qu’il teste le virus sur son fils réticent, Pietre, il conduit une expérience macabre sur un lapin avec l’espoir de susciter une réaction de la part de son enfant.
Il pense avoir échoué jusqu’à ce que sa femme achète un lapin à Pietre qui le tue juste après. Sa femme le jette dehors et quelques mois plus tard, elle meurt en donnant naissance à Jessica, que Carvel élève seul.
Cinq ans plus tard, sans rien dire à Milner, Carvel ajuste la formule du virus…
Après presque un an et demi, Utopia s’apprête à faire son retour sur Channel 4 pour sa seconde saison.
Thriller énigmatique, Utopia se centre sur un groupe de personnes que rien ne connecte au départ, mais qui vont se rencontrer grâce à leur intérêt pour un étrange graphic novel.
Leur existence va alors être bouleversée quand ils vont se retrouver pris au cœur d’une conspiration et être poursuivis par une mystérieuse organisation.
Vous pouvez trouver la première saison ici :
ou le résumé de la première saison, pour se rafraîchir la mémoire (attention, contient des spoilers de la saison 1, bien évidemment) :
Je vous invite à regarder la nouvelle série de la chaine Channel 4 – Utopia – scénarisée par Dennis Kelly.
Passionnés par l’étrange roman graphique The Utopia Experiment, un groupe de personnes se retrouve pris au cœur d’une conspiration menée par des personnes sans scrupules qui tuent avec une facilité déconcertante et avec beaucoup d’imagination.
Ils ne savent pas ce qu’on leur veut, mais celui qui trouvera la suite jamais publiée de l’histoire aura toutes les réponses.
Utopia est indéniablement atypique dans son style, que ce soit narrativement parlant ou visuellement, avec une approche cinématographique très poussée et accentuée par une stylisation qui favorise les couleurs vives et les contrastes.
Black Mirror, la série dystopique de Charlie Brooker, revient pour une seconde saison sur Channel 4.
Comme d’habitude, la saison ne comporte que 3 épisodes – qui évoquent chacun une vision jusque-boutiste d’un futur qui pourrait devenir réalité si l’on en juge par nos dernières avancées technologiques et certains de nos reculs sociaux.
La technologie semble toujours évoluer et l’homme toujours régresser, on dirait.
Episode 1 : Be Right Back
Martha et Ash ont déménagés dans la maison de campagne où les parents de Ash vivaient. Ash est un grand utilisateur des réseaux sociaux, un peu trop pour son amie Martha. Le jours suivant, Ash meurt dans un accident de voiture. Aux funérailles, Martha apprend par une de ses amies qu’il est possible de rester en contact avec un défunt. Martha ne veut pas en entendre parler, mais son amie Sarah l’inscrit. Martha recevra un email de son défunt petit ami le lendemain matin. Un “nouveau Ash” a été créé en utilisant son profil sur les réseaux sociaux et toutes les données numériques qu’il a enregistré durant sa vie.
Episode 2 : White Bear
Une femme prénommée Victoria Skillane (Lenora Crichlow) se réveille dans une chambre, assise sur une chaise et n’ayant aucun souvenir de sa vie. Elle est entourée d’images d’une petite fille et a visiblement tenté de se suicider par médicaments. Elle aperçoit un symbole étrange sur les télévisions de la maison. Lorsqu’elle sort, elle voit des gens qui sont constamment en train de la filmer avec leurs téléphones portables.
Episode 3 : The Waldo Moment
Jamie Salter (Daniel Rigby) est un comédien raté qui donne sa voix et ses mouvements à un personnage de cartoon – un ours bleu nommé Waldo – qui interview des politiciens et des personnages publics. Les personnes interviewées pensent que les interviews de Waldo sont pour un programme pour enfants alors qu’elles sont diffusées en fin de soirée dans une émission parodique. Waldo the bear est extrêmement populaire auprès du public britannique et un pilote pour sa propre série est commandé. Mais malgré le succès de son personnage, Jamie est dépressif et insatisfait du cours de sa vie.
Black Mirror est une série dystopique créée par Charlie Brooker.
Chaque épisode est ancré dans une réalité différente, avec des personnages différents mais tous traitent de la manière dont nous vivons aujourd’hui et la manière dont nous pourrions vivre dans 10 minutes si nous étions vraiment maladroits…
La série est un thriller et les épisodes ont quelque chose de “techno-paranoïaque” : “the ‘black mirror’ of the title is the one you’ll find on every wall, on every desk, in the palm of every hand: the cold, shiny screen of a TV, a monitor, a smartphone.” (Charlie Brooker)
Les ministères de l’Education nationale et de l’Enseignement supérieur viennent de lancer un appel d’offres pour assurer une «veille de l’opinion».
En d’autres termes, suivre tout ce qui se dit et s’écrit dans les médias sur les sujets les concernant. Le premier y consacre un budget de 100 000 euros, le second de 120 000 euros.
A l’origine, ce dispositif a été lancé sous l’ère Gilles de Robien alors qu’il n’y avait qu’un seul ministère. Il a été poursuivi par Xavier Darcos (nommé en mai 2007) et par Valérie Pécresse, qui récupère alors l’Enseignement supérieur. L’an dernier, le budget consacré à cette «veille» était déjà de 220 000 euros.
Certains craignent que le ministre cherche à identifier les courants de pensée qui agitent les salles des professeurs afin d’anticiper des mouvements de grogne.