Je suis tombé amoureux de cette chanson par le groupe Nine Inch Nails :
Accords : A B G D
I hurt myself today
To see if I still feel
I focus on the pain
The only thing that's real
The needle tears a hole
The old familiar sting
Try to kill it all away
But I remember everything
What have I become?
My sweetest friend
Everyone I know
Goes away in the end
You could have it all
My empire of dirt
I will let you down
I will make you hurt
I wear this crown of shit
Upon my liar's chair
Full of broken thoughts
I cannot repair
Beneath the stains of time
The feelings disappear
You are someone else
I am still right here
What have I become?
My sweetest friend
Everyone I know
Goes away in the end
You could have it all
My empire of dirt
I will let you down
I will make you hurt
If I could start again
A million miles away
I would keep myself
I would find a wayCode language:PHP(php)
Voici un deuxième extrait de l’album “The 5th Sun” du groupe de stoner suisse Monkey3 :
Toujours aussi lourd, martial, épique mais à la fois empreint de délicatesse et d’un côté presque aérien dans les breaks. C’est un vrai régal de se plonger dans leur univers.
Je n’ai pas encore pu les voir cette année… l’année prochaine peut-être?!
Kurt Samuel Vile est un auteur-compositeur multi-instrumentaliste qui a fondé le groupe d’indie rock The War on Drugs, avec lequel il a enregistré un album avant de se consacrer à sa carrière solo.
Voici “Pretty Pimpin”, une chanson plutôt entêtante:
Kurt Vile, qui arbore fièrement un look des années 70 avec ses cheveux longs et son look old-school, est influencé par Pavement, Bruce Springsteen, Neil Young, Tom Petty, et John Fahey.
En studio et lors des concerts, Kurt Vile est accompagné de son groupe, the Violators, qui inclut Jesse Trbovich (basse, guitare, saxophone), Rob Laakso (guitare, basse) et Kyle Spence (batterie).
Le single “Pretty Pimpin” est à retrouver sur le sixième album studio de Kurt Vile, intitulé B’lieve I’m Goin Down… et sorti le 25 septembre 2015 chez Matador Records.
“I Hung My Head” est une chanson écrite par Sting en 1996. Il écrit cette chanson pour se souvenir de son enfance, quand il était fan des films de western qui passaient à la télévision.
En 2002, Johnny Cash reprend cette chanson sur l’album American IV: The Man Comes Around.
La chanson raconte l’histoire d’un jeune homme qui tue quelqu’un par accident, avec les émotions qu’il ressent et les conséquences que son acte va entraîner.
Voici comment la jouer à la guitare :
Intro - C, F handful of times
[C]Early one morning
With [F]time to kill
I [Am]borrowed Jeb's rifle
And [F]sat on the hill
I [C]saw a lone rider
[F]Crossing the plain
I [Am]drew a bead on him
To [F]practice my aim
[Dm]My brother's rifle
Went [G]off in my hand
A shot rang out
[C]Across the land
The [F]horse he kept running
The [Am]rider was dead
I [C]hung my head I [F]hung my head
[C]
[C]I set off running
To [F]wake from the dream
[Am]My brother's rifle
Went [F]into the stream
[C]I kept on running
[F]Into the salt lands
And [Am]that's where they found me
My [F]head in my hands
The [Dm]sheriff he asked me
[G]Why had I run
Then it came to me
Just [C]what I had done
And [F]all for no reason
Just [Am]one piece of lead
I [C]hung my head I [F]hung my head
[C]
[C]Here in the courthouse
The [F]whole town is there
[Am]I see the judge
High [F]up in his chair
"Ex[C]plain to the courtroom
What [F]went through your mind
And [Am]we'll ask the jury
What [F]verdict they find"
I said [Dm]"I felt the power
Of [G]death over life
I orphaned his children
I [C]widowed his wife
I [F]beg their forgiveness
I [Am]wish I was dead"
I [C]hung my head, I [F]hung my head
I [C]hung my head, I [F]hung my head
[C]
[C]Early one morning
With [F]time to kill
[Am]I see the gallows
[F]Up on the hill
And [C]out in the distance
A [F]trick of the brain
I [Am]see a lone rider
[F]Crossing the plain
[Dm]And he's come to fetch me
To [G]see what they done
We'll ride together
[C]'Til kingdom come
I [F]pray for God's mercy
For [F]soon I'll be dead
I [C]hung my head, I [F]hung my head
I [C]hung my head, I [F]hung my head
I [C]hung my head, I [F]hung my headCode language:PHP(php)
L’histoire est racontée du point de vue d’un jeune homme qui emprunte le fusil de son frère. Il aperçoit un cavalier au loin dans la plaine et l’observe depuis la lunette de son fusil (“I drew a bead on him; to practice my aim.”) lorsque celui-ci se décharge d’un coup, tuant le cavalier.
L’homme court vers les marais salants et jette le fusil dans la rivière (la version de Johnny Cash change “salt lands” en “south lands”, et “stream” to “sheen”). Il est appréhendé par un shérif et réalise ce qu’il vient de commettre.
Il est amené au tribunal devant un juge et des jurés, où il demande pardon et se mortifère.
Attendant l’exécution sur la potence, il voit – comme si son esprit lui jouait un tour (“trick of the brain”) – le cavalier revenir afin qu’ils aillent ensemble au paradis (“till kingdom come”). L’homme prie alors Dieu pour demander de la clémence et de la compassion.
Samedi soir, je suis allé au concert “Autour de la Guitare”, organisé par Jean-Felix Lalanne au Zénith de Nantes, en compagnie de mes parents.
Cela a été l’occasion de voir jouer Robben Ford, Larry Carlton, Christopher Cross, Ron “Bumblefoot” Thal, Paul Personne, Axel Bauer, Dan Ar Braz, Norbert Nono Krief et Michael Jones.
Ron Thal qui reprend Jump de Van Halen avec sa guitare double-manche (dont l’un est fretless):
Ron Thal a été – entre autres – guitariste pour les Guns’n’Roses (période Axl Rose) de 2006 à 2014.
Voici un petit medley des Beatles de la part de James Taylor et Mavis Staples lors des Kennedy Center Honors 2010, qui consacrait alors l’oeuvre et la carrière de Paul McCartney :
Avec Steven Tyler, frontman d’Aerosmith, qui vient chanter pour son vieil ami – ainsi que Dave Grohl, Norah Jones et No Doubt (trouvez l’intrus!).
Sniff ‘n’ the Tears est un groupe anglais formé en 1977 à Londres qui a notamment connu le succès en 1978 grâce à son tube Driver’s Seat, issu de l’album Fickle Heart:
On peut entendre une reprise de cette chanson dans la bande originale de l’excellent film Boogie Nights, sorti en 1997.
Leb I Sol (“Pain et Sel” en français) est un groupe de fusion ex-Yougoslave qui s’est formé le 1er janvier 1976 à Skopje, qui se trouve maintenant dans la République de Macédoine.
Voici leur version de “Uci me majko, karaj me”, avec Dado Topic (ex-chanteur du groupe de prog Time):
Au début de leur carrière, Leb I Sol essaie de marrier une approche jazz-rock instrumentale avec les sons traditionnels des Balkans. Les deux premiers albums sont des reprises instrumentales de chansons traditionnelles de la Macédoine.
Le troisième album, “Rucni rad”, explore l’improvisation laissée par le jazz alors que le quatrième album, alors que le groupe devient un trio, repart sur l’esprit de la fusion.
Stefanovski a toujours été considéré comme l’un des meilleurs guitaristes de l’ex-Yougoslavie, même si sa technique se rapproche beaucoup de celles d’Allan Holdsworth ou de John McLaughlin.
Leb I Sol est un des groupes les plus important de la République de Macédoine. Ils ont joué pour la dernière fois à Thessalonica, en Grèce, en décembre 1995, avant que le groupe ne se sépare.
“Hotel California”, un des hits des Eagles, est un morceau que l’on peut retrouver sur l’album éponyme de 1976.
Voici la version live jouée en 1977 à Washington DC :
Dans une interview remontant à 2009, le critique musical John Soeder a posé la question suivante à Don Henley :
Dans “Hotel California” vous chantez:
“So I called up the captain / ‘Please bring me my wine’ / He said, ‘We haven’t had that spirit here since 1969.'”
Je me rends compte que je ne suis probablement pas le premier à attirer votre attention sur ce point, mais le vin n’est pas un spiritueux. Le vin est fermenté ; les spiritueux sont distillés. Regrettez-vous ces paroles ?
Don Henley lui a alors répondu :
Merci pour le tutoriel et, non, vous n’êtes pas le premier à attirer mon attention sur ce sujet—et vous n’êtes pas le premier à interpréter complètement de travers la parole et à manquer la métaphore.
Croyez-moi, j’ai consommé suffisamment de boissons alcooliques dans ma vie pour savoir comment elles sont fabriquées et quelle est la nomenclature appropriée. Mais cette ligne de la chanson a peu ou rien à voir avec les boissons alcooliques. C’est une déclaration sociopolitique. Mon seul regret serait de devoir vous l’expliquer en détail, ce qui annulerait le but de l’utilisation de dispositifs littéraires dans l’écriture de chansons et abaisserait la discussion à une querelle stupide et sans rapport sur les processus chimiques.
Voici une reprise exceptionnelle All Stars du titre “Highway To Hell” d’AC/DC, enregistrée lors du Hellfest 2015 :
Ce All Stars se compose de Brian “HEAD” Welch – Korn, Joel O’Keeffe – Airbourne, Ryan Roxie – Alice Cooper, Jason Hook – Five Finger Death Punch, Björn Gelotte – In Flames, The Answer, Max Cavalera – Soulfly & Cavalera Conspiracy, Didier Wampas – Les Wampas, Ladies Ballbreaker, Butcher Babies, Jansen Press – Carousel Vertigo, Charlie Parra Del Riego et Steven André.
A noter que Joel o’Keeffe aurait totalement pu chanter également. Super solo acoustique de Ryan Roxie et solo shred de Charlie Parra Del Riego. Génial.
Mon incontournable événement du mois de juin est le Hellfest.
C’est ma bouffée d’air frais, qui me permet d’anticiper la fin de l’année avec délectation. Et cette année marque les 10 ans de ce festival de metal génial.
Vendredi
Cette année, accompagné de Cécile et Julia, on décide de partir en camping-car – fini la tente et le matelas à gonfler !
Je pars avec Julia chercher le camping-car chez les parents de Cécile puis nous nous dépotons vers 11h pour rejoindre le festival. Une demi-heure de marche plus tard, nous entrons dans Clisson Rock City.
Au programme ce vendredi, nous avons écouté Vulcain, The Quire Boys, We Are Harlot, Skyforger, Orchid, Billy Idol, Sodom, Motorhead, Lamb of God, Alice Cooper.
J’ai bien aimé réentendre The Quire Boys, qui assuraient la première partie d’Alice Cooper lors des Monsters of Rock de 2003 lors de la tournée anglaise. Nous avons découvert We Are Harlot, qui n’était pas mal.
J’ai été un peu déçu de constater que Skyforger étaient venus sans leur flûte, je trouvais ça cool. Orchid, génial, a oscillé entre Black Sabbath et Ronnie James Dio, cela a été pour moi un des meilleurs concerts de la journée :
Billy Idol n’avait pas un son terrible et je l’ai trouvé fatigué sur plusieurs chansons. Motorhead – Lemmy égal à lui-même.
Alice Cooper, toujours au top, nous a encore offert un superbe spectacle, en véritable showman. A chaque fois que je le vois, je me dis que vraiment chaque détail est réglé au millimètre et que c’est vraiment lui qui mène la danse. Il a joué tous ses grands classiques mais n’a pas eu le temps d’éclater les ballons, qui se sont vite retrouvés dans la foule.
Samedi
Au programme du jour: Ace Frehley, Backyard Babies, Airbourne, Slash, Killing Joke, ZZ Top, Faith No More, Scorpions, Marilyn Manson.
Airbourne est vraiment dans la veine AC/DC. Ils n’ont pas eu de bol car il y a eu une panne de son dès le départ du concert.
Visiblement, seule la fosse pouvait les entendre. Nous avons donc tous croisé nos bras en l’air pour leur signifier que quelque chose clochait. Et lorsque le son est revenu, je pense qu’ils ont entendu notre contentement : cela ressemblait à un tsunami sonore !