Voici la quatrième et ultime saison de Mad Dogs, composée de seulement deux épisodes, diffusée sur Sky1.
Intitulée “Mad Dogs : The Finale”, cette dernière saison est donc la fin du périple pour Woody (Max Beesley), Quinn (Philip Glenister), Baxter (John Simm) et Rick (Marc Warren).
Tout a commencé quand ce groupe d’amis s’est rendu à Majorque (saison 1) pour célébrer la retraite anticipée du cinquième de la bande.
Ces vacances se sont transformées en cauchemar pour le groupe qui s’est retrouvé alors mêler à une affaire qui les dépassait où se mêlaient flics corrompus, drogues meurtres, chantages. Cela les a entrainés à Ibiza (saison 2), puis en Afrique (saison 3).
Pour cette ultime saison, le groupe d’amis retourne enfin en Angleterre, mais il leur est impossible de reprendre une vie normale.
Quand Rick pense avoir trouvé une solution financière, il va de soi que cela ne va pas tourner rond.
Les vacances infernales de Woody (Max Beesley), Quinn (Philip Glenister), Rick (Marc Warren) et Baxter (John Simm) ne sont toujours pas terminées : Mad Dogs reprend pour une troisième saison sur Sky.
Le repos et la récupération ne sont définitivement pas au programme : les quatre amis finissent dans une prison délabrée au beau milieu d’un désert aride.
Ressemblants à des prisonniers de Guantanamo Bay, les gars sont interrogés par leurs mystérieux kidnappers et se font violemment attaquer par un autre prisonnier qui s’appelle Mercedes (Jaime Winstone).
Et pour couronner le tout, ils apprennent que des criminels psychotiques cherchent à les assassiner…
Collective Soul est un groupe de rock venant de Stockbridge, Georgia (USA) composé d’ Ed Roland (rhythm guitar, lead vocals), Dean Roland (rhythm guitar), Will Turpin (bass guitar), Joel Kosche (lead guitar) et Cheney Brannon (drums, percussion).
J’aime beaucoup le morceau Heavy, issu de l’album Dosage (2009), en acoustique dans le désert marocain :
Il est 6h du matin et nous sommes déjà dans le hall sud du Golden Nugget, qui se trouve être quasiment en face du Plaza, ce qui est plutôt pratique. Nous attendons le bus qui doit nous emmener à l’aérodrome de Boulder City.
Quelques bus s’arrêtent, on demande aux chauffeurs qui nous disent que ce sera le prochain. On en profite pour commander les petits cafés du matin.
J’étais encore en train de me brûler les lèvres lorsque le chauffeur annonce que son bus est tout neuf et qu’il n’accepte personne avec des boissons dans le bus. Du coup, tout le monde a dû balancer son café… pas cool !
Bus to Boulder City
Le bus s’est arrêté dans plusieurs grands hôtels du Strip donc cela nous a permis de voir les entrées des hôtels que nous n’avions pas encore vues. L’hôtel Excalibur me fait vraiment rire, on a l’impression que l’on va dormir chez Mickey !
Le chauffeur est un petit comique et se moque gentiment de tous ceux qui montent dans le bus. Il nous donne aussi quelques tips de choses à voir à Vegas (les fontaines du Bellagio le soir par exemple).
On arrive à Boulder City qui se trouve à 20 miles de Las Vegas. A l’origine, la ville a été créée en 1931 – au moment de la Grande Dépression – pour les ouvriers qui ont construit Hoover Dam.
Elle a été conçue par le gouvernement fédéral pour être une ville idéale et représentant l’avenir. Boulder City compte 15 000 habitants et est une petite ville tranquille qui fait beaucoup penser à celle d’Eurêka : mêmes rues, même ambiance !
Plane ride to The Grand Canyon
Arrivée à l’aéroport. Après quelques minutes d’attente, notre pilote s’approche vers nous. Il porte les lunettes de Top Gun et marche quasiment comme s’il était au ralenti, avec le vent de la piste dans les cheveux – très drôle !
Nous prenons place dans un petit avion qui peut emmener 12 personnes. Curieusement, on fait moins les malins – ce n’est pas la même chose que de monter dans un avion d’une compagnie “standard”.
Ceinture bouclée, appareils photos sortis, audioguide sur les oreilles. Les moteurs se mettent en marche et après un ou deux soubresauts, l’avion décolle. Cela roule pas mal de droite à gauche !
Nous passons au-dessus de Boulder City puis au-dessus de Hoover Dam, un barrage sur la Colorado River à la frontière entre l’Arizona et le Nevada :
Il est 5h du matin et nous nous trouvons à l’entrée du Plaza, sous les milliers d’ampoules qui en constituent le plafond. Il fait tellement chaud là-dessous que l’on commence quasiment à transpirer !
Nous attendons un bon quart d’heure. Jack regarde sa montre et commence à s’inquiéter de ne pas voir le guide arriver. Les minutes passent et son anxiété grandit. Au fond de moi, je ne désespère pas, j’ai la foi. Je lui dis mais cela ne le rassure pas.
Quelques minutes plus tard, un mini-van arrive : c’est notre guide ! Il s’excuse de son retard et nous annonce que nous serons les seuls lors de cette visite guidée :
G : Nobody is crazy enough to do Death Valley on the hottest summer day ! M : Well, we are :)
Breakfast at the gas station
Nous sortons de Las Vegas puis nous arrêtons à une station service : notre guide en profite pour faire le plein, nettoyer le pare-brise et vérifier ses niveaux tandis que nous allons acheter de l’eau.
Si c’est le jour le plus chaud de l’été et que l’on se retrouve dans le désert, mieux vaut avoir quelque chose à boire.
George Thorogood est un musicien de blues-rock américain qui a formé le groupe George Thorogood & the Destroyers au début des années 1970. Sa musique est souvent associé au monde biker.
C’est aujourd’hui que nous quittons San Francisco. Paquetage de valises qui, curieusement, ont de plus en plus de mal à se fermer (la faute aux magasins de Fisherman’s Wharf !).
A la réception de l’hôtel, le réceptionniste est plutôt drôle :
R : Why are you leaving so soon ? M : We’ve got places to go and things to see ! R : Where are you going ? M : To Las Vegas man. R : What are you going to do in Las Vegas ? M : Spend what’s left of our money ! ;-)
Nous voyageons avec US Airways ce coup-ci. Voici quelques photos prises de l’avion à différents intervalles, histoire de voir comme le paysage change :