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Organized Crime and the Prohibition

  1. Organized Crime in America
  2. Evolution of Organized Crime
  3. Organized Crime : Expression and Repression
  4. Organized Crime and the Prohibition
  5. Organized Crime: Repression and Censorship

Introduction

You cannot rely on newspaper articles. Recently, it featured the confessions of repenting organized crime members, i.e. the distorted truth for their interests. The police distorted the figures to get credit and money from the Federal Government.

Organized crime was considered a kind of un-American activity. Since more gangsters were ethnic (Jews, Russians, etc), calling them “un-American” was a way of dismissing American roots.

In Scarface, the motto “the world is yours” highlights the ironic vision between the American Dream and the gangsters.

The structure of organized crime is that of a bureaucratic and corporate model. It looks like a company organic line, with a complex hierarchy and a division of labour.

Responsibilities are carried out in an impersonal manner and the function is more important than the person.

Organized crime is a mirror of monopoly capitalism and from earlier gangster movies, it is considered as a business.

In Asphalt Jungle, “crime is just a left-handed form of human endeavour”.

The difference between organized crime and any corporation is that you cannot use written support: it relies on secrecy and personal networks.

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English Expansionism

  1. The Reformation in the British Isles
  2. English Expansionism
  3. The Glorious Revolution of 1688
  4. The American colonies : Religion and Politics
  5. USA: Birth of a Nation

Introduction

The Anglo-American World is but colonial. Its present extension is the result of England’s self-affirmation and ambition to become a major world power. Therefore, the words “empire” and “imperialism” describe England’s struggle for national and international sovereignty.

The first consequence of English expansionism was the westward impulse of the Anglo-Saxon element, first into the Celtic periphery of the British Isles, then across the Atlantic and finally into Africa and Australasia.

The second more recent consequence is the emergence in the 20th century of multi-cultural societies both in Britain and in America but also across the British Commonwealth, which is constituted of the former British colonies.

Early English expansionism in the British Isles

The origin of British colonial adventures lies in the early steps taken by English Kings towards the political, economic, and religious integration of the British Isles.

The Anglo-Norman enterprise

In 1066, William, Duke of Normandy, became the master of England. His successors, the Anglo-Norman Kings, tried to increase their authority and international prestige (especially in front of France) by controlling the British Isles (first Ireland and then Wales).

In 1171, the English King Henry II landed in Ireland and was accepted by the Irish Kings as their overlord (=master). During the 13th century, many Anglo-Norman barons settled in Ireland where they were given land by the King. They introduced the French system of feudalism and forced the native Irish to become serfs.

In 1366, the English Parliament prohibited mixed marriages between Irish and Anglo-Norman and Irish laws and customs were abolished in English-controlled areas. The colonization of Ireland had started.

In 1277, Edward I of England invaded Wales after the last Prince of Wales refused to acknowledge his authority. The country soon became part of the English Royal Estate and was re-organized into 5 countries, after the English model. In 1301, the English King became the Prince of Wales.

The Anglo-Normans never managed to conquer Scotland. After a series of unsuccessful invasions, the English were finally forced out in 1314. Scottish independence was secured for 4 centuries.

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L’organisation du travail

Avec la révolution industrielle, la division du travail s’est développée (cf. Adam Smith).

La notion d’appareil productif ne se limite pas à sa dimension économique et technique (progrès technique, innovations, investissements, profits…), il faut aussi tenir compte de la dimension sociale de l’entreprise.

Toute forme d’organisation du travail présente aujourd’hui 4 objectifs :

  • produire le plus possible
  • dans les délais les plus courts
  • avec le moins d’efforts
  • en tenant compte de la qualité

Le sociologue Alain Touraine distingue 3 phases dans l’évolution de l’organisation du travail :

  • l’ancienne organisation du travail
  • le taylorisme – fordisme
  • le post-taylorisme

I – Phase A : l’ancienne organisation du travail

Composée de l’artisanat et des petites entreprises. L’ouvrier était qualifié et était capable de transmettre son savoir-faire aux plus jeunes.

Il avait une certaine liberté et les rapports humains étaient plus importants (confiance).

II – Phase B : le taylorisme – fordisme

A – Le taylorisme

Le taylorisme est dû à un ingénieur américain, Taylor (1856-1915), qui a poursuivi la pensée d’Adam Smith : il crée l’Organisation Scientifique du Travail (OST), i. e. une organisation rationnelle reposant sur 3 principes :

1 – Séparation radicale entre la conception et l’exécution

C’est la division verticale du travail. La conception concerne les bureaux des méthodes dont le rôle est de penser (cols blanc).

L’exécution concerne les ateliers dont le rôle est de fabriquer (cols bleus). L’objectif est de mettre en valeur le savoir de l’ouvrier.

2 – Découpage des activités en tâches élémentaires et non qualifiées

C’est la division horizontale du travail : la parcellisation des tâches :

  • une tâche simple
  • une tâche répétitive
  • en peu de temps
  • la méthode la plus efficace : “the one best way”

3 – Le salaire au rendement

L’appât du gain permet de stimuler l’activité et la productivité et d’obliger l’ouvrier spécialisé (OS) à suivre la cadence.

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Rationalité et esprit du capitalisme

Introduction

Max Weber (1864-1920), sociologue allemand, a écrit l’Ethique Protestante et l’Esprit du Capitalisme en 1905 et a essayé d’expliquer le sens profond du passage d’une société traditionnelle à une société moderne.

Il s’interroge sur les origines du capitalisme, la rationalisation des activités économiques et sociales et la bureaucratie. Le Protestantisme est pour Weber lié à l’esprit du capitalisme.

[toc]

I – La rationalisation des sociétés occidentales selon Weber

A – Rationalité?

Calcul, objectif, contraintes : adaptation des moyens aux fins. Dans les sociétés modernes on accorde de l’importance :

  • aux calculs
  • aux prévisions
  • aux méthodes rigoureuses
  • aux techniques de gestion
  • le droit codifie les relations
  • la loi définit les principes généraux

Weber distingue 2 types de rationalité :

la rationalité par rapport aux fins

exemple : une entreprise a un objectif ( le profit), elle va faire des calculs et s’adapter au contraintes (concurrence).

la rationalité par rapport aux valeurs

exemple : l’éthique protestante

Chaque individu est marqué par des manières de faire et de penser : les hommes ont un éthos. Le capitalisme est avant tout la rationalité appliquée à l’économie (mode de pensée particulier).

B – Rationalisation ?

La rationalisation est un processus des sociétés occidentales qui prône l’extension de la rationalité à l’ensemble du monde social :

  • l’entreprise : taylorisme, techniques de gestion
  • les administrations : bureaucratie
  • la vie politique
  • l’organisation syndicale

Les sociétés modernes sont donc des sociétés rationnelles désenchantées car elles accordent peu d’importance aux croyances, au sacré, aux mythes et au surnaturel.

La rationalisation est le thème central de son interprétation de la société moderne.

C – Les différents types d’action

Weber distingue 4 types d’action.

L’action rationnelle par rapport à un but : l’acteur conçoit clairement le but et combine les moyens en vue d’atteindre celui-ci.

L’action rationnelle par rapport à une valeur : l’acteur accepte tous les risques, non pour obtenir un résultat extrinsèque mais pour rester fidèle à l’idée qu’il se fait de l’honneur.

L’action affective : est dictée immédiatement par l’état de conscience ou par l’humeur du sujet. L’action est définie non pas par référence à un but mais par la réaction émotionnelle de l’acteur placé dans les circonstances données.

L’action traditionnelle : est dictée par des habitudes, des coutumes, des croyances. L’acteur n’a besoin ni de se représenter un but, ni de concevoir une valeur, ni d’être animé par une émotion : il obéit simplement aux réflexes enracinés par une longue pratique.

Les critères utilisés pour bâtir cette typologie sont l’existence ou l’absence de signification donnée par l’acteur à son action.

Pour le sociologue, l’action par rapport à un but et l’action par rapport à une valeur sont les plus intéressantes car elles sont rationnelles.

D – Les 3 formes de domination

1 – Le pouvoir légitime

Le pouvoir légitime est le pouvoir auquel on consent et que l’on ne conteste pas dans son principe. Il existe 3 raisons qui justifient la domination. Selon Weber, il existe 3 types de pouvoir fondés chacun sur une légitimité différente.

2 – Les 3 formes de domination

La domination traditionnelle : (dans les sociétés traditionnelles) : par les habitudes, croyances aux traditions, on obéit à des personnes d’un rang différent (patriarche, seigneur).

La domination charismatique : repose sur la personnalité, les qualités, la confiance d’une personne (prophète, souverain). Jésus et Hitler sont des chefs charismatiques. La seule qualité du chef charismatique est la compétence à persuader ceux dont il cherche à obtenir l’obéissance qu’il possède un ou plusieurs dons extraordinaires.

La domination légale rationnelle : fondée sur la loi, la légalité. Pouvoir dû à des règles établies rationnellement (gouvernement, fonctionnaires). La bureaucratie est l’acceptation de la loi et du droit.

Pour Weber, la bureaucratie représente le mode de fonctionnement des sociétés modernes (processus de rationalisation).

Ceux qui exercent cette domination doivent faire preuve de neutralité : ce sont des agents spécialisés qui agissent de manière impersonnelle. Ils sont nommés par concours et Weber affirme que la bureaucratie n’existe pas que dans l’administration mais aussi dans les grandes entreprises, les partis politiques et les organisations syndicales.

C’est pour Weber la forme d’organisation la plus efficace quant à ses résultats car elle est rationnelle. Elle caractérise les sociétés modernes.

II – Protestantisme et esprit du capitalisme

A – La thèse de Weber

Economie et religion sont deux thèmes étudiés par Weber dans son ouvrage l’Ethique protestante et l’esprit du capitalisme en 1905 et dans lequel il cherche à étudier l’influence que peut avoir la religion dans l’économie.

Weber veut prouver que l’ascétisme préconisé par les protestants entre le 16ème et le 18ème siècle a favorisé l’essor du capitalisme en Angleterre.

La religion protestante produit une certaine éthique et l’intériorisation de cette éthique conduit à un certain éthos.

Weber s’intéresse plus particulièrement au protestantisme puritain (calvinisme). Il existe donc une relation entre religion et changement social. En mettant en pratique cet éthos, les individus ont adapté des comportements favorables à l’essor du capitalisme.

B – Explications

1 – la rationalisation et l’ascétisme religieux

Les protestants doivent avoir une conduite rationnelle :

  • but : accéder au salut éternel
  • rationalité par rapport à une valeur
  • moyen : en menant une vie ascétique rationalisée

2 – la prédestination

Calvin a introduit l’idée de prédestination : le calviniste ne peut savoir s’il sera sauvé ou damné ; de Dieu seul dépend le salut au-delà de la mort.

Pour les catholiques, c’est en fonction de leurs actions qu’ils seront sauvés ou non. Pour les calvinistes, leur conduite sur Terre ne change rien : le protestant est prédestiné. Il faut cependant que sa conduite ne soit pas immorale.

Suis-je un élu ? Le travail sans relâche dans un métier est le meilleur moyen pour dissiper le doute religieux. Le calviniste doit mener une vie laborieuse et austère : la prospérité de ses affaires est le signe de l’élection divine. L’ascétisme protestant est donc l’esprit du capitalisme car deux rationalités sont liées :

  • la rationalité par rapport à une valeur : éthique protestante
  • la rationalité par rapport à un but (économiste) : esprit du capitalisme

3 – la valorisation du travail

Le travail est une forme d’ascèse qui permet de se rapprocher de Dieu, d’éviter de trop s’adonner au plaisir et de ne pas gaspiller son temps.

4 – le métier : une vocation

Le métier a une connotation religieuse de vocation : c’est Dieu qui appelle chaque homme à exercer une activité professionnelle. Ce concept à connotation religieuse valorise l’activité lucrative capitaliste : il s’agit d’une rationalité par rapport à une valeur.

Pour un puritain, l’enrichissement n’est pas une fin en soi, il répond simplement à l’appel de Dieu.

5 – l’épargne

L’ascétisme puritain freine la consommation lorsqu’elle porte sur le superflu et l’ostentatoire. Si la consommation baisse alors l’épargne augmente, de même que l’investissement (E = I).

L’ascétisme protestant a contribué à développer l’esprit du capitalisme : l’enrichissement est un signe que le protestant est promis au salut éternel.

III – L’irrationnalité de certains Pays En Développement (PED)

Les blocages culturels sont souvent évoqués pour expliquer la stagnation de certains PED qui sont encore sous l’emprise d’une pensée magique, irrationnelle ou issue de la tradition. Ils n’ont pas la rationalité nécessaire au développement dans leur culture.

Les modèles de développement capitalistes sont le travail, l’investissement, la recherche du profit, la productivité…

IV – Les Pays En Développement et la bureaucratie

Les dominations importantes dans les PED sont traditionnelles et charismatiques. Or le modèle des pays développés est la domination légale-rationnelle (bureaucratique).

La bureaucratie existe aussi dans les PED mais elle fonctionne sur un modèle clientéliste. L’existence d’une bureaucratie pléthorique est coûteuse pour des pays aux budgets limités.

Le clientélisme est la pratique qui consiste pour le détenteur d’un pouvoir à favoriser des personnes ou groupe de personnes (clientèle) au détriment des autres en échange de la garantie de conserver un pouvoir. Exemple : attribution des postes administratifs en fonction du clientélisme et non du mérite (non rationnel).

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La révolution industrielle

I – Qu’est ce que la révolution industrielle ?

La révolution industrielle est l’essor général des méthodes industrielles de production. Elle caractérise le passage plus ou moins rapide de la société traditionnelle pré-capitaliste à la société industrielle capitaliste avec la création de classes sociales.

Transformations caractéristiques :

Technique :

transformations agricoles

innovations techniques fondamentales

machinisme, taylorisme, multiplication des usines

progrès technique continu

Economie

capitaux mobilisés en vue du profit

forme capitaliste de production et d’échanges

urbanisation

Finance

montée en puissance de la bourgeoisie

création de sociétés de capitaux (Sociétés Anonymes – S. A.)

Social

formation de la classe ouvrière

séparation propriétaire – salariés

Les caractéristiques du mode de production capitaliste sont le progrès technique continu, la mobilisation des capitaux en vue du profit et la séparation entre les propriétaires des moyens de production et les salariés.

La révolution industrielle est une évolution intellectuelle, économique et sociale à long terme. Il y a eu plusieurs r évolutions industrielles mais c’est surtout la première qui a connu des transformations économiques et sociales importantes.

II – La naissance du système capitaliste

La révolution industrielle est l’évènement fondamental pour l’avènement du capitalisme. On passe d’une société traditionnelle pré-capitaliste à une société industrielle capitaliste.

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Le marché d’un produit et ses limites

I – Le marché

A – Définition

Le marché est le lieu de rencontre entre des offreurs et des demandeurs. Cette confrontation aboutit à la formation d’un prix.

B – Les différents types de marché

Un marché est défini par différents critères.

1 – La nature des biens échangés

marché des biens et services : prix (fruits)

marché du travail : salaires

marché des matières premières : cours (café)

marché interbancaire : taux d’intérêt (monnaie banque centrale)

marché des changes : cours (devises)

marché financier : cours (actions)

marché des capitaux : capital (échange de capitaux)

2 – Le lieu

  • réel (produits)
  • fictif (interbancaire)

3 – Sa périodicité

  • marché local : toutes les semaines
  • marché interbancaire : tous les jours

C – L’économie de marché

L’économie de marché est synonyme d’économie libérale et d’économie capitaliste.

C’est l’économie adoptée par les Pays Développé à Economie de Marché (P.D.E.M.) dont font partie la France, la Grande Bretagne, les Etat-Unis, l’Allemagne…

Les pays de l’Est sont en transition vers une économie de marché car le marché joue un rôle central dans le fonctionnement de l’économie des PDEM (loi de l’offre et de la demande).

L’économie libérale s’oppose à l’économie planifiée (contrôlée par l’Etat).

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Individus et groupes sociaux : la stratification sociale

I – La stratification sociale

C’est la division de la société en groupes différents en fonction de critères variables. La société est une superposition de strates.

Une strate sociale regroupe toutes les personnes présentant une situation semblable pour un critère social donné et qui se situent ainsi dans un même niveau de la hiérarchie du prestige.

La stratification de la société a souvent été dépeinte comme une pyramide ou un diamant : plus on descend dans cette pyramide, plus le nombre d’individus est important.

A – Critères de différenciation

1 – Critères de différenciation socio-économiques

  • le patrimoine
  • le prestige
  • les statuts professionnels
  • la formation
  • le pouvoir
  • les revenus

2 – Critères de différenciation psycho-démographiques

  • l’âge
  • le style de vie
  • le sexe

B – Les groupes sociaux

L’individu partage-t-il nécessairement les valeurs et les représentations de son groupe ?

Pour cela, on étudie 2 groupes.

Le groupe d’appartenance est le groupe auquel appartient la personne.

Le groupe de référence est le groupe qui sert d’étalon pour juger de ce qui est bien ou mal tant pour sa conduite que pour celle des autres. Ce sont ses valeurs, ses normes, ses façons d’agir et de se comporter qui constituent l’idéal de celui qui s’y identifie.

II – Divers types de stratification sociale

Toute société comporte une stratification sociale, une hiérarchie. Les critères sont variables selon les sociétés (traditionnelles ou industrielles) : certaines donnent de l’importance aux vertus religieuses, d’autres aux prouesses guerrières et d’autres encore à la possession de richesses, de pouvoir, de prestige…

La manière de délimiter les groupes sociaux est aussi différente selon les sociétés (contours rigides : les castes ; contours plus souples : les classes sociales). Les systèmes de stratification sociale sont donc très divers.

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Don’t ever SuperSize me again

Je boycotte les fast-foods. Fini. Terminé. Over. Je viens de voir SuperSize Me et cela confirme mes craintes : les suceurs de sang capitalistes veulent notre peau. En fait, je crois qu’il l’ont toujours voulu : moins il y a d’invités et plus il y a de gâteau. En même temps, ils ont besoin de nous – pauvres consommateurs – afin d’écouler leur production et de faire de jolis profits, qu’ils accentueront encore en licenciant à la pelle. Dualité paradoxale de ce monde de merde. C’est l’illustration même du parasite : il a besoin d’un hôte pour vivre et doit puiser dans les réserves offertes sans aller jusqu’à le tuer, la mort de l’hôte signifiant sa propre mort.

Demain je fais un footing pour éliminer le Chnickers glaché (oui, c’est froid) que je me suis enfilé avant le début du film. Vraiment. J’ai même préparé mes baskets au pied de l’escalier, c’est dire.

Self-note : penser à éviter les baskets pour ne pas se rétamer sur la première marche avant de déjeuner.