Nous sommes arrivés sur le site du festival vers 14h vendredi, chargés comme des baudets avec nos tentes, sacs de couchage, matelas, sac de vêtements, nourriture…
3 kilomètres plus tard (oui, j’ai trouvé où me garer comme j’ai pu !), on arrive enfin au camping. Fouille en règle des sacs à déballer.
On découvre avec stupeur que les campings 1, 2, 3 et 4 sont déjà complets, alors que le coup d’envoi du festival n’a même encore été donné !!!
Dix minutes de marches supplémentaires nous amènent au camping numéro 5, une vaste plaine de l’Ouest dans laquelle s’égayent une quinzaine de tentes Quechua.
Je lance la mienne, gonflement en 2 secondes chrono : je plante une sardine aux quatre coins pour faire bonne mesure tandis que Julia s’échine avec l’unique arceau de sa canadienne ;-)
Nous faisons un petit tour du site : finies les rangées de toilettes, il y a maintenant des “toilettes sèches”. Pour ceux pour qui le concept de “toilettes sèches” semble un peu obscur, il s’agit d’un petit enclos avec beaucoup de paille à hamster pour absorber l’urine.
Ce doit être plus économique, plus écologique aussi mais au bout de quelques jours, cela sent pas mal le hamster en rut.
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