Cela fait longtemps que je n’avais plus écouté un peu de Popa Chubby, voilà sa version d’Hallelujah :
Toujours aussi bon !
Cela fait longtemps que je n’avais plus écouté un peu de Popa Chubby, voilà sa version d’Hallelujah :
Toujours aussi bon !
Tiens, cela fait longtemps que je n’ai pas fait d’article sur mes découvertes musicales. Je lance donc les articles “coups de cœur” qui ont pour but de faire découvrir quelques artistes sympas à suivre.
Joanne Shaw Taylor est une anglaise née en 1985. Son jeu est influencé par Albert Collins et Steve Ray Vaughan : style énergique, gros son de guitare, voix enrouée du blues… elle ne tarde pas à se faire remarquer par Dave Stewart (Eurythmics) alors qu’elle a 16 ans à peine. Il l’emmène dans sa tournée européenne en 2002.
Depuis, elle a sorti deux albums : White Sugar (2009) et Diamonds in the Dirt (2010). J’ai une préférence pour le premier.
Samedi soir, j’ai assisté au concert de Steve Lukather (ex-guitariste de Toto, entre autres) à l’Élysée Montmartre à Paris.
Une fois n’est pas coutume, je suis en avance. La salle se remplit tranquillement et au moment où le concert commence (pile à l’heure, 20h30), elle est quasi bondée.
Pas de première partie, Steve Lukather arrive sur scène avec le reste de son groupe : Steve Weingart aux claviers, Eric Valentine aka “Mister Chocolate” à la batterie et Renée Jones à la basse.
Le son était pas mal, même si je pense que l’on n’entendait pas suffisamment la basse.
Certains morceaux m’ont rappelé Dream Theater dans leur composition déstructurée, un morceau a été joué tout doucement genre jazz-rock, il y a eu des morceaux blues, d’autres acoustiques, du shred, du prog… le show est très varié !
Joe Bonamassa fait désormais équipe avec Glenn Hughes, Jason Bonham et Derek Shirinian pour former le groupe Black Country.
Ils ont déjà enregistré 7 morceaux et un album devrait sortir cette année. Voilà un exemple de ce que cela pourrait donner :
Trouvées sur YouTube il y a quelques semaines en sautant de vidéos en vidéos, voici Lulu and the Lampshades :
Paul Personne (de son vrai nom René-Paul Roux) est un guitariste et chanteur français de blues.
J’affectionne particulièrement son style, en plus cela donne super bien sur scène :
Joe Bonamassa joue Bridge To Better Days live sur le plateau d’une chaîne hollandaise (Dutch National Television Talpa) avec une Gibson Historic ’59.
George Thorogood est un musicien de blues-rock américain qui a formé le groupe George Thorogood & the Destroyers au début des années 1970. Sa musique est souvent associé au monde biker.
Cela fait longtemps que je ne vous avais pas proposé d’album à écouter… en voici un qui devrait vous plaire !
Violet Journey est le premier album d’Orianthi, une jeune prodige de la guitare de 23 ans née à Adelaïde, en Australie.
Pour la petite histoire, Orianthi a commencé à jouer à 6 ans, a ouvert la première partie de Steve Vai lorsqu’elle avait 14 ans et ZZ Top à 17 ans. Rien que ça !
Elle a ensuite rencontré et joué avec Carlos Santana et c’est à ce moment là que les choses s’accélèrent puisqu’elle signe avec un grand label américain – Geffen Records – s’installe vivre à Nashville et commence à écrire avec Darrell Brown (Keith Urban), Troy Verges (Leann Rimes) et Angelo (Kings of Leon).
L’album est tout simplement excellent, très varié.
Vendredi soir, je suis allé entendre Popa Chubby au Bataclan. Arrivé juste à l’heure, j’aperçois Arnaud et Arthur, bière à la main, m’attendant tranquillement accoudés à la table des goodies à l’effigie du groupe.
Le temps d’aller chercher ma coupe de houblon et de trinquer avec les copains, Popa entre sur scène, saluant le public les bras grands ouverts. Il se porte toujours aussi bien et portait son chapeau de feutre noir.
Pour la petite histoire, Popa Chubby, de son vrai nom Ted Horowitz, est un chanteur et guitariste de blues et de rock new-yorkais. Son nom de scène est tiré d’une expression d’argot, “pop a chubby”, qui signifie “avoir une érection”. Chacun de ses albums est un concept en lui-même. Son style agressif fait de lui le leader d’un genre musical nouveau, le New York City Blues.
Hier soir, j’ai assisté au concert donné par Paul Personne et Hubert-Félix Thiéfaine à l’Olympia, en compagnie d’Olivier, un collègue d’histoire-géographie plutôt rockeur.
Arrivés dans la salle, nous constatons que tous les fauteuils ont été retirés, signe qu’il va y avoir du monde. D’ailleurs la salle est déjà à moitié remplie.
On s’assoit, histoire de ne pas se fatiguer inutilement. L’air est frais à cause de la climatisation qui souffle du sol : mieux vaut avoir un petit pull !
Une fois n’est pas coutume, j’ai – momentanément mais je compte sur vous pour me rafraichir la mémoire! – oublié le nom du groupe qui a joué en première partie. Le groupe Catleya, normalement composé de quatre personnes, ne comprenait que le guitariste et la chanteuse… ce qui est un peu étrange : lorsque l’on a la chance de venir jouer à l’Olympia, on vient normalement avec le groupe au complet, non ?