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Serveur dédié : passage au mod FastCGI et PHP-FPM avec Apache MPM Worker

Aujourd’hui, j’ai changé la manière dont Apache et PHP interagissent ensemble.

Concrètement, au lieu d’utiliser la configuration par défaut du serveur Apache, c’est-à-dire le module mod_php par défaut, le serveur utilisera dorénavant mod_fastcgi (fastcgi) avec PHP-FPM (FastCGI Process Manager).

PHP : mod_php vs mod_fastcgi

La raison principale pour laquelle mod_php utilise plus de ressources réside dans le fait que le module est chargé par le serveur même lors de requêtes pour des fichiers autres que PHP, comme des fichiers HTML ou des fichiers JavaScript.

debian-apache-php-fpm

FastCGI Process Manager (PHP-FPM) aide à réduire l’addition des ressources système utilisées en forçant le serveur à agir comme un proxy et à ne passer que les fichiers portant l’extension php à PHP-FPM.

Ce tutoriel assume que vous avez une installation Apache/PHP sous Debian qui tourne sous mod_php, c’est-à-dire une installation standard. Les changements prennent moins de 15 minutes.

Objectifs : gagner en rapidité d’exécution et avoir une installation plus légère. On peut ainsi envisager un jour de changer Apache pour un autre serveur tout en gardant la même configuration PHP.

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PHP : résoudre l'erreur

PHP : résoudre l’erreur Apache “child pid xxxx exit signal Segmentation fault (11)”

php-logo

J’ai découvert dernièrement qu’après une mise à jour du module php-apc, mes logs Apache étaient emplis de message d’erreur comme ceux-ci :

[Sun Nov 02 09:15:11 2014] [notice] child pid 5937 exit signal Segmentation fault (11)
[Sun Nov 02 09:17:36 2014] [notice] child pid 5586 exit signal Segmentation fault (11)
[Sun Nov 02 09:21:50 2014] [notice] child pid 6230 exit signal Segmentation fault (11)
[Sun Nov 02 09:21:51 2014] [notice] child pid 6388 exit signal Segmentation fault (11)
[Sun Nov 02 09:21:52 2014] [notice] child pid 6228 exit signal Segmentation fault (11)
[Sun Nov 02 09:21:53 2014] [notice] child pid 6235 exit signal Segmentation fault (11)
[Sun Nov 02 09:21:54 2014] [notice] child pid 6392 exit signal Segmentation fault (11)
[Sun Nov 02 09:21:55 2014] [notice] child pid 6385 exit signal Segmentation fault (11)Code language: CSS (css)

Cela en fait des erreurs !

Augmenter la taille de la limite de mémoire PHP

Sur le serveur, APC est configuré pour utiliser un unique segment de 128 Mo. Le problème, c’est que la directive memory_limit de PHP est elle aussi à 128 Mo. Par conséquent, il convient d’augmenter cette dernière :

1. On édite notre fichier de configuration PHP :

nano /etc/php5/apache2/php.ini

2. On recherche (Ctrl + w) le mot clé memory_limit et on remplace:

; Maximum amount of memory a script may consume (128MB)
; http://php.net/manual/en/ini.core.php#ini.memory-limit
memory_limit = -1Code language: JavaScript (javascript)

par

; Maximum amount of memory a script may consume (128MB)
; http://php.net/manual/en/ini.core.php#ini.memory-limit
; memory_limit = -1
memory_limit = 256MCode language: JavaScript (javascript)

3. On enregistre la nouvelle configuration et on relance Apache :

service apache2 restart

Vérifiez maintenant les logs Apache. Cela peut ne pas être suffisant.

Désinstaller APC

Dans mon cas, avec PHP 5.4.x, APC semble générer ces erreurs de manière aléatoire. J’ai donc désactivé APC avec :

apt-get remove php5-apcCode language: JavaScript (javascript)

Après relance du serveur Apache et analyse des logs, la situation est revenue à la normale :

Apache PHP/5.4.34 configured -- resuming normal operations

Le problème viendrait donc d’APC et de PHP 5.4 – il est important de noter que PHP 5.5 contient déjà un optimiseur de code intégré (Zend) donc à la prochaine mise à jour majeure de PHP, il sera inutile d’installer APC.

PHP: résoudre l'erreur

PHP : résoudre l’erreur “it is not safe to rely on the system’s timezone settings”

php-logo

Voici le message d’erreur PHP qui est apparu récemment dans mes logs Apache :

PHP Warning: strtotime(): It is not safe to rely on the system’s timezone settings. You are *required* to use the date.timezone setting or the date_default_timezone_set() function. In case you used any of those methods and you are still getting this warning, you most likely misspelled the timezone identifier. We selected the timezone ‘UTC’ for now, but please set date.timezone to select your timezone.

Ajout de la directive date.timezone dans php.ini

On commence par trouver le fichier php.ini qui est actuellement utilisé par le serveur. Il en existe plusieurs, suivant les modules activés donc on commence par repérer le bon avec :

php -i | grep 'Configuration File'Code language: JavaScript (javascript)

Résultat :

Configuration File (php.ini) Path => /etc/php5/cli
Loaded Configuration File => /etc/php5/cli/php.ini
PHP Warning:  Unknown: It is not safe to rely on the system's timezone settings. You are *required* to use the date.timezone setting or the date_default_timezone_set() function. In case you used any of those methods and you are still getting this warning, you most likely misspelled the timezone identifier. We selected the timezone 'UTC' for now, but please set date.timezone to select your timezone. in Unknown on line 0Code language: JavaScript (javascript)

Effectivement, l’erreur est répétée même dans un simple phpinfo(). On édite donc notre fichier :

nano /etc/php5/cli/php.ini

La page de manuel des timezones nous indique toute la liste des fuseaux horaires disponibles. Nous choisissons celle qui correspond à l’emplacement de notre serveur : ‘Europe/Paris’.

On recherche la bonne directive avec Ctrl + W et en tapant :

date.

On trouve alors :

[Date]
; Defines the default timezone used by the date functions
; http://php.net/manual/en/datetime.configuration.php#ini.date.timezone
;date.timezone =Code language: JavaScript (javascript)

qu’il faut modifier en :

[Date]
; Defines the default timezone used by the date functions
; http://php.net/manual/en/datetime.configuration.php#ini.date.timezone
date.timezone = 'Europe/Paris'Code language: JavaScript (javascript)

On relance Apache pour prendre en compte la nouvelle configuration :

service apache2 restart

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Serveur dédié : configurer Transmission pour accéder au WebUI via TLS-SSL

TLS est activé sur notre serveur Apache, WordPress sert désormais ses pages avec une connexion chiffrée et Webmin se sert de notre certificat SSL.

Aujourd’hui, je cherche à lancer le client bittorent Transmission et… je tombe sur un message d’erreur qui m’empêche d’accéder son interface web : “Error code: ssl_error_rx_record_too_long”.

transmission-icon

Voici donc comment corriger le problème et afficher l’interface Web de Transmission en HTTPS. Ce tutoriel prend moins de 10 minutes à réaliser.

Erreur : “SSL received a record that exceeded the maximum permissible length”

Le premier message d’erreur sur lequel je tombe est le suivant :

Secure Connection Failed

An error occurred during a connection to www.example.com:9091. SSL received a record that exceeded the maximum permissible length. (Error code: ssl_error_rx_record_too_long)

Je commence par vérifier le fichier de configuration de Transmission et m’aperçoit assez rapidement qu’il ne sera d’aucun secours.

Une recherche sur le net m’informe qu’il faut probablement voir du côté de la configuration Apache – qui ne contenait jusqu’alors aucune référence à Transmission.

Plusieurs essais de configuration plus tard, l’erreur se transforme en erreur 409.

Erreur “409: Conflict”

Le second message auquel je me heurte est le suivant :

409: Conflict

Your request had an invalid session-id header.

To fix this, follow these steps:

When reading a response, get its X-Transmission-Session-Id header and remember it
Add the updated header to your outgoing requests
When you get this 409 error message, resend your request with the updated header

This requirement has been added to help prevent CSRF attacks.

C’est la première fois que je tombe sur une erreur 409, je suis plutôt content. Je continue donc de tester diverses directives Apache jusqu’à trouver la bonne recette pour faire fonctionner le client web UI de Transmission over SSL.

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Serveur dédié : passer WordPress en HTTPS (TLS/SSL)

Vous avez sauté le pas et avez validé votre nom de domaine avec un certificat TLS/SSL. Très bien ! Voyons comment passer WordPress sur la version sécurisée de votre site.

Il existe des plugins WordPress entièrement dédiés à SSL pour rediriger vers les pages sécurisées mais on peut très bien faire sans, avec un peu d’huile de coude.

Le tutoriel est pour Debian et WordPress tourne sous Apache chez moi. Cela prend moins d’une heure pour configurer l’essentiel mais il est probable que vous ayez des petites corrections (thèmes, plugins) pour que tout soit servi en https.

Le but est de tout (oui, absolument tout!) servir via la connexion sécurisée.

Étape 1 : configurer Apache

On édite notre fichier de configuration :

nano /etc/apache2/sites-available/www.skyminds.net

et voici ce que garde pour VirtualHost *:80 :

ServerName www.skyminds.net
ServerAlias skyminds.net
DocumentRoot /home/skyminds/public_html/
Redirect 301 / https://www.skyminds.net/Code language: JavaScript (javascript)

La directive ServerName est nécessaire. Ensuite, une simple redirection renvoie toutes les requêtes du port 80 vers le port 443, sécurisé. Même pas besoin de mod_rewrite!

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Serveur dédié : sécuriser Apache avec HTTPS (HTTP avec la couche TLS/SSL) en Perfect Forward Secrecy

Cela fait quelques mois que j’en parle mais aujourd’hui je le fais, je passe le site en HTTPS – ou techniquement en HTTP avec la couche TLS.

Après les révélations d’Edward Snowden et les multiples affaires concernant les écoutes et les fuites des données des citoyens, je pense qu’il est temps de reprendre un peu les choses en main et de nous intéresser au chiffrement de nos connexions.

La réalisation de ce tutoriel prend moins de 30 minutes, il y a peu de fichiers à éditer et de lignes à copier mais il faut être assez attentif aux diverses manipulations (notamment lors de la génération du certificat).

SSL ou TLS ?

Secure Sockets Layer (SSL) est un protocole cryptographique qui permet une communication sécurisée sur Internet. SSL a été développée par Netscape. SSL 2.0 date de 1995, SSL 3.0 de 1996. Les navigateurs actuels ne supportent plus SSL 2.0.

Transport Layer Security (TLS) est le successeur de SSL. TLS 1.0 date de 1999, TLS 1.1 de 2006 et TLS 1.2 de 2008.

Depuis septembre 2014, la dernière version de tous les navigateurs majeurs supporte SSL 3.0, TLS 1.0, 1.1, et 1.2 activés par défaut et les mitigations contre les attaques connues ont été implémentées.

Les navigateurs qui posent encore problème :

– support de TLS 1.1 and 1.2 mais désactivés par défaut : Internet Explorer (8–10 for Windows 7 / Server 2008 R2, 10 for Windows 8 / Server 2012, Mobile 10 for Windows Phone 8), Opera 12

– non-support de TLS 1.1 et 1.2: Internet Explorer (6-8 for Windows Server 2003, 7–9 for Windows Vista / Server 2008, Mobile 7 and 9 for Windows Phone 7.x), Safari 6 for Mac OS X 10.7 and 10.8

– mitigations contre les attaques connues non implémentées: Safari 6 for Mac OS X 10.7

HTTPS et TLS

Le protocole HTTPS (“Hypertext Transport Protocol Secure” ou protocole de transfert hypertexte sécurisé) protège l’intégrité et la confidentialité des informations des visiteurs d’un site.

Par exemple, lorsqu’un internaute saisit des informations dans un formulaire en ligne afin de recevoir des notifications ou d’acheter un produit, un site sécurisé protège les informations personnelles de cet internaute et garantit que ce dernier communique bien avec le propriétaire autorisé du site.

Avec le HTTPS, les informations sont sécurisées via le protocole Transport Layer Security (TLS), qui offre trois niveaux clés de protection.

1. le chiffrement : consiste à coder les données échangées pour les protéger des interceptions illicites. Cela signifie que lorsqu’un internaute navigue sur un site Web, personne ne peut “écouter” ses conversations, suivre ses activités sur diverses pages ni voler ses informations.

2. l’intégrité des données : les informations ne peuvent être ni modifiées, ni corrompues durant leur transfert, que ce soit délibérément ou autrement, sans être détectées.

3. l’authentication : prouve que les internautes communiquent avec le bon site Web. Cet élément protège contre les attaques de l’homme du milieu (“Man In The Middle” aka MITM) et instaure un climat de confiance pour l’internaute.

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Apache : lorsque le domaine seul (sans WWW) renvoie une erreur 403

Le problème : l’adresse du site sans WWW renvoie une erreur

icon-apache2

Après avoir ajouté un sous-domaine pour mes images, j’ai remarqué qu’en lançant skyminds.net sans le www, je tombais sur une erreur 403 alors que le domaine avait toujours été redirigé vers l’adresse en www jusqu’à présent.

En analysant les logs Apache, je me suis rendu compte que le domaine seul tentait d’afficher le contenu de mon sous-domaine. Or ce contenu est caché étant donné qu’il ne contient que des images.

La solution : indiquer le nom de domaine seul dans ServerAlias

La solution est d’ajouter le nom de domaine seul dans la directive ServerAlias du VirtualHost principal :

ServerName www.skyminds.net
ServerAlias skyminds.netCode language: CSS (css)

Et voilà, tout revient à la normale.

WordPress : héberger les images sur un sous-domaine photo 1

WordPress : héberger les images sur un sous-domaine

Cela fait des années que je parle d’héberger les images du site sur un sous-domaine mais j’ai toujours remis cela à plus tard.

Je pensais que la configuration me prendrait un temps infini mais au final cela ne m’aura pris qu’un peu de réflexion et quelques minutes pour tout finaliser.

Le plus long aura été d’écrire ce tutoriel!

Aujourd’hui, c’est chose faite : les images des articles du site sont donc placées sur un sous-domaine pour des raisons de performances.

subdomains

Voici donc un petit tutoriel qui détaille toutes les étapes. Cela prend environ 20 minutes.

Principe de fonctionnement

Les fichiers du site sont présentement servis par Apache. Le domaine est skyminds.net et nous allons créer un sous-domaine, qui est en fait un répertoire au niveau de l’arborescence du site, qui contiendra toutes les images de nos articles.

Par défaut, WordPress place tous les fichiers uploadés via l’interface d’administration dans /wp-content/uploads.

Nous allons donc créer un sous-domaine (static.skyminds.net) qui pointera vers le répertoire /wp-content/uploads.

L’intérêt est que nous n’avons pas à copier ou à déplacer de fichiers. Cela permet aussi de revenir à une installation plus classique à tout moment, sans intervention majeure.

Une fois ce VirtualHost créé, il ne reste plus qu’à modifier les options de WordPress pour les futurs articles et changer les anciennes URI des images dans les anciens articles. P

our finir, nous redirigerons les anciennes URI vers les nouvelles via .htaccess.

Etape 1 : on crée le sous-domaine sur le serveur Apache

Commençons par créer un nouveau VirtualHost pour notre sous-domaine:

nano /etc/apache2/sites-available/static.skyminds.netCode language: JavaScript (javascript)

et ajoutons-y ceci :

ServerAdmin webmaster@localhost
DocumentRoot /home/skyminds/public_html/wp-content/uploads
ServerName static.skyminds.net
ErrorLog /var/log/apache2/www-error.log

        
          AllowOverride None
          RequestHeader unset Cookie
          Header unset Set-Cookie
          Options FollowSymLinks
          Order allow,deny
          Allow from allCode language: JavaScript (javascript)

Plusieurs choses sont importantes à noter dans ce fichier de configuration Apache:

  • DocumentRoot pointe vers le répertoire /home/skyminds/public_html/wp-content/uploads
  • on retire tous les cookies servis par static.skyminds.net

Pas de cookies, pas de soucis et un site qui gagne en rapidité !

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PHP : résoudre l'erreur

OVH : activez PHP-FPM sur votre hébergement

OVH est en pleine implémentation du module PHP-FPM sur ses offres, (et ici dans leur guide), ce qui permettrait selon la team OVH “d’accélérer les temps de réponses de PHP et d’obtenir des performances jusque 7 fois plus rapides dans nos labos par rapport au moteur actuel”.

Activation de PHP-FPM

Pour activer ce mode sur votre offre, il suffit de créer un fichier .ovhconfig à la racine de l’arborescence FTP, dans le dossier parent du répertoire /www.

Si vous souhaitez activez PHP 7, voici ce que doit contenir votre .ovhconfig:

app.engine=php
app.engine.version=7.0
http.firewall=none
environment=production

Si vous souhaitez activez PHP 5.6, voici ce que doit contenir votre .ovhconfig:

app.engine=php
app.engine.version=5.6
http.firewall=none
environment=production

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Serveur dédié : mise à jour vers Debian 7 Wheezy

Hier soir, j’ai mis le serveur à jour : nous passons de Debian 6 (“Squeeze”) à Debian 7 (“Wheezy”) – vous l’aurez remarqué : chez Debian, les versions portent le nom de personnages de Toy Story :)

Histoire de garder une trace de ce que je fais, voici les étapes que j’ai suivies.

Contrairement aux versions précédentes, Debian recommande d’utiliser apt-get au lieu d’aptitude. Donc acte dans ce tutoriel.

Etape 1 : s’assurer que le système est à jour

On vérifie que notre Squeeze est à jour :

apt-get update && apt-get upgradeCode language: JavaScript (javascript)

Etape 2 : installer les nouveaux dépôts

Pour voir vos dépôts existants :

cat /etc/apt/sources.listCode language: PHP (php)

Résultat :

deb http://mirror.ovh.net/debian/ squeeze main contrib
deb-src http://mirror.ovh.net/debian/ squeeze main contrib

deb http://security.debian.org/ squeeze/updates main contrib
deb-src http://security.debian.org/ squeeze/updates main contrib

# Webmin
deb http://download.webmin.com/download/repository/  sarge contrib

# varnish
deb http://repo.varnish-cache.org/debian/ squeeze varnish-3.0

# mod security
deb  squeeze-backports main 

# dotdeb updated LAMP servers
deb http://packages.dotdeb.org squeeze all
deb-src http://packages.dotdeb.org squeeze allCode language: PHP (php)

Il faut remplacer toutes les occurrences de squeeze en wheezy. On peut le faire avec cette commande :

sed -i 's/squeeze/wheezy/g' /etc/apt/sources.listCode language: PHP (php)

Evidemment, il y a un piège : le dépôt des backports a changé de nom et d’adresse. Il se trouve désormais ici :

deb http://ftp.debian.org/debian/ wheezy-backports mainCode language: JavaScript (javascript)

Après modification, voici donc notre sources.list :

deb http://mirror.ovh.net/debian/ wheezy main contrib
deb-src http://mirror.ovh.net/debian/ wheezy main contrib

deb http://security.debian.org/ wheezy/updates main contrib
deb-src http://security.debian.org/ wheezy/updates main contrib

# Webmin
deb http://download.webmin.com/download/repository/  sarge contrib

# varnish
deb http://repo.varnish-cache.org/debian/ wheezy varnish-3.0

# mod security
deb http://ftp.debian.org/debian/ wheezy-backports main

# dotdeb updated LAMP servers
deb http://packages.dotdeb.org wheezy all
deb-src http://packages.dotdeb.org wheezy allCode language: PHP (php)

Etape 3 : lancement de la mise à jour partielle

Mise à jour des fichiers :

apt-get updateCode language: JavaScript (javascript)

Aucune erreur. On continue avec la mise à jour minimale des paquets :

apt-get upgradeCode language: JavaScript (javascript)

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Serveur dédié : installation d'Apache, PHP, MySQL et Webmin photo

Serveur dédié : des paquets LAMP à jour sous Debian

Problème : des paquets vieillots

Lorsque votre serveur tourne sous Debian, les paquets sont éprouvés mais souvent datés. Ils tournent bien mais on ne peut pas vraiment bénéficier des versions les plus actuelles pour Apache, MySQL ou PHP par exemple.

La solution : ajouter un nouveau dépôt pour LAMP

La solution est tout simple, il suffit d’ajouter un nouveau dépôt, Dotdeb, qui permet de mettre à jour les paquets libmemcached, mysql, nginx, percona-toolkit, php5, php5-pecl, pinba-engine, redis, ruby-passenger, zabbix.

On édite donc notre liste :

nano /etc/apt/sources.listCode language: PHP (php)

et on ajoute les dépôts de Dotdeb, qui sont maintenus à jour par Guillaume Plessis :

deb http://packages.dotdeb.org stable all
deb-src http://packages.dotdeb.org stable allCode language: JavaScript (javascript)

et enfin, on ajoute la clé GPG :

wget http://www.dotdeb.org/dotdeb.gpg
cat dotdeb.gpg | apt-key add -Code language: JavaScript (javascript)

La mise à jour se fait comme d’habitude :

apt update && apt upgrade

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WordPress : éditer les liens de la base de données pour refléter le changement de structure des permaliens photo 1

WordPress : éditer les liens de la base de données pour refléter le changement de structure des permaliens

wordpress_icon_blue

Il y a quelques mois, je vous ai montré comment changer la structure des permaliens WordPress. Cela fonctionne très bien et tout le trafic des anciennes URL est bien redirigé vers les nouvelles.

Il est toutefois encore possible de faire mieux que cela : éditer toutes les URL de la base de données pour afficher les bons liens directement et éviter les redirections Apache à chaque fois qu’un visiteur clique sur un lien de vos anciens articles.

Cela évite une redirection donc permet d’afficher la bonne page directement, sans le temps de latence dû à l’exécution de mod_rewrite.

Etape 1 : sauvegarder votre base de données

On n’insistera jamais assez sur l’importance de sauvegarder les données avant d’effectuer une quelconque manipulation des données.

Commancez donc par faire une sauvegarde de votre base WordPress, vu que nous allons l’éditer en direct.

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