Southland est une série diffusée sur NBC qui décrit les vies des officiers de police qui vivent et travaillent à Los Angeles.
Parmi les personnages, on trouve l’officier débutant Ben Sherman et son formateur l’officier John Cooper; l’inspecteur Lydia Adams, qui doit équilibrer son travail avec sa mère à charge ; l’officier Chickie Brown, qui aspire à être la première femme dans l’équipe d’élite SWAT et l’inspecteur Sammy Bryant, dont la vie de famille interfère avec sa vie professionnelle.
Nous sommes à Las Vegas et c’est aujourd’hui que nous repartons à New York. Les valises sont prêtes dans les chambres et nous descendons pour prendre le breakfast. Ce n’est pas toujours facile de trouver où prendre le petit déj’ dans les pays anglophones, ça finit souvent dans des fastfood par dépit.
Ayant fait le tour de l’hôtel, c’était Mc Donald’s (oui, oui, à l’intérieur de l’hôtel) ou le diner. Nous choisissons le diner et optons pour un brunch, histoire d’être bien calé : omelette pomme de terre, bacon, cheddar, champignons, saucisses, toasts and jam. Perfect brunch in Vegas !
Dans mon récit de voyage de l’US Summer Trip, je vous ai parlé à plusieurs reprises de Fremont Street et des spectacles auxquels on peut assister gratuitement.
Et bien aujourd’hui, je vous offre un aperçu du Fremont Street Experience, le dôme qui recouvre presque tout Fremont Street et sur lequel sont projetés des films et animations.
En août 2009, on célébrait les 40 ans du festival de Woodstock – le mythique Summer of 69. Voici donc ce que l’on pouvait entendre et voir au Fremont Street Experience :
Notez comme dans la première minute de la vidéo, toutes les devantures de la rue sont illuminées. Dès que la musique commence à jouer et que les premières images défilent, tous les casinos et restaurants éteignent leurs lumières pendant le spectacle.
Il est 6h du matin et nous sommes déjà dans le hall sud du Golden Nugget, qui se trouve être quasiment en face du Plaza, ce qui est plutôt pratique. Nous attendons le bus qui doit nous emmener à l’aérodrome de Boulder City.
Quelques bus s’arrêtent, on demande aux chauffeurs qui nous disent que ce sera le prochain. On en profite pour commander les petits cafés du matin.
J’étais encore en train de me brûler les lèvres lorsque le chauffeur annonce que son bus est tout neuf et qu’il n’accepte personne avec des boissons dans le bus. Du coup, tout le monde a dû balancer son café… pas cool !
Bus to Boulder City
Le bus s’est arrêté dans plusieurs grands hôtels du Strip donc cela nous a permis de voir les entrées des hôtels que nous n’avions pas encore vues. L’hôtel Excalibur me fait vraiment rire, on a l’impression que l’on va dormir chez Mickey !
Le chauffeur est un petit comique et se moque gentiment de tous ceux qui montent dans le bus. Il nous donne aussi quelques tips de choses à voir à Vegas (les fontaines du Bellagio le soir par exemple).
On arrive à Boulder City qui se trouve à 20 miles de Las Vegas. A l’origine, la ville a été créée en 1931 – au moment de la Grande Dépression – pour les ouvriers qui ont construit Hoover Dam.
Elle a été conçue par le gouvernement fédéral pour être une ville idéale et représentant l’avenir. Boulder City compte 15 000 habitants et est une petite ville tranquille qui fait beaucoup penser à celle d’Eurêka : mêmes rues, même ambiance !
Plane ride to The Grand Canyon
Arrivée à l’aéroport. Après quelques minutes d’attente, notre pilote s’approche vers nous. Il porte les lunettes de Top Gun et marche quasiment comme s’il était au ralenti, avec le vent de la piste dans les cheveux – très drôle !
Nous prenons place dans un petit avion qui peut emmener 12 personnes. Curieusement, on fait moins les malins – ce n’est pas la même chose que de monter dans un avion d’une compagnie “standard”.
Ceinture bouclée, appareils photos sortis, audioguide sur les oreilles. Les moteurs se mettent en marche et après un ou deux soubresauts, l’avion décolle. Cela roule pas mal de droite à gauche !
Nous passons au-dessus de Boulder City puis au-dessus de Hoover Dam, un barrage sur la Colorado River à la frontière entre l’Arizona et le Nevada :
Voici une des chansons de notre US Summer Trip 2009 : Going up the Country par Canned Heat.
On a pu l’entendre tous les soirs à 20 heures tapantes dans Fremont Street à Las Vegas alors que sont projetées sur un dôme de verre des images des sixties.
Il est 5h du matin et nous nous trouvons à l’entrée du Plaza, sous les milliers d’ampoules qui en constituent le plafond. Il fait tellement chaud là-dessous que l’on commence quasiment à transpirer !
Nous attendons un bon quart d’heure. Jack regarde sa montre et commence à s’inquiéter de ne pas voir le guide arriver. Les minutes passent et son anxiété grandit. Au fond de moi, je ne désespère pas, j’ai la foi. Je lui dis mais cela ne le rassure pas.
Quelques minutes plus tard, un mini-van arrive : c’est notre guide ! Il s’excuse de son retard et nous annonce que nous serons les seuls lors de cette visite guidée :
G : Nobody is crazy enough to do Death Valley on the hottest summer day ! M : Well, we are :)
Breakfast at the gas station
Nous sortons de Las Vegas puis nous arrêtons à une station service : notre guide en profite pour faire le plein, nettoyer le pare-brise et vérifier ses niveaux tandis que nous allons acheter de l’eau.
Si c’est le jour le plus chaud de l’été et que l’on se retrouve dans le désert, mieux vaut avoir quelque chose à boire.
C’est aujourd’hui que nous quittons San Francisco. Paquetage de valises qui, curieusement, ont de plus en plus de mal à se fermer (la faute aux magasins de Fisherman’s Wharf !).
A la réception de l’hôtel, le réceptionniste est plutôt drôle :
R : Why are you leaving so soon ? M : We’ve got places to go and things to see ! R : Where are you going ? M : To Las Vegas man. R : What are you going to do in Las Vegas ? M : Spend what’s left of our money ! ;-)
Nous voyageons avec US Airways ce coup-ci. Voici quelques photos prises de l’avion à différents intervalles, histoire de voir comme le paysage change :
Lever 5h du matin, le temps de se préparer pour être prêt à partir vers 6h15. Petit thé rapide dans le hall de l’hôtel. Notre chauffeur de mini-bus, un Allemand, se charge de la tournée des hôtels et remplit son mini-bus d’une vingtaine de passagers.
San Francisco – Yosemite Valley
S’ensuit une petite escapade auto-routière, routière puis routière/montagnarde. Nous sommes sortis de San Francisco (sans problèmes), avons traversé la région agricole de San Joaquin Valley puis sommes montés sur les petites routes de montagnes pour rejoindre la Yosemite Valley (cela se prononce /yo-se-me-tee/ ou [joʊˈsɛməti] pour vous autres linguistes).
Quatre heures de route en tout (en comptant la pause pipi/café/muffin/achat de sandwich à mi-trajet) pour rejoindre Yosemite National Park.
Pour commencer, rien de tel que de se réveiller à 5h du matin à cause du jetlag ! Petit déjeuner à l’hôtel où c’est un self-service et donc on en profite pour se blinder pour la journée, qui s’annonce plutôt fraîche : 10°C !
Nous descendons à pied jusqu’au centre-ville de San Francisco et en profitons pour poser devant l’Hotel California. Bon, ce n’est pas celui qui fait la pochette de l’album des Eagles (qui se trouve en réalité dans la banlieue de Los Angeles) mais quand même :
En ville, nous prenons un de ces bus touristiques double-decker open-top. Et pour montrer que nous sommes des warriors, nous allons bien évidemment nous assoir en haut, histoire d’en prendre plein la vue.
Aujourd’hui, nous quittons New York City. Direction JFK airport. A peine arrivés à l’aéroport, on se rend compte immédiatement que c’est le bazar intégral : des gens courent dans tous les sens, des hôtesses battent le rappel pour les derniers voyageurs, des stewards informent des gens qui ne parlent pas anglais que “sorry, you’ve missed your flight…”. Pas glop.
Dans ce chaos, nous apprenons qu’il faut enregistrer ses valises soi-même. Nous faisons la queue sur le trottoir, comme les autres. Sauf que nous ne sommes pas américains donc on nous redirige à l’intérieur de l’aéroport. Re-queue.
L’enregistrement s’effectue sur une borne. Chaque passager peut avoir jusqu’à deux bagages en soute. Cela coûte 20$ par bagage enregistré.
Une fois que les tickets sont imprimés, vous pouvez faire une nouvelle fois la queue pour arriver au tapis roulant sur lequel le steward se fera un malin plaisir de balancer vos bagages d’un geste martial expert.
Voici la troisième journée de l’US Summer Trip. Suite de mes aventures new-yorkaises.
Breakfast at Toastie’s
On se lève tôt et on prend le métro, direction 5th Avenue. On prend le petit déjeuner chez Toastie’s. Je prends un medium coffee et un blueberry muffin. Le medium m’a l’air aussi grand que le large d’hier. Je suis perplexe !
5th Avenue
Balade sur la 5ème avenue : pas mal de grands magasins mais aussi des magasins de souvenirs pas chers, ce qui est plutôt surprenant.
Au passage, on aperçoit une grosse Bentley noire avec pour plaque d’immatriculation “PLAZA” (que l’on ne peut pas lire sur la photo).
The Rockefeller Center
Nous marchons quelques blocs puis revenons sur nos pas vers Rockefeller Plaza pour aller au Rockefeller Center, un complexe commercial construit par la famille Rockefeller composé de dix-neuf bâtiments. Il est situé dans le quartier de Midtown, entre la 5ème avenue et l’avenue des Amériques de l’île de Manhattan.
Le plus grand théâtre couvert américain, le Radio City Music Hall, se trouve dans le complexe du Rockefeller Center, tout comme la plupart des studios new-yorkais de la chaîne NBC.
Le GE Building (financé par General Electrics), gratte-ciel de 70 étages, constitue la pièce centrale du Rockefeller Center, avec une hauteur de 266 mètres.
Avec son toit plat, où est d’ailleurs située l’une des plus célèbres plates-formes d’observation de la ville, le Top of the Rock, la plate forme offre un panorama à 360 degrés sur la ville, que seul l’Empire State Building parvient à égaler.
L’avantage du Rock, c’est qu’il n’y a pas de file d’attente, donc c’est un très bon plan !
Pour la petite histoire, l’ascenseur vous emmène au 67ème étage en… 44 secondes ! Je peux vous dire que c’est impressionnant, surtout qu’il y a une petite animation son et lumière dans le plafond de l’ascenseur, on ne voit pas du tout le temps passer.
En haut, la vue circulaire est tout simplement magnifique : on aperçoit tout New York. Le temps était un peu couvert ce matin-là. Nous avons eu droit à un hélicoptère du NYPD, qui nous a fait un signe de la main en faisant deux fois le tour du bâtiment.
Décidément, entre les gardes-côte et la police en hélicoptère au-dessus de Manhattan, on est sous bonne garde.