Au moment où nous ouvrons les yeux, le soleil est éclatant ! Nous nous empressons de nous préparer, de petit-déjeuner copieusement et nous sommes partis pour une nouvelle journée. Aujourd’hui, au programme, visite de Cefalù.
Après la bonne soirée d’hier, notre impression sur ce petit village est très positive et, au long de la journée, nous ne serons pas déçus. En effet, lorsque nous sortons de notre chambre, la première image qui s’offre à nous est le bleu éclatant de la mer, exalté par le soleil rayonnant.
Cefalù et sa falaise vertigineuse
La particularité de Cefalù est sa construction au pied d’une falaise vertigineuse. Nous sommes bien décidés à l’arpenter. Nous nous engageons donc sur un petit chemin pavé en escaliers bordé par des pins, qui monte le long du rocher.
Il fait très chaud, mais nous avons de l’eau en quantité et sommes bien chaussés. La montée se fait donc sereinement. Au fur et à mesure de notre ascension, la ville médiévale et son petit port se déroulent sous nos pieds.
La vue est absolument splendide et nous en profitons pour faire de belles photos.
Cette année, pour les vacances, j’ai décidé de partir chercher le soleil… en Egypte ! Cela s’est fait un peu au dernier moment : j’ai pris mon billet lundi pour partir deux jours plus tard, mercredi.
Paris – Hurghada
Lever 2h45 du matin, taxi à 3h15, enregistrement à 4h à Roissy Charles de Gaulle où l’on récupère les documents de voyage et le voucher pour le transfert aéroport/hôtel. La journée va être longue ! Embarquement vers 6h, arrivée à Hurghada vers 12h30. L’aéroport est immense, tout en marbre, entièrement climatisé et très peu fréquenté : il était désert à notre arrivée.
Sortis de l’aéroport, on prend une grande claque niveau chaleur : 43° de vent chaud. On se dirige vers les bus qui font tourner leur clim à fond. Un bref coup d’œil sur notre gauche nous montre cinq égyptiens entassés dans une vieille Peugeot 605 break blanche, les jambes dépassant des vitres nous hélant “tax!” – qui veut dire taxi. On se demande bien comment ils pourraient nous emmener, la voiture est blindée !
Nous sommes à Las Vegas et c’est aujourd’hui que nous repartons à New York. Les valises sont prêtes dans les chambres et nous descendons pour prendre le breakfast. Ce n’est pas toujours facile de trouver où prendre le petit déj’ dans les pays anglophones, ça finit souvent dans des fastfood par dépit.
Ayant fait le tour de l’hôtel, c’était Mc Donald’s (oui, oui, à l’intérieur de l’hôtel) ou le diner. Nous choisissons le diner et optons pour un brunch, histoire d’être bien calé : omelette pomme de terre, bacon, cheddar, champignons, saucisses, toasts and jam. Perfect brunch in Vegas !
Il est 6h du matin et nous sommes déjà dans le hall sud du Golden Nugget, qui se trouve être quasiment en face du Plaza, ce qui est plutôt pratique. Nous attendons le bus qui doit nous emmener à l’aérodrome de Boulder City.
Quelques bus s’arrêtent, on demande aux chauffeurs qui nous disent que ce sera le prochain. On en profite pour commander les petits cafés du matin.
J’étais encore en train de me brûler les lèvres lorsque le chauffeur annonce que son bus est tout neuf et qu’il n’accepte personne avec des boissons dans le bus. Du coup, tout le monde a dû balancer son café… pas cool !
Bus to Boulder City
Le bus s’est arrêté dans plusieurs grands hôtels du Strip donc cela nous a permis de voir les entrées des hôtels que nous n’avions pas encore vues. L’hôtel Excalibur me fait vraiment rire, on a l’impression que l’on va dormir chez Mickey !
Le chauffeur est un petit comique et se moque gentiment de tous ceux qui montent dans le bus. Il nous donne aussi quelques tips de choses à voir à Vegas (les fontaines du Bellagio le soir par exemple).
On arrive à Boulder City qui se trouve à 20 miles de Las Vegas. A l’origine, la ville a été créée en 1931 – au moment de la Grande Dépression – pour les ouvriers qui ont construit Hoover Dam.
Elle a été conçue par le gouvernement fédéral pour être une ville idéale et représentant l’avenir. Boulder City compte 15 000 habitants et est une petite ville tranquille qui fait beaucoup penser à celle d’Eurêka : mêmes rues, même ambiance !
Plane ride to The Grand Canyon
Arrivée à l’aéroport. Après quelques minutes d’attente, notre pilote s’approche vers nous. Il porte les lunettes de Top Gun et marche quasiment comme s’il était au ralenti, avec le vent de la piste dans les cheveux – très drôle !
Nous prenons place dans un petit avion qui peut emmener 12 personnes. Curieusement, on fait moins les malins – ce n’est pas la même chose que de monter dans un avion d’une compagnie “standard”.
Ceinture bouclée, appareils photos sortis, audioguide sur les oreilles. Les moteurs se mettent en marche et après un ou deux soubresauts, l’avion décolle. Cela roule pas mal de droite à gauche !
Nous passons au-dessus de Boulder City puis au-dessus de Hoover Dam, un barrage sur la Colorado River à la frontière entre l’Arizona et le Nevada :
C’est aujourd’hui que nous quittons San Francisco. Paquetage de valises qui, curieusement, ont de plus en plus de mal à se fermer (la faute aux magasins de Fisherman’s Wharf !).
A la réception de l’hôtel, le réceptionniste est plutôt drôle :
R : Why are you leaving so soon ? M : We’ve got places to go and things to see ! R : Where are you going ? M : To Las Vegas man. R : What are you going to do in Las Vegas ? M : Spend what’s left of our money ! ;-)
Nous voyageons avec US Airways ce coup-ci. Voici quelques photos prises de l’avion à différents intervalles, histoire de voir comme le paysage change :
Aujourd’hui, nous quittons New York City. Direction JFK airport. A peine arrivés à l’aéroport, on se rend compte immédiatement que c’est le bazar intégral : des gens courent dans tous les sens, des hôtesses battent le rappel pour les derniers voyageurs, des stewards informent des gens qui ne parlent pas anglais que “sorry, you’ve missed your flight…”. Pas glop.
Dans ce chaos, nous apprenons qu’il faut enregistrer ses valises soi-même. Nous faisons la queue sur le trottoir, comme les autres. Sauf que nous ne sommes pas américains donc on nous redirige à l’intérieur de l’aéroport. Re-queue.
L’enregistrement s’effectue sur une borne. Chaque passager peut avoir jusqu’à deux bagages en soute. Cela coûte 20$ par bagage enregistré.
Une fois que les tickets sont imprimés, vous pouvez faire une nouvelle fois la queue pour arriver au tapis roulant sur lequel le steward se fera un malin plaisir de balancer vos bagages d’un geste martial expert.
Comme promis, voici le compte-rendu de mon voyage d’été aux États-Unis. Contrairement aux précédents récits de voyages, je ne mettrai pas “day X” dans le titre de l’article mais je classerai en fonction des villes ou attractions visitées.
Pour la rédaction, je me suis servi de ce que j’avais posté via Twitter ainsi que les quelques centaines de photos prises au cours du voyage.
Il est 9h30 lorsque le taxi nous emmenant à Roissy Charles De Gaulle arrive devant chez moi. “On y sera en moins d’une demi-heure, cela roule bien dans ce sens-là”, avait-il dit au téléphone.
C’était sans compter sans accident sur l’A1. Les regards étaient plutôt inquiets dans la voiture mais finalement cela s’est débloqué juste avant la sortie vers l’aéroport.
Petit pas de course pour aller chercher les cartes d’embarquement et poser les valises. Petit café en attendant l’appel de l’embarquement.