En ce jour un peu spécial étant donné les évènements de ces derniers jours en France, voici Fink interprétant This Is The Thing :
I don’t know if you notice anything different. It’s getting dark and it’s getting cold and the nights are getting long And I don’t know if you even notice at all That I’m long gone
And the things that keep us apart Keep me alive And the things that keep me alive Keep me alone This is the thing
I don’t know if you notice anything missing Like the leaves on the trees or my clothes all over the floor And I don’t know if you even notice at all ‘Cause I was real quiet when I closed the door
And the things that keep us apart Keep me alive And the things that keep me alive Keep me alone This is the thing
And I don’t know if you notice anything different I don’t know if you even notice at all
Voici Promise, un très bon morceau issu de l’album Every Kindom (2011) de Ben Howard :
Ben a filmé cette vidéo alors qu’il rentrait chez lui en voiture, un soir juste après l’enregistrement de l’album. Il s’est ensuite dit que cela collerait bien à l’une de ses “night time songs”.
Estás Tonné est russe (du temps où l’Ukraine appartenait à l’ex-URSS) et un guitariste virtuose qui gère très bien la guitare classique :
Troubadour des temps modernes, Estás Tonné parcourt le monde et s’inspire d’une multitude de références culturelles. Sa musique est une fusion de structures classiques, flamenco, musique tsigane et latine.
Sa musique est harmonieuse, toujours mélodique, pleine d’émotions.
Estás Tonné joue en concert, à des conférences, dans la rue, dans des festivals de yoga ou d’art mais est aussi engagé dans différents projets : cinéma, poésie, méditation… C’est un artiste au sens propre du terme.
Voici Stephen Bennett interprétant Soon du groupe de rock progressif anglais YES sur la nouvelle harpe-guitare Holloway.
Stephen Bennett n’est pas un musicien ordinaire. Sa maîtrise de la harpe-guitare, un instrument fascinant, le distingue. Cet artiste a une capacité unique à repousser les limites musicales, particulièrement avec des pièces du groupe YES. Bennett est un véritable explorateur sonore, reconnu et admiré dans le monde de la musique acoustique.
La harpe-guitare : un instrument unique
La harpe-guitare Holloway est bien plus qu’une simple guitare. C’est un mélange sublime entre guitare et harpe, offrant une richesse sonore inégalée. Avec ses cordes supplémentaires, cet instrument permet des notes plus profondes et complexes.
Imaginez la diversité des sons d’une harpe combinée à la familiarité d’une guitare. C’est une révolution dans l’univers musical, apportant une nouvelle dimension à chaque note jouée.
“Soon” par YES : une reprise innovante
Quand Bennett joue “Soon” de YES sur sa harpe-guitare Holloway, c’est une expérience musicale à part. “Soon”, tiré de l’album “Relayer” de 1974, est un classique du rock progressif.
Sur la harpe-guitare, Bennett revisite ce morceau avec une fraîcheur étonnante. Les harmonies de la harpe s’entremêlent avec les rythmes de la guitare, créant une interprétation riche et multidimensionnelle. C’est une façon audacieuse et innovante de rendre hommage à un grand classique.
Une expérience musicale enrichie
En somme, l’association de Stephen Bennett et de la harpe-guitare Holloway est un mariage parfait entre talent et innovation. La reprise de “Soon” n’est pas juste une simple interprétation; c’est une réinvention, une expérience musicale qui dépasse les frontières traditionnelles.
Avec Bennett aux commandes, la harpe-guitare Holloway devient un instrument de découverte, ouvrant de nouveaux horizons sonores. C’est une invitation à redécouvrir les classiques sous un jour nouveau, riche en émotions et en surprises – et à comparer avec la version live de Soon de 1975.
Le maître du slapping et tapping acoustique, Michael Hedges, interprète Because It’s There en 1986 au Wolf Trap National Park for the Performing Arts à Vienna, Virginia :
The Outlaws est un groupe de rock sudiste qui s’est formé à Tampa (Florida) en 1972 – connu pour ses attaques rock et ses harmonies countries jouées à 3.
Les trois premiers albums du groupe (The Outlaws, Lady In Waiting et Hurry Sundown) ont donné des tubes comme “There Goes Another Love Song”, “Green Grass & High Tides”, “Knoxville Girl” et “Freeborn Man” – des classiques du rock sudiste.
Voici Green Grass and High Tides, live @ Gilford en 2007 :
Baptisés ‘The Florida Guitar Army’ par leurs fans, The Outlaws ont gagné une formidable réputation lors de leurs concerts et ont joué aux côtés de The Allman Brothers, Lynyrd Skynyrd, The Marshall Tucker Band, The Charlie Daniels Band ou encore The Doobie Brothers, The Who, The Eagles et The Rolling Stones.
Nous étions 65.000 festivaliers sur la prairie de Kerampuilh, plus précisément sur la scène Glenmor, pour écouter Neil Young and Crazy Horse, son groupe privilégié depuis 1969.
Neil Young & Crazy Horse, c’est un folk rugueux, terriblement addictif, baigné de guitares orageuses, ou surnage une voix à la fois haut perchée et nasillarde, reconnaissable entre mille.
Songwriter et guitariste d’exception, le Loner livre sur scène un folk rock mâtiné à la fois de country et de grunge avec la même passion, la même envie qu’autrefois, à coups de guitares saturées et de riffs lancinants.
Le rock furieusement électrique de la formation continue de surprendre ceux qui ne connaissent du sexagénaire que son versant paisible, révélé sur Harvest (1972), plus gros succès de sa carrière.
Allez, une petite reprise de Night Ride par Wayne Janssen, un guitariste canadien. Cette chanson est décrite par Preston Reed comme étant “blues in the beginning then goes insane” :
The Lab TV brought Eddie Berman and Laura Marling together in a Los Angeles recording studio. Here they are performing their serene take on Bruce Springsteen’s Dancing in the Dark.