Dernière journée TICE

Et voilà, nous venons de terminer la troisième et dernière journée TICE de l’année. Je dois avouer que j’ai été agréablement surpris par les contenus de la formation : enfin du concret avec les ordinateurs. Bon je l’avoue, j’ai survolé certains contenus comme la création d’une page HTML mais d’autres ont sérieusement piqué ma curiosité. Les webquests, par exemple, me semblent être un très bon moyen d’insérer les nouvelles technologies dans le cours d’anglais : recherches sur Internet, sélection des informations pertinentes, création d’un panneau pour afficher en classe, compte-rendu oral. Tout se tient. L’essentiel est de bien détailler chaque étape : le professeur doit s’effacer et constater les progrès autonomes de l’élève. Cela me parle bien ce genre d’activité.

Le formateur – tuteur de Ben au demeurant – touche sa bille. Sérieusement, on voit qu’il aime cela et qu’il sait de quoi il parle, ce qui est toujours agréable. Par contre, j’émets quand même quelques réserves sur l’intérêt de tenter d’apprendre à la majeure partie du groupe le langage HTML et les CSS. Cela m’a semblé un peu overkill : bien sûr que cela serait génial si tout le monde pouvait coder ses pages à la main, même les CSS mais sérieusement, combien le feront ? J’ai eu l’impression que l’on dépassait largement le cadre des TICE en cours d’anglais pour s’approcher du côté obscur du code.

Top 50 phrases you'd like to say to your hierarchy photo

Top 50 phrases you’d like to say to your hierarchy

1. I can see your point, but I still think you’re full of shit.

2. I don’t know what your problem is, but I’ll bet it’s hard to pronounce.

3. How about never? Is never good for you?

4. I see you’ve set aside this special time to humiliate yourself in public.

5. I’m really easy to get along with once you people learn to see it my way.

6. I’ll try being nicer if you’ll try being smarter.

7. I’m out of my mind, but feel free to leave a message…

8. I don’t work here. I’m a consultant.

9. It sounds like English, but I can’t understand a word you’re saying.

10. Ahhh… I see the screw-up fairy has visited us again…

11. I like you. You remind me of when I was young and stupid.

12. You are validating my inherent mistrust of strangers.

13. I have plenty of talent and vision. I just don’t give a damn.

14. I’m already visualizing the duct tape over your mouth.

15. I will always cherish the initial misconceptions I had about you.

16. Thank you. We’re all refreshed and challenged by your unique point of view.

17. The fact that no one understands you doesn’t mean you’re an artist.

18. Any connection between your reality and mine is purely coincidental.

19. What am I? Flypaper for freaks!?

20. I’m not being rude. You’re just insignificant.

21. It’s a thankless job, but I’ve got a lot of Karma to burn off.

22. Yes, I am an agent of Satan, but my duties are largely ceremonial.

23. And your crybaby whiny-butt opinion would be…?

24. Do I look like a people person?

25. This isn’t an office. It’s Hell with fluorescent lighting.

26. I started out with nothing & still have most of it left.

27. Sarcasm is just one more service we offer.

28. If I throw a stick, will you leave?

29. Errors have been made. Others will be blamed.

30. Whatever kind of look you were going for, you missed.

31. I’m trying to imagine you with a personality.

32. A cubicle is just a padded cell without a door.

33. Can I trade this job for what’s behind door #1?

34. Too many freaks, not enough circuses.

35. Nice perfume. Must you marinate in it?

36. Chaos, panic and disorder – my work here is done.

37. How do I set a laser printer to stun?

38. I thought I wanted a career, turns out I just wanted paychecks.

39. I’m really easy to get along with once you people learn to worship me.

40. You assign me one more action item and I’m going to show you why I play with those WWF figurines…

41. Who me? I just wander from room to room.

42. Does your train of thought have a caboose?

43. Imagine this; I will win and you will lose. Do we need to go on?

44. I see that this is the collection point for the freaks and weirdoes.

45. You! Off my planet!

46. The less you bother me, the sooner we’ll get results.

47. Of course I don’t look busy…I did it right the first time!

48. Who says nothing is impossible. I’ve been doing nothing for years.

49. The world is full of willing people. Some willing to work, the rest willing to let them.

50. You can have it right or you can have it now, but you can’t have it right now.

Les 25 ans de Magalie ;-)

Party Baby !

Samedi soir, c’était la fête des 25 ans de Magalie mais comme on a pas mal fait les fous, ce post a quelques bonnes heures de retard : l’ibuprofène se dissout encore lentement dans mon système…

Je vais vous raconter le détail de la soirée dans l’ordre des évènements, histoire de ne rien oublier.

La fête de Magalie s’est donc déroulée dans un petit bled paumé en pleine Vendée que l’on appelle La Ferrière.

Pour nous y rendre, nous nous sommes donnés rendez-vous chez Arnaud, armés de nos sacs de couchage ‘au cas où’, et sommes partis avec la voiture d’Arthur : il y avait donc Arnaud, Arthur, Justine (une copine d’Arthur) et votre serviteur.

Arrivés safe and sound à la salle des fêtes, nous avons assisté au démarrage de la soirée et à l’arrivée successive des équipes. On attendait une centaine de personnes vu que 5 personnes fêtaient leur anniversaire en même temps.

On peut dire que la soirée a démarré petitement, la faute au pseudo-DJ qui a diffusé de la techno infâme genre machina, le style que l’on retrouve dans les voitures tunées avec caisson de basse de 2000W. Je vous laisse imaginer.

Cela ne nous a pas démonté, bien au contraire : solidement accrochés à la fontaine de punch, nous avons pris notre temps pour analyser la situation. Et force fut de constater qu’il y avait sensiblement plus de garçons que de filles. P

roblème : nous, on était quand même beaucoup un peu venu pour les filles. On a donc demandé à Magali de nous désigner les filles célibataires dans le lot. Bon, je l’avoue, nous étions à la troisième timballe de punch et on aurait pu s’abstenir. Mais non ; on est des fous nous !

Résultat : 5 minutes plus tard, le DJ prend le micro pour demander aux célibataires de se présenter sur l’estrade. La honte.

Nous y sommes donc allés, avons esquissé un sourire embarassé puis sommes repartis nous accrocher à notre fontaine. Puis ce fut le tour des filles d’aller au podium et je vous le donne en mille : pas une seule ne s’est présentée… Qui a eu l’air d’une tanche hmmm ?

Ensuite la soirée s’est accélérée : la fontaine s’est vidée d’un coup, le DJ s’est remis à sa playlist, les gens ont commencé à danser. Ah, j’oubliais : nous avons quand même réussi à faire croire à deux gentilles filles que nous étions Britanniques/Américains.

On les a fait marcher quelques minutes et un gars m’a même demandé de corriger une lettre de motivation, ce que j’ai fait en souriant. 3 minutes plus tard, nous étions démasqués : elles avaient parlé avec Magali qui les avaient renseigné sur notre identité. Dammit ! ;-)

Et finalement, j’ai dansé. Si, si. Et j’y ai pris mon pied, ce qui est assez rare. Finalement, le tout c’est de se lancer et d’avoir quelques copains avec soi, c’est ça qui change une soirée-tapisserie en soirée-dancefloor.

J’ai même eu le plaisir de danser avec Magali et d’arborer une magnifique perruque bleue que j’ai perdu par la suite lors d’une chenille endiablée. Une très très bonne soirée donc qui s’est terminée vers les 4h30 du matin.

Mag is the sexiest thing alive. Happy Birthday pal ;-)