Un IBSN pour les blogs

IBSN Ce blog possède désormais un IBSN. Non, ce n’est pas une faute de frappe, IBSN veut dire Internet Blog Serial Number. De la même manière que l’on peut identifier formellement un livre ou un CD, les blogs disposent maintenant d’un numéro de série unique, les identifiant par le nom et l’URI. Il est même possible de générer une image code-barre de votre code IBSN. Voici ce qu’en disent les créateurs de ce système :

The ISSN (International Standard Serial Number) and the ISBN (International Standard Book Number) are numeric identification codes. The ISSN, an 8-digit number, is the international code for periodical publications (magazines, newspapers…) while the ISBN, a 10-digit number, identifies books. The IBSN (Internet Blog Serial Number) is also formed by 10 digits, and identifies Internet blogs.

Vous pouvez choisir vous-même votre numéro, à condition qu’il ne soit déjà utilisé par quelqu’un d’autre. Seules restrictions : il faut que le code soit composé de 10 chiffres et de 3 tirets. Les tirets ne peuvent se suivre ni être placés en première ou dernière position. Vous savez tout, il ne vous reste plus qu’à créer votre propre IBSN.

Notez mon code de geek… ^_^

Petit film entre amis distants

Hier j’ai regardé Hitch en compagnie de ma soeurette. Jusque-là, rien d’extraordinaire. Et bien si : j’étais aux Sables d’Olonne et elle à Lille. Et oui, remercions chaque jour les progrès de la technologie et des infrastructures de télécommunication : il suffit d’avoir l’ADSL, deux personnes et Skype pour se faire une petite soirée sympas avec des gens distants de plusieurs centaines de kilomètres. Je l’avoue, cela fait un peu über geek désespéré qui se cherche une vie sociale mais rien que pour l’expérience, cela vaut le coup.

Pour commencer, il faut que Skype soit relativement synchrone, c’est-à-dire sans trop de temps de latence – autrement cela laggue et on finit par entendre les dialogues deux fois. Ensuite, il faut lancer le film sur chaque machine au même moment. Là, c’est la partie rigolote : les players ne lancent pas tous les films de la même manière, ce qui entraîne un décalage et un fou-rire irrépressible de part et d’autre de la ligne ADSL. Par contre, une fois que c’est lancé, on a vraiment l’impression que les gens sont dans la pièce. Assez sympa à faire. Skype, connecting people ?

Ps : j’ai trouvé le film sans plus. Trop prévisible en fait.

The Shamrock Diaries : observations

Les gens

Irish symbols

Les gens sont vraiment super sympas en Irlande, on a vraiment l’impression d’être accueilli bras ouverts.

Toutes les personnes rencontrées n’hésitent pas à discuter avec vous, à vous parler des dernières nouvelles locales ou à vous recommander quelque chose.

En fait on se sent chez soi quand est en Irlande. Certaines choses diffèrent mais l’atmosphère est très conviviale.

Les maisons

Shamrock

Les maisons sont impressionnantes par leur taille en Irlande. C’est à croire que l’espace au sol d’une maison standard se situe vers 200 m².

Si l’on compare avec chez nous où le standard doit avoisiner les 100 m² et où il est nécessaire d’avoir un architecte au dessus de 170 m², cela fait une belle différence !

Elles sont donc gigantesques et ont vraiment de l’allure : dans la région de Galway, beaucoup ont un porche en pierre et toutes possèdent une multitude de fenêtres.

La maison de Joan, par exemple, possède 6 chambres et un appartement attenant à la maison loué à l’année. Et chacune à sa couleur propre !

La numérotation des maisons diffère de chez nous : en France, les numéros pairs sont d’un côté de la rue et les numéros impairs de l’autre. En irlande, tous les numéros se succèdent du même côté de la rue.

Je ne sais pas pourquoi ou comment j’ai remarqué cela mais c’est toujours quelque chose d’utile lorsque l’on se déplace.

Les routes

Suicide road

Les routes ont une particularité en Irlande : il y a un bande stabilisée sur le côté qui permet aux véhicules plus lents de se déplacer pour laisser passer les gens qui sont derrière eux.

C’est un sytème qui fonctionne très bien : les gens s’écartent pour vous laisser passer et vous les remercier en faisant clignoter vos feux de détresse.

Le hic ? Certains tombent en panne sur la route et devinez où ils garent leur voiture ? Sur cet accotement ! Prudence donc. Pour information, on appelle ces routes les “suicide roads“…

Un peu de folklore : la bague du Claddagh

Claddagh ring

Elle fut créée par Richard Joyce de Galway. Cet Irlandais avait été condamné à une vie d’esclavage dans les plantations des Antilles après avoir été capturé par des pirates et vendu à un orfèvre.

Avec lui, Joyce apprit à travailler l’or et, à son retour à Galway en 1689, il créa cette bague.

Porté à la main droite, le cœur tourné vers l’extérieur, cet anneau signifie que la personne est libre. Porté la couronne tournée vers l’extérieur, il indique que la personne est engagée.

Enfin, s’il est porté à la main gauche, la couronne tournée vers l’extérieur, la personne a donné son cœur pour toujours.

C’est pour cette raison que la bague de Claddagh a souvent servi d’anneau nuptial. Le cœur qui l’orne symbolise l’amour, la couronne la loyauté et les mains l’amitié.

La main droite qui tient le cœur est supposée être celle de Dagda, le père du Tuatha dé Danaan, un panthéon de divinités irlandaises qui furent changées en fées après avoir été vaincues.

La main gauche appartient à Anu, la mère des Celtes. Aujourd’hui, grâce à cette tradition, le Claddagh continue d’être populaire et est utilisé internationalement comme signe d’amitié et d’amour.