Concert de Roch Voisine à l’Olympia

Roch Voisine

J’ai eu des nouvelles de Ben et ses Crocos hier soir au téléphone, cela fait du bien d’avoir des nouvelles des potes. Next call is on me guys!

J’ai ensuite filé pour l’Olympia – toujours en VIP, toujours aux frais de la princesse – pour y voir.. non, ne rigolez pas… Roch Voisine. Oui, oui, celui-là même qui faisait se pâmer les filles au collège à la fin des années 80.

Et bien figurez-vous que c’était pas mal du tout : pas mal de guitares, quelques violons et quelques bons grooves ont littéralement mis le feu à l’Olympia. J’ai particulièrement apprécié les deux ou trois chansons blues/rock qui ont rapidement effacé les briquets des deux premiers rangs.

Tiens, parlons un peu du public : photos de l’artiste à la main, albums prêts à être dédicacés, cadeaux jetés sur scène… ils nous ont tout fait. Y compris courir jusqu’à la scène pour s’y coller, ce qui fait que tout le monde a dû se lever pour voir le reste du concert… argh !

Bon concert, on s’est bien amusés. C’est la première fois que je vais dans cette salle et je la trouve vraiment bien. Elle rappelle un peu la salle Paul Fort à Nantes, en un peu plus élaborée. C’est drôle, je pensais que c’était une salle énorme et en fait non, elle doit accueillir 2000 personnes environ.

Et le retour à la maison fut… impossible vu que le RER était fermé pour une cause inconnue. Sleep-crash chez Julia donc.

CSS : créer une feuille d’impression pour votre site

Une fois que l’on a fini de designer son site pour que tout le monde puisse le consulter et admirer vos talents d’artiste vient le moment de penser à la manière dont votre site est rendu lors de l’impression.

En effet, votre site n’est jamais imprimé sur une feuille tel que vous le voyez à l’écran. Si votre design utilise les feuilles de style (CSS), il suffit d’en créer une destinée à l’impression.

Le principe

Faîtes une copie de la feuille CSS de votre site et nommez-la print.css par exemple.

Décidez ensuite quelles sont les parties qui sont superflues lors d’une impression papier : les menus peuvent être ignorés, tout comme les images de fond :

/* désactivation des menus pour l'impression */
.menu-right {
	display : none;
}
.menu-left {
	display : none;
}
Code language: CSS (css)

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Little Miss Sunshine

Little Miss Sunshine

Petite soirée décompression avec Julia aux Champs-Elisée hier soir pour voir Little Miss Sunshine au cinéma.

L’histoire tourne autour de la famille Hoover : Olive (Abigail Breslin) est une petite fille de 7 ans enrobée et portant de grossses lunettes qui n’a qu’un seul rêve – gagner le concours de beauté de Little Miss Sunshine en Californie.

Toute sa famille veut l’aider mais elle est ralentie par ses propres défauts et problèmes : le père d’Olive, Richard (Greg Kinnear), est un conférencier sur la motivation qui n’arrive pas à vendre son livre. Sa mère, Sheryl (Toni Collette), à la morale rigoureuse, est constamment mise à l’épreuve par sa famille, dont elle tente de dissimuler les travers.

Son oncle Frank (Steve Carell), spécialiste de Marcel Proust, a tenté de se suicider suite à sa relation ratée avec un de ses élèves.

Son frère Dwayne (Paul Dano), fanatique de Nietzsche, a fait voeu de silence jusqu’à son entrée dans l’Air Force Academy, ce qui lui permet d’achapper aux discussions familiales.

Pour couronner le tout, le grand-père (Alan Arkin), hédoniste à la langue bien pendue et accro à l’héroïne, aide Olive à se préparer pour le concours avec enthousiasme.

Lorsqu’Olive décroche son invitation à courir, tous s’entassent dans le fourgon Volkswagen familial tout rouillé, cap vers la Californie !

J’ai adoré ce film ! Les acteurs sont excellents et l’histoire tient bien la route avec de bons rebondissements. Je conseille – comme toujours ! – de voir le film en VO, les répliques sont cinglantes à souhait et certaines auraient leur place dans Classics.

Si vous avez l’occasion de voir Little Miss Sunshine, n’hésitez pas. On en ressort vraiment rafraîchi.