TRUST en concert au Zénith : rock'n'roll !!! photo

TRUST en concert au Zénith : rock’n’roll !!!

Je suis allé voir TRUST en concert hier soir pour la deuxième fois de ma vie.

La phrase précédente n’est pas tout à fait exacte : c’est la première fois que je les vois mais c’est la deuxième fois que je les entends. Pourquoi ?

Tout simplement parce que ma mère était enceinte de 6 mois lorsque mon père l’a emmenée voir TRUST.

Cela a laissé quelques traces, notamment un goût avéré pour la bonne musique.

La première partie a été donné le ton de la soirée : rock’n’roll. Voix rauque, guitares bluesy, textes travaillés… j’ai d’abord cru que c’était Stock qui jouait mais à l’annonce des noms des membres du groupe (deux guitares + chant, une basse, un clavier, un batteur), il s’avère que c’était Fred Blondin qui jouait.

Il nous a dit qu’il était retraité maintenant et que le groupe n’existait pas il y a deux jours de cela et qu’il n’existerait plus le jour suivant. A one-off.

N’empêche que c’était super agréable, bien pêchu comme il faut. Ils ont joué une demi-heure environ.

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Prison Break saison 2

Prison Break Si vous avez suivi la saison 1 de Prison Break, vous savez déjà que Michael Scoffield, Lincoln Burrows, T-bag et quelques autres se sont fait la malle.

Ayant vu cette première saison en anglais, j’ai été déçu – as usual – par le doublage des voix et des noms en français. Surnommer Michael Scoffield “beau gosse” dans une prison haute-sécurité est à la limite du pathétique. Par contre le générique par Faf Larage, c’est un coup marketing très réussi : l’association rap/prison a toujours très bien marché et surfer sur la vague rap actuelle est une très bonne idée pour rendre la série rapidement populaire auprès des 12-25 ans.

T-bag La deuxième saison est plus riche : finis les espaces confinés et sombres de l’univers carcéral, bienvenue à la couleur des espaces ouverts (ville, campagne, voitures…) et à une plus grande variété dans l’action et dans le caractère des personnages.

Mon préféré reste Theodore “T-Bag” Bagwell, immortalisé par Robert Knepper – j’adore son petit côté psychopathe-je-vais-tous-vous-tuer et si l’on y regarde de plus près, c’est peut-être le personnage “secondaire” qui a le plus de consistance dans la série.

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OK Go - Here it goes again photo

OK Go – Here it goes again

Voici la vidéo que je regarde 2 ou 3 fois par jour en ce moment : la musique est catchy mais c’est la chorégraphie sur tapis roulants qui emporte vraiment mon adhésion.

Les habits très seventies doivent aussi jouer un rôle !

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If you’re going to try, go all the way

If you're going to try, go all the way Henry Chinaski (Matt Dillon) : If you’re going to try, go all the way. Otherwise don’t even start.

This could mean losing girlfriends, wives, relatives, jobs, and maybe your own mind.
It could mean not eating for three or four days.
It could mean freezing on a park bench.
It could mean jail.
It could mean derision.
It could mean mockery. Isolation.

Isolation is the gift. All the others are tests of your endurance. Of how much you really want to do it. And you’ll do it, despite rejection in the worst odds. And it’ll be better than anything else you can imagine.

If you’re going to try, go all the way.

There’s no other feeling like that, you will be alone with the gods and the nights will flame with fire. You’ll ride life straight to perfect laughter. It’s the only good fight there is.

– From Factotum

Concert de Roch Voisine à l’Olympia

Roch Voisine

J’ai eu des nouvelles de Ben et ses Crocos hier soir au téléphone, cela fait du bien d’avoir des nouvelles des potes. Next call is on me guys!

J’ai ensuite filé pour l’Olympia – toujours en VIP, toujours aux frais de la princesse – pour y voir.. non, ne rigolez pas… Roch Voisine. Oui, oui, celui-là même qui faisait se pâmer les filles au collège à la fin des années 80.

Et bien figurez-vous que c’était pas mal du tout : pas mal de guitares, quelques violons et quelques bons grooves ont littéralement mis le feu à l’Olympia. J’ai particulièrement apprécié les deux ou trois chansons blues/rock qui ont rapidement effacé les briquets des deux premiers rangs.

Tiens, parlons un peu du public : photos de l’artiste à la main, albums prêts à être dédicacés, cadeaux jetés sur scène… ils nous ont tout fait. Y compris courir jusqu’à la scène pour s’y coller, ce qui fait que tout le monde a dû se lever pour voir le reste du concert… argh !

Bon concert, on s’est bien amusés. C’est la première fois que je vais dans cette salle et je la trouve vraiment bien. Elle rappelle un peu la salle Paul Fort à Nantes, en un peu plus élaborée. C’est drôle, je pensais que c’était une salle énorme et en fait non, elle doit accueillir 2000 personnes environ.

Et le retour à la maison fut… impossible vu que le RER était fermé pour une cause inconnue. Sleep-crash chez Julia donc.

Little Miss Sunshine

Little Miss Sunshine

Petite soirée décompression avec Julia aux Champs-Elisée hier soir pour voir Little Miss Sunshine au cinéma.

L’histoire tourne autour de la famille Hoover : Olive (Abigail Breslin) est une petite fille de 7 ans enrobée et portant de grossses lunettes qui n’a qu’un seul rêve – gagner le concours de beauté de Little Miss Sunshine en Californie.

Toute sa famille veut l’aider mais elle est ralentie par ses propres défauts et problèmes : le père d’Olive, Richard (Greg Kinnear), est un conférencier sur la motivation qui n’arrive pas à vendre son livre. Sa mère, Sheryl (Toni Collette), à la morale rigoureuse, est constamment mise à l’épreuve par sa famille, dont elle tente de dissimuler les travers.

Son oncle Frank (Steve Carell), spécialiste de Marcel Proust, a tenté de se suicider suite à sa relation ratée avec un de ses élèves.

Son frère Dwayne (Paul Dano), fanatique de Nietzsche, a fait voeu de silence jusqu’à son entrée dans l’Air Force Academy, ce qui lui permet d’achapper aux discussions familiales.

Pour couronner le tout, le grand-père (Alan Arkin), hédoniste à la langue bien pendue et accro à l’héroïne, aide Olive à se préparer pour le concours avec enthousiasme.

Lorsqu’Olive décroche son invitation à courir, tous s’entassent dans le fourgon Volkswagen familial tout rouillé, cap vers la Californie !

J’ai adoré ce film ! Les acteurs sont excellents et l’histoire tient bien la route avec de bons rebondissements. Je conseille – comme toujours ! – de voir le film en VO, les répliques sont cinglantes à souhait et certaines auraient leur place dans Classics.

Si vous avez l’occasion de voir Little Miss Sunshine, n’hésitez pas. On en ressort vraiment rafraîchi.

Concert de Monsieur Clément à l’Européen

J’ai été gracieusement invité hier soir au concert de Monsieur Clément à l’Euopéen par Universal Music par l’intermédiaire de Julia. Pas de place à payer, juste un nom sur la liste des invités à vérifier. Bienvenue dans le monde des VIP ! L’Européen est une petite salle de concert très bien conçue, à mi-chemin entre un cinéma (sièges) et un théâtre grec (salle en arc-de-cercle donnant sur la scène), ce qui donne un petit côté intimiste : on se trouve à quelques mètres seulement des artistes, ce qui est super agréable.

Monsieur Clément Arrivés un poil en retard, nous poussons la porte de la salle et nous retrouvons… quasiment derrière la scène ! Et oui, l’entrée se fait sur le côté de la scène et les artistes peuvent donc voir les retardataires. Hum. Le groupe de Monsieur Clément est classique – deux guitares, un clavier, une batterie et une basse – mais les musiciens sont particulièrement bons. J’ai notamment apprécié la performance du batteur qui nous a fait décollé sur plusieurs morceaux. C’était pêchu et les paroles sont agréables à écouter, cela change des niaiseries que l’on peut entendre à la radio.

J’aime bien la voix claire de Monsieur Clément, je la trouve expressive et finalement assez française. On imaginerait mal un anglo-saxon chanter de cette manière par exemple. Je connaissais le single (A nous) avant le concert mais au vu de la performance sur scène, je pense que l’album complet doit être vraiment bien – c’est mon coup de coeur du mois ! Une très bonne soirée donc qui s’est soldée par une petite bière au bistrot qui fait l’angle avec Julia. Cool gig.

“There are varying degrees of evil…”

Boondock Saints [Enter Connor, Murphy and Il Duce into the court room – armed. They make the mobster kneel in front of the audience.]

Connor (Sean Patrick Flanery) : Now you will receive us !
Murphy (Norman Reedus) : We do not ask for your poor, or your hungry.
Connor : We do not want your tired and sick.
Murphy : It is your corrupt we claim.
Connor : It is your evil that will be sought by us.
Murphy : With every breath, we shall hunt them down.
Connor : Each day we will spill their blood, ’til it rains down from the skies !
Murphy : Do not kill. Do not rape. Do not steal. These are principles which every man of every faith can embrace.
Connor : These are not polite suggestions, these are codes of behaviour, and those of you that ignore them will pay the dearest cost.
Murphy : There are varying degrees of evil. We urge you lesser forms of filth, not to push the bounds and cross over, into true corruption, into our domain.
Connor : For if you do, one day you will look behind you and you will see we three, and on that day you will reap it !
Murphy : And we will send you to whatever god you wish.

Connor, Murphy, Il Duce (Billy Connolly) : And shepherds we shall be, for thee my Lord for thee, Power hath descended forth from thy hand, that our feet may swiftly carry out thy command, we shall flow a river forth to thee, and teeming with souls shall it ever be.

Il Duce : In nomine patris…
Connor : … et filii…
[All cock their guns]
Murphy : … et spiritus sancti.
[Gunshots]

– From The Boondock Saints

Paul Gilbert - Scarified photo

Paul Gilbert – Scarified

J’adore Paul Gilbert. Il jouait dans le groupe Mr. Big et Racer X avand d’entamer sa carrière solo. C

‘est lui qui est charge de la rubrique Shred du magazine britannique Total Guitar (à ne pas confondre avec le pavé publicitaire du même nom que l’on trouve en France).

Néo-classique, il joue sans effets comme personne. J’aime bien les gens qui ne se prennent pas au sérieux et jouent habillés en cosmonautes ;-)

Les fans de Star Wars se mettent à la pop photo

Les fans de Star Wars se mettent à la pop

Voici Gnarls Barkley interprétant le titre Crazy aux MTV Movie Awards 2006. Les costumes sont d’époque mais la musique est plutôt bien. Attention, les geeks sont dans la place ;-)

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