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Une petite comédie musicale qui traite du conflit israelo-palestinien, cela vous tente-t-il ?
C’est ce que je vous propose aujourd’hui, grâce au court-métrage d’Ari Sandel, West Bank Story, qui a fait partie de la sélection du Festival du film de Sundance en 2005.
Aujourd’hui, un petit article funky et groovy sur fond de Daft Punk avec leur chanson Harder, Better, Faster, Stronger.
En bonus, une jeune fille qui bouge sur le groove et des mouvements que Jason “Jay” Kay (Jamiroquai) himself ne renierait pas !
Le responsable de ces employés, David Brent (Ricky Gervais), pense être le “patron” idéal, passant son temps à essayer de faire rire ses employés, ce qui solde souvent par des chutes désâstreuses et beaucoup d’embarras.
Les travers du personnages de Brent sont utilisés pour leur effet comique, allant des gaffes au sexisme et autres faux-pas sociaux. Il est assisté de Gareth Keenan (Mackenzie Crook), un ex-lieutenant dans l’armée territoriale et de Tim Canterbury (Martin Freeman), dont la relation avec la réceptionniste Dawn Tinsley (Lucy Davis) est un tournant majeur dans la série.
Pas de rires enregistrés mais une manière de filmer type documentaire, insistant sur les regards et les expressions du visage.
Brent est drôle mais je crois que les réflexions exaspérées de Tim – face à un travail qui ne le motive pas – le sont encore plus. Gareth ajoute une touche de folie supplémentaire, avec son expérience militaire et sa tête de gars qui n’a pas dormi depuis deux semaines.
Voici pour moi la meilleure chanson de l’Eurovision 2007 : Magdi Ruzsa et son Unsubstantial Blues qui jouait pour la Hongrie.
C’est le groupe qui a le mieux joué sur scène avec le groupe de jazz qui représentait l’Allemagne.
Au milieu des paillettes et du kitsh acidulé et ridicule (ayons tous une petite pensée pour le Royaume Uni, qui a fait pire que nous !), cela fait du bien d’entendre des groupes qui sortent du lot et élèvent un peu le niveau.
Dexter (Michael C. Hall) est un médecin légiste spécialisé dans les prélèvements de sang le jour et serial-killer la nuit, s’occupant des personnes malfaisantes qui réussissent à passer entre les mailles du filet judiciaire.
Orphelin, soutenu par ses parents adoptifs et notamment son père, il travaille en coopération avec sa soeur Debra (Jennifer Carpenter) qui est agent de la police criminelle mais il n’éprouve aucun sentiment : amour, tristesse, remords lui sont inconnus. Il a bien une petite amie, Rita (Julie Benz), mais éprouve-t-il réellement de l’amour pour elle ? Dur à dire.
Ce petit train de vie est perturbé lorsqu’apparaît un autre serial-killer, bien décidé à pimenter sa vie.
Une guitare acoustique pour 3 musiciens, cela rend plutôt pas mal !
Le groupe s’appelle Corporeal, vient de Libertyville, Illinois (USA) et joue du prog/rock. Sympa comme tout.
J’ai regardé Eurotrip hier avec Julia… que dire ? Je crois que c’est l’un des meilleurs films de campus que l’on ait jamais regardé.
Il y a tous les éléments du genre mais avec un petit plus : pas de temps mort et des scènes à en pleurer littéralement de rire ! Et une chanson que l’on retrouve tout le long du film, Scottie doesn’t know, composée par le groupe Lustra :
Voici une série pour les vrais geeks, ceux qui vivent dans l’obscurité de la cave de leurs parents et qui rêvent un jour d’intégrer une entreprise qui reconnaîtra enfin leurs talents. Enfin, presque !
The IT Crowd est une série proposée par Channel 4 qui raconte l’épopée d’une équipe composée de 3 personnes : un accro aux fast-food kleptomane et fan de jeux vidéos, un exclu de la société qui est toujours habillé par sa mère et une femme qui ne connaît rien à l’informatique…
Ajoutez à cela un humour British décalé et décapant et cette série à tout pour devenir culte !
Le générique est lui-même un petit bijou.
Et voici une réponse au clip I am Canadian, mais cette fois-ci par un Québécois de souche qui prend le clip original à contrepied.
Lundi soir, je suis allé voir les Elderberries au Nouveau Casino avec Julia. Un seul mot pour résumer cet excellent concert : rock’n’roll !
Le groupe est jeune, de Clermont-Ferrand et plutôt international : le batteur (Yann Clavaizolle) – à la chevelure extrêmement bien fournie – est français, le chanteur (Chris Boulton) vient de Manchester, le bassiste et le guitariste rythmique (Tom Pope & Jamie Pope) sont de Londres et le guitariste lead (Ryan Sutton) vient du Québec.
Le nom du groupe, The Elderberries, est une référence aux Monthy Pythons :
“Your mother was a hamster and your mother smelt of elderberries” – French Soldier in Mothy Python and the Holy Grail (1975)
Nourri à l’AC/DC, Led Zeppelin ou encore The Stooges, inutile de vous dire que cela a vraiment dépoté dans la petite salle du Nouveau Casino (Paris XIè).
Première impression : le groupe a vraiment la pêche et donne tout ce qu’il a.
Le chanteur, Chris Boulton, est particulièrement impressionnant : avec son look à la Crocodile Dundee, il a LA voix hardrock de référence avec quelques accents que ne renieraient pas Steve Tyler (Aerosmith) ou feu Bon Scott (AC/DC).
Le batteur volait littéralement au-dessus de sa batterie, sèche et très bien placée.
Seul regret : l’absence de solos mémorables. Ils sont là mais pourraient être plus léchés.
Malgré cela, l’ensemble est vraiment bien et je vous conseille d’écouter leur album parce que c’est l’un des groupes dont vous allez entendre parler à la radio très bientôt (si ce n’est déjà fait) parce que c’est un petit groupe qui monte, qui monte…
Mieux, allez les voir en concert !
Crédits photos : Photo Rod | Le-HibOO.com
J’aime bien cette petite présentation culturelle du Canada avec mention de quelques différences notoires existant entre le Canada et les Etats-Unis.
Cela joue sur les stéréotypes, les références culturelles, et quelques messages politiques.
C’est dynamique, grandiloquent et très amusant à regarder.
Un joli clip qui se termine avec un message écologique fort. Par contre, pas grande créativité au niveau de la musique puisque c’est un remix de Pink Floyd.
Dommage, l’original est bien mieux interprété mais on peut voir cette reprise comme un tribute. Pink Floyd restera toujours Pink Floyd, influençant des générations depuis 1965.
Ps : la mode est au parkour en ce moment !
On en voit fleurir partout, même dans le dernier James Bond.