expressions anglaises pour mieux communiquer

Expressions anglaises clés pour mieux communiquer

Introduction

Dans le cadre de l’apprentissage de l’anglais, il est essentiel de maîtriser un certain nombre d’expressions courantes pour communiquer efficacement. Que ce soit pour exprimer une opinion, poser une question ou relier des idées, ces formules peuvent grandement faciliter les échanges, tant à l’oral qu’à l’écrit.

Cet article vous propose une sélection d’expressions utiles qui vous aideront à naviguer dans diverses situations de communication. Que vous soyez étudiant, professionnel ou simplement désireux d’améliorer votre anglais, ces outils linguistiques vous permettront de vous exprimer avec plus de clarté et de confiance. Explorons ensemble ces expressions essentielles !

1. Interagir à l’oral et à l’écrit

Giving one’s opinion

  • To my mind / In my opinion…
  • It seems to me that…
  • I feel / believe that…
  • I can’t help thinking that…
  • My feeling is that…
  • As a matter of fact, I am convinced that…
  • For my part, I consider that…

Expressing agreement

  • l agree with…
  • It is true to say that…
  • So do I / Neither do I
  • That’s exactly how I see it
  • I perfectly understand that…
  • You / They are right to suggest that…
  • I share your point of view…
  • I see eye to eye with you…

Expressing disagreement

  • I don’t agree / I disagree with you about that…
  • Contrary to / Unlike…, I feel that…
  • That’s not how I see it.
  • Instead of V-ING…
  • I don’t see things that way.

Expressing doubts, protest

  • However, I am not really sure that…
  • I am rather sceptical about…
  • In theory, it sounds… but in practice…
  • I object to / disapprove of GN / V-ING
  • How can they…? / What right have they to…?

Suggesting and convincing

  • How / What about V-ING
  • Why don’t you / Why not + V
  • Don’t you think that…?
  • I suggest V-ING / I suggest we (should) V
  • We should definitely V…
  • I’m convinced that…
  • It seems to me that…
  • I’m sure you will / won’t V…

Expressing surprise

  • I can’t / couldn’t believe it / my eyes!
  • You can’t imagine what I saw! How surprised I was!
  • It was truly amazing!
  • How fantastic it was!
  • How astonishing to see such…!
  • I was amazed by / stunned by / astounded by…
  • It was just unbelievable!
  • Just imagine!
  • Fancy that!
  • What a sight! / How strange!…
  • What I find the most incredible / unpleasant / shocking is that…

Expressing enthusiasm

  • It must be great / terrific…
  • How interesting / fantastic!
  • I’d just love to…
  • I was so impressed by…
  • I can’t wait to see that!

Expressing likes and dislikes

  • I’m fond of / keen on GN/V-ING
  • I fancy GN/V-ING
  • I enjoy V-ING
  • I love GN/V-ING
  • I’m mad / crazy about…! (informel)
  • I hate GN/V-ING
  • I can’t stand / bear GN/V-ING
  • I can’t put up with GN/V-ING
  • I don’t go for it. (informel)

Expressing preferences

  • I prefer V-ing to V-ING
  • I’d rather V than V
  • I’d rather you V (prétérit modal)
  • I feel more like V-ING than V-ING
  • Instead of GN/V-ING (Au lieu de)
  • I like it better/best

Being indifferent

  • I don’t mind (him/her) V-ING…
  • As you like / wish.
  • It doesn’t matter. / Never mind.
  • Why not?
  • It doesn’t matter to me whether… or…
  • I don’t care.

Expressing wishes and intentions

  • I would like to V
  • I’d love to V
  • I feel like GN/V-ING
  • I hope to V
  • I wish you’d V
  • If only I / you V (prétérit modal)
  • I would appreciate it if…
  • I am looking forward to V-ING
  • I dream of GN/V-ING
  • I’m dying for GN/ to V
  • I want to V
  • I’m thinking of V-ING
  • I’m about to V
  • I plan / mean / intend/ aim to V
  • Whether you like it or not, I’ll V
  • I’m determined (not) to V

Expressing regret and reproach

  • I regret V-ING
  • I should (not) have V-EN
  • If only / I wish I had (not) V-EN
  • You shouldn’t have V-EN
  • Why didn’t you V?
  • How could you V?
  • What a shame!
  • How awful (of you)!
  • Why on earth did / didn’t you V?

Giving orders

  • I want you to V
  • You have / have got to V
  • You must V
  • Will you V!
  • Stop shouting! / Do be quiet.
  • Don’t V
  • Stop V-ING
  • I’ll have / make GN/V

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Une mystérieuse silhouette portant un masque de Guy Fawkes et une cape sombre se tient devant un arrière plan menaçant et enflammé. L'emblématique tour de l'horloge, Big Ben, est partiellement masquée par les flammes et la fumée, créant une scène dramatique rappelant le 5 novembre et la Conspiration des Poudres, évoquant la rébellion et l'anonymat.

Guy Fawkes et le 5 novembre : de la Conspiration des Poudres à l’icône de la résistance moderne

Introduction

Le 5 novembre est une date profondément ancrée dans l’histoire et la culture britanniques, dont la signification a évolué au fil des siècles pour acquérir une portée internationale. Cette journée commémore la Conspiration des Poudres de 1605, un complot visant à faire exploser le Parlement britannique, et est devenue un symbole de résistance contre l’oppression gouvernementale.

Cet article explore les origines historiques du 5 novembre, son évolution culturelle, et son impact contemporain à travers la littérature, le cinéma et les mouvements sociaux.

Guy Fawkes et la Conspiration des Poudres

Contexte historique

La Conspiration des Poudres s’inscrit dans le contexte des tensions religieuses en Angleterre au début du XVIIe siècle. Après des décennies de persécution sous le règne d’Elizabeth I, les catholiques anglais espéraient une amélioration de leur situation avec l’accession au trône de Jacques Ier en 1603. Cependant, leurs espoirs furent déçus lorsque le nouveau roi maintint les lois anti-catholiques.

Le complot

Un groupe de catholiques, mené par Robert Catesby, élabora un plan pour faire exploser la Chambre des Lords lors de l’ouverture du Parlement le 5 novembre 1605. Leur objectif était d’assassiner le roi Jacques Ier et de provoquer un soulèvement catholique.

Guy Fawkes et son rôle

Guy Fawkes, un ancien soldat devenu mercenaire, fut recruté pour son expertise en explosifs. Il fut chargé de surveiller les 36 barils de poudre à canon cachés dans une cave sous la Chambre des Lords.

Découverte et conséquences

Le complot fut découvert grâce à une lettre anonyme adressée à Lord Monteagle, l’avertissant de ne pas assister à l’ouverture du Parlement. Les autorités fouillèrent les caves le 4 novembre et trouvèrent Guy Fawkes avec les explosifs. Il fut arrêté, torturé et exécuté avec ses co-conspirateurs.

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Le rappeur Nekfeu portant une casquette Nike et un t shirt noir pointe son index vers le haut. Le fond est un dégradé du bleu au rose. Le texte français dit : « La vie c'est comme un cours d'anglais, y'a trop de faux amis trompeurs » suivi du nom Nekfeu.

Les 120 faux-amis les plus trompeurs en anglais

Introduction

Les faux amis sont des mots qui semblent familiers dans deux langues mais ont des significations différentes. Pour les francophones apprenant l’anglais, ces mots peuvent être source de nombreuses confusions.

Dans cet article exhaustif, nous allons explorer les 50 faux amis les plus problématiques, en expliquant leurs véritables significations et en fournissant des exemples pour éviter les erreurs courantes.

Liste des 120 faux amis les plus trompeurs en anglais

1. Actually vs Actuellement

  • Signification : En fait, en réalité
  • ✅ I actually prefer tea to coffee.
  • ❌ I’m actually working on a project. (Devrait être “currently” si on veut dire “en ce moment”)

2. Eventually vs Éventuellement

  • Signification : Finalement, à la longue
  • ✅ If you practice, you’ll eventually speak English fluently.
  • ❌ I’ll eventually come to the party. (Devrait être “I might come to the party” pour exprimer l’idée de “peut-être” ou “éventuellement” en français)

3. Sensible vs Sensible

  • Signification : Raisonnable, sensé
  • ✅ It’s sensible to save money for the future.
  • ❌ He’s very sensible to criticism. (Devrait être “sensitive”)

4. To assist vs Assister

  • Signification : Aider
  • ✅ Can you assist me with this task?
  • ❌ I will assist to the meeting. (Devrait être “attend”)

5. To demand vs Demander

  • Signification : Exiger
  • ✅ The workers are demanding better working conditions.
  • ❌ Can I demand you a question? (Devrait être “ask”)

6. Library vs Librairie

  • Signification : Bibliothèque
  • ✅ I borrow books from the library.
  • ❌ I bought this book at the library. (Devrait être “bookstore”)

7. Excited vs Excité

  • Signification : Enthousiaste, impatient
  • ✅ I’m excited about the upcoming concert.
  • ❌ The dog is excited. (Pourrait être mal interprété, mieux vaut dire “agitated”)

8. To prevent vs Prévenir

  • Signification : Empêcher
  • ✅ Regular exercise can prevent many health problems.
  • ❌ I’ll prevent you when I arrive. (Devrait être “inform” ou “let you know”)

9. Sympathetic vs Sympathique

  • Signification : Compatissant
  • ✅ She was very sympathetic when I told her about my problems.
  • ❌ He’s a sympathetic person. (Si on veut dire “agréable”, utiliser “nice” ou “friendly”)

10. To achieve vs Achever

  • Signification : Réaliser, accomplir
  • ✅ She achieved her goal of running a marathon.
  • ❌ I need to achieve this project by Friday. (Devrait être “complete” ou “finish”)

11. Advertisement vs Avertissement

  • Signification : Publicité
  • ✅ I saw an advertisement for a new car on TV.
  • ❌ The police gave an advertisement about the danger. (Devrait être “warning”)

12. Affair vs Affaire (dans le sens commercial)

  • Signification : Liaison amoureuse (souvent secrète)
  • ✅ He had an affair with his colleague.
  • ❌ It’s a good affair for our company. (Devrait être “deal” ou “business opportunity”)

13. To argue vs Arguer

  • Signification : Se disputer
  • ✅ They always argue about politics.
  • ❌ He argued that the Earth was flat. (Devrait être “argued” dans le sens de “claimed”)

14. Candid vs Candide

  • Signification : Franc, sincère
  • ✅ She gave a candid interview about her struggles.
  • ❌ He’s very candid, he believes everything. (Devrait être “naive”)

15. Caution vs Caution (dans le sens de garantie financière)

  • Signification : Prudence
  • ✅ Proceed with caution on icy roads.
  • ❌ I paid a caution to rent the apartment. (Devrait être “security deposit”)

16. College vs Collège

  • Signification : Université (souvent)
  • ✅ She’s studying biology at college.
  • ❌ My brother is still in college. (Si on parle d’un adolescent, devrait être “middle school”)

17. To deceive vs Décevoir

  • Signification : Tromper
  • ✅ He deceived his business partners with false information.
  • ❌ I don’t want to deceive you. (Si on veut dire “décevoir”, utiliser “disappoint”)

18. Deception vs Déception

  • Signification : Tromperie
  • ✅ The magician’s act was full of deception.
  • ❌ I felt a great deception when I failed the exam. (Devrait être “disappointment”)

19. Delay vs Délai

  • Signification : Retard
  • ✅ The flight has a two-hour delay.
  • ❌ You have a delay of one week to submit your paper. (Devrait être “deadline”)

20. To discuss vs Discuter

  • Signification : Discuter (mais sans la préposition “about”)
  • ✅ Let’s discuss the project details.
  • ❌ We discussed about the movie. (Devrait être simplement “discussed the movie”)

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Tableau illustré d'un chat illustrant les prépositions anglaises avec un encadré. Le chat est représenté : dans, sous, sur, à côté, près, derrière, entre, au dessus et devant un encadré. Une bulle de dialogue s'exclame « Maîtriser l'anglais » pour améliorer votre compréhension des prépositions. Un chat plus grand se trouve sous ce texte.

Maîtriser l’usage des prépositions en anglais : astuces et erreurs à éviter

Introduction

Les prépositions en anglais peuvent être un véritable casse-tête pour les apprenants francophones. Ces petits mots jouent un rôle crucial dans la construction des phrases et peuvent changer complètement le sens d’une expression. Dans ce guide exhaustif, nous allons explorer les prépositions les plus courantes, leurs utilisations, et comment éviter les erreurs fréquentes.

1. Les prépositions de lieu 📍

At, In, On

Ces trois prépositions sont souvent source de confusion.

  • At : utilisé pour un point précis
    ✅ I’m waiting at the bus stop.
    ✅ She’s at home.
  • In : utilisé pour un espace fermé ou une zone plus large
    ✅ I live in Paris.
    ✅ The book is in my bag.
  • On : utilisé pour une surface ou un jour précis
    ✅ The cat is on the roof.
    ✅ We’ll meet on Monday.

Autres prépositions de lieu importantes

  • Under : sous
  • Over : au-dessus
  • Between : entre (deux choses)
  • Among : parmi (plus de deux choses)
  • Behind : derrière
  • In front of : devant
  • Next to : à côté de
  • Above : au-dessus de
  • Below : en dessous de
  • Inside : à l’intérieur
  • Outside : à l’extérieur
  • Near : près de
  • Far from : loin de
  • Around : autour de
  • Along : le long de
  • Beside : à côté de
  • Opposite : en face de

2. Les prépositions de temps ⏰

At, In, On (encore !)

  • At : pour une heure précise
    ✅ The meeting starts at 3 PM.
  • In : pour les mois, années, siècles
    ✅ I was born in 1990.
    ✅ We’ll go on vacation in July.
  • On : pour les jours et les dates
    ✅ The party is on Saturday.
    ✅ She was born on April 15th.

Autres prépositions de temps

  • For : pendant (une durée)
    ✅ I’ve been studying English for two years.
  • Since : depuis (un point de départ)
    ✅ I’ve lived here since 2010.
  • During : pendant (un événement)
    ✅ I fell asleep during the movie.
  • By : avant une date limite
    ✅ Please submit your report by Friday.
  • Until/Till : jusqu’à
    ✅ The store is open until 9 PM.
  • From…to : de…à
    ✅ The conference runs from Monday to Friday.

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Gros plan d'un stylo avec une poignée rouge posé sur une feuille de papier. Le papier contient du texte avec plusieurs mots entourés et d'autres soulignés à l'encre rouge, probablement issus d'un devoir de spécialité LLCER en anglais ou d'une préparation à l'examen du bac. Le stylo semble être utilisé pour éditer ou relire le document, en se concentrant sur les corrections apportées.

Réussir la transposition en spécialité anglais LLCER du bac

  1. Réussir la traduction de la spécialité Anglais LLCE
  2. Réussir la transposition en spécialité anglais LLCER du bac
  3. 10 conseils pour bien réussir l’épreuve de Compréhension Orale du bac
  4. La compréhension écrite au bac : la méthode pour réussir
  5. Conseils pour bien réussir l’épreuve d’Expression Orale du bac
  6. Bac : le dossier en spécialité LLCER Anglais
  7. Bac : épreuve orale de spécialité LLCER Anglais
  8. Conseils pour bien réussir le Grand Oral du Bac
  9. La synthèse de documents en LLCER : méthode pour réussir

La transposition est un exercice clé de l’épreuve écrite de spécialité Anglais LLCER (Langues, Littératures et Cultures Étrangères et Régionales) au baccalauréat. Pour les élèves de terminale, maîtriser cet exercice est essentiel pour réussir l’examen.

Cet article vise à vous fournir une compréhension approfondie de la transposition, ainsi que des conseils pratiques, une méthode détaillée et des techniques efficaces pour exceller dans cet exercice.

1. Comprendre la transposition

Avant de plonger dans les techniques, il est crucial de bien comprendre ce qu’est la transposition et ce qu’on attend de vous.

Définition et objectifs

La transposition consiste à rendre compte en français des idées principales d’un texte en anglais. Contrairement à la traduction mot à mot, elle exige une compréhension globale et fine du texte source, ainsi qu’une capacité à reformuler les idées de manière concise et structurée en français.

Les objectifs de cet exercice sont multiples :

  1. Évaluer votre compréhension approfondie du texte anglais.
  2. Tester votre capacité à identifier et hiérarchiser les idées essentielles.
  3. Vérifier votre aptitude à reformuler ces idées en français clair et correct.
  4. Évaluer votre capacité à structurer un compte-rendu cohérent.
  5. Mesurer votre maîtrise des nuances de la langue française.

Caractéristiques de la transposition

  • Longueur : généralement, une transposition doit faire environ un tiers de la longueur du texte original.
  • Style : le style doit être neutre et objectif, sans ajout d’opinions personnelles.
  • Contenu : vous devez restituer les idées principales et la structure argumentative du texte, sans entrer dans les détails secondaires.

2. Méthode détaillée pour réussir la transposition

Pour aborder efficacement l’exercice de transposition, suivez cette méthode en 5 étapes :

Étape 1 : Lecture attentive et analyse du texte source

  • Lisez le texte en entier au moins deux fois.
  • Lors de la première lecture, concentrez-vous sur la compréhension globale.
  • Pendant la deuxième lecture, soulignez ou surlignez les éléments clés :
  • Thème principal
  • Idées essentielles
  • Mots-clés et concepts importants
  • Structure argumentative
  • Identifiez la source, la date et le contexte du texte.

Étape 2 : Prise de notes structurée

  • Notez en français les éléments essentiels que vous avez identifiés.
  • Organisez vos notes de manière logique, en suivant la structure du texte original.
  • Utilisez des abréviations et des symboles pour gagner du temps.
  • Hiérarchisez les informations : idées principales, arguments secondaires, exemples.

Étape 3 : Élaboration d’un plan

  • Basez-vous sur vos notes pour créer un plan clair et structuré.
  • Votre plan devrait généralement comporter :
  1. Une introduction
  2. 2 à 3 parties principales correspondant aux idées majeures du texte
  3. Une conclusion

Étape 4 : Rédaction de la transposition

  • Introduction :
    • Présentez la nature du document, sa source, sa date et son thème principal.
    • Annoncez brièvement les grandes lignes du texte.
  • Corps de la transposition :
    • Développez les idées principales en suivant votre plan.
    • Utilisez des connecteurs logiques pour assurer la fluidité et la cohérence.
    • Reformulez les idées dans un français clair et précis, sans calquer les structures anglaises.
  • Conclusion :
    • Résumez le message global du texte.
    • Mentionnez le ton ou le point de vue de l’auteur si pertinent.

Étape 5 : Relecture et peaufinage

  • Relisez attentivement votre transposition.
  • Vérifiez la cohérence globale et la fidélité au texte source.
  • Corrigez les erreurs de grammaire, d’orthographe et de syntaxe.
  • Assurez-vous que votre français est fluide et naturel.

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Gros plan d'une page de dictionnaire, centrée sur le mot « anglais ». Le mot est en gras et écrit en texte noir, suivi des symboles de prononciation phonétique « /ˈɪŋɡlɪʃ/ ». Le texte environnant est légèrement flou, ce qui rend la définition et les autres mots partiellement visibles mais illisibles. De petites notes sur la « traduction » sont visibles.

Réussir la traduction de la spécialité Anglais LLCE

  1. Réussir la traduction de la spécialité Anglais LLCE
  2. Réussir la transposition en spécialité anglais LLCER du bac
  3. 10 conseils pour bien réussir l’épreuve de Compréhension Orale du bac
  4. La compréhension écrite au bac : la méthode pour réussir
  5. Conseils pour bien réussir l’épreuve d’Expression Orale du bac
  6. Bac : le dossier en spécialité LLCER Anglais
  7. Bac : épreuve orale de spécialité LLCER Anglais
  8. Conseils pour bien réussir le Grand Oral du Bac
  9. La synthèse de documents en LLCER : méthode pour réussir

La traduction est un art délicat qui demande de la pratique, de la patience et une bonne compréhension des deux langues concernées. Pour les élèves de terminale préparant la spécialité LLCE (Langues, Littératures et Cultures Étrangères) en anglais, l’épreuve de traduction de l’anglais vers le français, aussi appelée “version”, peut sembler intimidante.

Cet article vise à vous fournir une méthode complète, des conseils pratiques et des techniques de traduction éprouvées pour vous aider à aborder cette épreuve avec confiance et à obtenir les meilleurs résultats possibles.

Comprendre l’épreuve de traduction

Avant de plonger dans les techniques de traduction, il est essentiel de bien comprendre ce qu’on attend de vous lors de l’épreuve de version du bac LLCE anglais.

Objectifs de l’épreuve

L’épreuve de traduction vise à évaluer votre capacité à :

  • Comprendre un texte en anglais dans toutes ses nuances
  • Restituer fidèlement le sens du texte en français
  • Maîtriser les subtilités de la langue française
  • Faire preuve de créativité et d’adaptation linguistique

Format de l’épreuve

Généralement, vous devrez traduire un extrait d’environ 250 mots tiré d’une œuvre littéraire anglophone. Le temps alloué est d’environ 1 heure, ce qui vous laisse le temps de bien analyser le texte et de peaufiner votre traduction.

La méthode en 5 étapes pour réussir votre traduction

Pour aborder efficacement votre traduction, suivez cette méthode en 5 étapes :

Étape 1 : Lecture attentive du texte source

Commencez par lire le texte en entier, sans chercher à traduire. Cette première lecture vous permettra de :

  • Saisir le contexte général
  • Identifier le ton et le style de l’auteur
  • Repérer les éventuelles difficultés ou passages ambigus

Étape 2 : Analyse du texte

Relisez le texte en vous concentrant sur :

  • La structure des phrases
  • Les champs lexicaux dominants
  • Les temps verbaux utilisés
  • Les expressions idiomatiques ou figures de style

Prenez des notes sur ces éléments, ils vous guideront dans vos choix de traduction.

Étape 3 : Première ébauche de traduction

Commencez à traduire le texte, paragraphe par paragraphe. À ce stade :

  • Ne vous attardez pas trop sur les détails
  • Laissez des blancs pour les mots ou expressions qui vous posent problème
  • Concentrez-vous sur la transmission du sens général

Étape 4 : Révision et peaufinage

Relisez votre première version en vous concentrant sur :

  • La fidélité au texte source
  • La fluidité et la naturalité en français
  • La cohérence des choix de traduction
  • La résolution des passages difficiles laissés en blanc

Étape 5 : Relecture finale

Effectuez une dernière lecture en vous mettant dans la peau d’un lecteur français qui découvrirait ce texte pour la première fois. Vérifiez :

  • L’orthographe et la grammaire
  • La ponctuation
  • La cohérence globale du texte

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Une peinture vibrante représente un village médiéval utopique et animé sous un grand arbre, avec des citadins se livrant à diverses activités. Les gens dînent, conversent et travaillent près des maisons en briques et des sentiers sinueux. L’arrière plan présente des collines, une rivière sinueuse et un ciel nuageux et lumineux.

Utopia: A Socialist Epoch of Rest

  1. A Definition of Utopia in Literature
  2. Introduction to News From Nowhere
  3. Utopia: A Socialist Epoch of Rest

Utopia is based on the concept of rest, linked up with dreams. In Rip Van Winkle (1819) by Washington Irving, the character falls asleep for 20 years and wakes up in the middle of nowhere, in the theme of “suspended animation”. When Rip wakes up, he has missed the American Revolution: he is a stranger in his own land because of the lapse of time due to an irrational event.

To rip is to tear. He rips the curtains of time. RIP also means “rest in peace”. It symbolises death and resurrection. Rest is therefore the framework of the novel, along with the importance of Marxism. The author cannot help infusing his own beliefs into his programmatic vision. William Morris is “moved by compassion for the working class”.

William Morris’s socialism, inspired by scientific Marxism, emphasises fellowship, happiness, personal fulfilment through work and art, and the role of education in the socialist process. The future of revolution depends on the success of education. His socialism respects individuality and no repression of the varieties of human nature.

It clouds the issues: it is more a matter of time than a place. Nowhere is England and the reporter is addressing an imaginary audience. “Rest” has several meanings. An epoch is a period, a parenthesis in history, just a time-lapse in the future.”Some chapters’ are a few fragments from future history, limited.

Rest and Unrest

Unrest represents social unrest, in the capitalist society. Contrariwise, rest breaks from capitalism, it is a necessary death resulting in resurrection and regeneration, a vital revival after a long period of social turmoil. Rest suggests a historical ordeal, relief and respite after a long struggle. It qualifies Marxist influences.

The first leitmotiv is pleasure. Then it gives way to rest and peace. Words are related to each other. Page 44 shows rest on happiness, peace and dreams. The notion of dream permeates the narrative. The guest is transported to the world of 2103.

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Une scène de campagne pittoresque aux couleurs vives présente un village idyllique avec des chalets le long d’une rivière sinueuse. Les gens participent à diverses activités comme la navigation de plaisance, la lessive, le jardinage et la conversation. Des champs luxuriants, des collines et une volée d'oiseaux remplissent l'arrière plan un aperçu de News From Nowhere.

Introduction to News From Nowhere

  1. A Definition of Utopia in Literature
  2. Introduction to News From Nowhere
  3. Utopia: A Socialist Epoch of Rest

Utopia did not inspire William Morris as no references exist. he might have read Samuel Butler’s Erewhon (1871), whose title is an inversion or reversal of “nowhere”. In this book, the world is enslaved by machines that become so powerful and intelligent.

Morris’s utopia is suspicious about machines. It is hard to make a clear distinction between political manifestos and utopias. Socialist books can sound like utopias. Owen, Fourié anticipated Karl Marx. Is News From Nowhere a manifesto or a deliberate romance? If you read the subtitle you get the answer though it is not clear-cut.

William Morris: Life and Works

In the article “How I Became a Socialist”, published in 1819, Morris said, “Apart from a desire to produce beautiful things, the leading passion of my life is hatred of modern civilisation”.  The central concept of beauty is opposed to the notion of hatred: this is Morris’s struggle for socialism. Gradually, we discover some anticipations of our world.

In 1834, Morris was born in the countryside. His dad was a businessman in the city (“well-to-do”). There were lots of personal contradictions. He was from a family of nine children, number three and the eldest son. His father died in 1847. They had moved to a place called Woodford Hall, in a beautiful villa.

In his case, the autobiography is essential. News From Nowhere is packed with different elements of his biography: personal background and architecture. It is always a beautiful house with green and beautiful natural surroundings. His childhood was connected with beauty and nature. He had a passion with his dad for the Middle Ages; they visited churches and mediaeval architecture. A critic called this “childhood medievalism”.

Walter Scott was instrumental in shaping memories of the past. After the death of his dad, he went to Marlborough College. he did not like it and called it “a really rough school”. Fascinated by the past, he visited many monuments (“monumenta” in Latin). He had a fascination for history. “I don’t remember having been taught to read”;  in News From Nowhere, children learn by themselves.

In 1853, Morris went to Oxford, the ideal place for its gothic architecture and literary productions. There, he met John Ruskin and Thomas Carlyle and he met his best friend Edward Burne-Jones (later to become a famous painter). They became close friends till the end.

Morris went to the continent, to Belgium and Northern France where he visited cathedrals (Amiens, Beauvais and Chartres). At Oxford, he started mediaeval history. He was an intellectual and active at the same time – this is the greatest originality about Morris. They visited Le Louvre. He and his friends were mystical and had a taste for religious commitment.

This was the time when Morris and Jones decided to become artists: an architect and a painter. Maurice didn’t have to work as he was getting an income from his father. There was a gothic revival at the time, with a new taste for mediaeval architecture. It was trendy to be into mediaeval ideals and chivalry. There was a general aspiration to the simple life of the mediaeval monasteries.

Carlyle and Ruskin were very influential at the time. Nostalgia was very trendy. These people were progressive (involved in social movements) and at the same time regressive (with mediaeval ideals): it was a strange conciliation between progress and regress. What was meant by art was a resolve to defend a new sort of art coming from the past and to be defended in the future. You must go backwards to progress. Novelty lies only in the past.

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Une peinture vibrante et détaillée représente un village utopique situé dans une vallée luxuriante avec un grand bâtiment néoclassique au centre. Les gens se livrent à diverses activités comme l’agriculture, les jeux et la socialisation, sur fond de montagnes, de champs et d’un soleil radieux se levant dans le ciel – une véritable définition de l’utopie.

A Definition of Utopia in Literature

  1. A Definition of Utopia in Literature
  2. Introduction to News From Nowhere
  3. Utopia: A Socialist Epoch of Rest

To define utopia, we must look for the etymology given by Thomas More. “U-topos” means “no place, nowhere”. “Eu-topos” means “the good place”, it is therefore ambiguous.

Utopia has no real location, it is a vision, impossible to find. It is good, the world is perfect, and it represents a quest for perfection. Thus, how can we reach such perfection? More’s Utopia tries to answer this: in Book I, he describes the English system and institutions he wants to eliminate. Book II describes Utopia, the materialisation of the perfect world in the future. 

Utopias are always prospective. It suggests that present-day institutions are dangerous and that we need to create a new system in the future. The characteristics of utopia are:

  • Isolated
  • Self-centred
  • An island

It is a world that cannot be contaminated by the outside world, far away from corruption. The Protestant Reformation was fighting against the corruption of the Catholic Church. Andreae, a Protestant leader wrote Christianopolis. The second reason for the emergence of Utopia is America, for it was a world of perfection, uncontaminated by civilisation.

Utopia’s subgenre is dystopia. “Dys” means “bad place”. It is a counter model, the place we must avoid at all costs. Counter-utopia and anti-utopia are confusing. A counter-utopia is a model that tries to abandon an austere model.

Perfection is dangerous. Most 19th and 20th ideologies were inspired by utopias: communism, and fascism. They aimed at creating a perfect world. In the 1960s there was a strong response to the tyranny of utopians, with the libertarians and the hippies: they refused bureaucracy and forged an individualistic response to a utopian future – the community. Utopia is interested in a group, a mass of people but not individuals. 

In the 16th century, there was a lot of interest in Thomas More’s Utopia because people were fed up with the regime, yet they did not see the problems.

The first utopia, Plato’s Republic, is a search for justice with a strong emphasis on community and property, and the abolition of money, gold and silver. Gold is used for chamber pots. The emphasis is on education and equality between men and women. We find the same features in Thomas More’s Utopia. Some ideas are acceptable, and some are not (like eugenics). Utopia endowed an implicit tyranny: while it means to make people happy, it contributes to their fall.

The concept of utopia

There have been many utopias, especially now that the definition is more precise. The definition depends on the ideological context. We can try to point out several concepts through centuries.

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Tableau représentant un groupe de personnes devant un temple, inspiré de l'histoire et de la littérature de la Rome antique.

Ecrire l’histoire à Rome : l’influence de la littérature grecque

There is no time and no place in which the Romans were free from Greek influence. [1]

A. Momigliano, Settimo contributo alla storia degli studi classici e del mondo antico

Étudier le thème de l’influence grecque chez les premiers historiographes latins revient à s’intéresser au domaine de l’historiographie latine, genre littéraire qui, ainsi que son étymologie l’indique, consiste à écrire l’histoire. Le genre historiographique est mis en œuvre en premier lieu dans la littérature grecque et s’épanouit pleinement au Vème siècle avant notre ère par le biais des œuvres d’historiens grecs tels qu’Hérodote ou Thucydide, pour ne citer qu’eux.

L’historiographie apparaît donc comme un genre littéraire relativement ancien et qui répond à des codes, des techniques littéraires, une méthode d’écriture mis en place et développés en premier lieu par les historiens grecs. L’historiographie romaine, qui éclôt très tôt dans l’histoire de la littérature latine, jouit donc d’un profond héritage grec, ainsi que le montre E. Cizek: « on ne saurait envisager la formation et l’épanouissement de l’historiographie latine, en dehors de l’influence grecque [2] ».

Quand la littérature latine naît-elle ?

C’est en 240 avant notre ère que naît la littérature latine. Les premières œuvres littéraires sont composées par Livius Andronicus, esclave originaire de Tarente [3] : apparaissent ainsi des pièces théâtrales calquées sur le modèle grec, tant sur le plan scénique que narratif. Autour des années 230, l’auteur compose également l‘Odissia, épopée en latin et inspirée de l’Odyssée homérique. Telles sont les premières œuvres littéraires qui marquent le début de la littérature latine.

Par la suite, la plupart des œuvres qui succèdent à celles de Livius Andronicus présentent une particularité importante, dans la mesure où elles ont pour sujet l’histoire de Rome. Les œuvres historiographiques constituent donc une part capitale des premières œuvres de la littérature latine. La prégnance du genre historiographique dans les premiers moments de la littérature latine s’explique aisément par le contexte historique dans lequel elle naît.

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Personne tapant sur une machine à écrire et créant des scénarios orthographiques.

Question d’orthographe : écrit-on des « scénarios » ou des « scénari » ?

Ah, la question éternelle des amateurs de la langue française : “Doit-on écrire « scénarios » ou « scénari » ?” Cet article plonge au cœur de cette interrogation, démêlant les règles de grammaire, les exceptions et les préférences d’usage pour éclairer votre chemin à travers les méandres de l’orthographe française. Préparez-vous à une exploration linguistique !

Un peu d’histoire

Le terme « scénario », emprunté à l’italien “scenario”, a fait son entrée dans la langue française au XVIIe siècle. Originellement, il désignait le plan détaillé d’une pièce de théâtre, avant d’élargir son sens aux domaines du cinéma, de la télévision, et même de la planification événementielle. En italien, le pluriel de “scenario” est “scenari”, sans accent. Mais alors, comment ce mot voyage-t-il dans le paysage grammatical français ?

La règle de base en français

En français, la formation du pluriel suit généralement une règle simple : on ajoute un “s” au singulier. Donc, logiquement, le pluriel de « scénario » est « scénarios ». Cette règle de base soutient l’usage de « scénarios » dans la majorité des écrits français, des documents officiels aux œuvres littéraires.

L’exception italienne ?

La langue française est connue pour ses exceptions, et certains pourraient se demander si « scénario » en fait partie, du fait de son origine italienne. En effet, pour des mots empruntés à d’autres langues, le français a parfois conservé les formes plurielles originales (comme pour les mots “graffiti/graffitis” ou “spaghetti”). Pourtant, « scénari », bien qu’utilisé par certains sous l’influence de l’italien, n’est pas reconnu comme le pluriel standard en français.

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Mme Dalloway, une femme en costume, naviguant dans le temps avec une horloge et des fleurs.

The fictive experience of time through Mrs. Dalloway

  1. Mrs. Dalloway by Virginia Woolf: A Modernist Novel
  2. Time on the surface level of Mrs. Dalloway
  3. Time and Virginia Woolf’s novel technique
  4. The fictive experience of time through Mrs. Dalloway

Now the reader’s experience must be studied because, when all is said and done, it is the way in which the complexity of time is felt that constitutes part of the interest (part of the pleasure) we derive from reading “Mrs. Dalloway”.

‘Monumental’ time versus private time

Virginia Woolf suggests that time is not uniform, time is not the same for everyone at the same moment. The experience of time is filtered through the characters’ consciousness.

We may distinguish between two forms of time: ‘monumental time’ and ‘private time’. Monumental time is the time of the clocks: Big Ben striking the ‘irrevocable hour’, but it is also the time of the power, of the authorities, of the institutions that fix working hours and regulate the lives of ‘well-balanced people’. Private time is subjective; it is torn apart (asunder) between memory (the past) and expectation: looking forward to future events.

What Virginia Woolf subtly shows is that ‘monumental time’, for example, the chiming of Big Ben, arouses different responses and touches off different echoes according to the characters. Of course, the chiming of Big Ben is objectively the same for everyone at the same instant, however, Virginia Woolf sets out to show that they affect characters differently according to the state of mind and disposition they find themselves in, on the spur of the moment.

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