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La Croatie : Trogir

Le lendemain, c’est le grand départ. Notre voyage commence à toucher à sa fin et nous décidons de passer les deux derniers jours qui nous restent à Trogir : la vieille ville est classée au patrimoine de l’Unesco et l’aéroport se trouve à quelques kilomètres. nous prenons le bus pour rejoindre Split puis Trogir.

Cela fait 6 heures de bus donc bon, il va falloir s’accrocher. Dur de devoir rester prostré dans un siège alors que nous marchons tous les jours au grand air !

Nous avons acheté nos billets sur Internet le jour d’avant pour être sûr d’avoir une place. Cécile se présente au chauffeur qui lui intime l’ordre de mettre son sac à dos dans la soute du car, non sans lui lancer un froid mais impérieux “ten kunas!”.

Hé oui, pour mettre son sac dans la soute, il faut graisser la patte des chauffeurs, en liquide et le prix est un peu à la tête du client !

Nous quittons donc Dubrovnik en bus pour rejoindre Trogir, en 6 heures. Le car sillonne des petits villages ce qui nous permet de découvrir un nouveau visage, plus montagnard, du pays. Le contrôleur du car vérifie les tickets de l’ensemble des voyageurs.

L’un de nos voisins, touriste comme nous, semble avoir commis une erreur dans la date de son billet, qui n’est donc pas valide. Ni une, ni deux, le contrôleur arrête le chauffeur, laisse le pauvre touriste au beau milieu de nulle part et repart illico. Nous restons interdits.

Au cours de notre périple, nous traversons aussi la Bosnie-Herzégovine, théâtre d’une anecdote qui fait encore rire Matt aujourd’hui: Cécile, le matin du départ, a déposé son sac à dos dans la soute du car, dans lequel elle a laissé (mais pourquoi ???) tous ses papiers et sa carte d’identité.

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La Croatie : Dubrovnik ou la citadelle de King's Landing photo 18

La Croatie : Dubrovnik ou la citadelle de King’s Landing (Game of Thrones)

Nous débarquons à Dubrovnik vers 23 heures et attrapons l’un des derniers bus qui va du port vers la citadelle de Dubrovnik où nous avons réservé notre chambre d’hôte.

Douze jours en Croatie : Dubrovnik ou la citadelle de King's Landing photo

Le retour à la civilisation se fait dans le bus et c’est plutôt rude : nous sommes dans un bus bondé, où se côtoient les petites vieilles locales et un groupe d’anglaises complètement déjantées, vociférant de manière alcoolisée avant leur arrivée fracassante dans l’une des boites de nuit de la ville.

Notre logeur, Sergio, nous attend à l’entrée de la citadelle et nous informe tout en marchant qu’il y a un problème avec notre réservation et que nous allons passer la première nuit dans un autre logement.

C’est un peu étrange de suivre quelqu’un qui nous emmène on ne sait où, dans de petites ruelles pavées, en tournant un coup à gauche, un coup à droite et en marchant comme des cosaques alors que la nuit est tombée depuis belle lurette.

Nous arrivons dans la cour de ce qui semble être une ferme, ce qui semble tout à fait surréaliste. J’ai pensé au film Hostel mais je n’ai rien dit à Cécile pour ne pas l’effrayer.

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La Croatie : Korçula photo

La Croatie : Korçula

Le lendemain, nous nous réveillons assez tôt car nous avons réservé une place dans le bateau qui nous mènera à Korçula (à prononcer kor-tchou-la).

Avant d’embarquer, nous prenons un petit déjeuner au soleil, face à la mer, afin d’éviter les tourments marins. Finalement, la mer est très calme et le voyage est très serein.

A notre arrivée sur Korçula, notre hôtesse nous attend sur le port, coiffée d’un chapeau aux larges rebords pour se protéger du soleil brûlant de midi. L’image de cette femme accueillante et si belle restera gravée dans notre esprit, augurant la beauté et les saveurs de cette île.

Cette chambre qui sera la nôtre quelques jours durant, est idéalement située: près du port, dans une petite ruelle pentue s’ouvrant vers la mer, dont les petites fenêtres débordent de bougainvillées en fleurs. Lorsque nous y entrons, les fenêtres ouvertes laissent entrer le vent qui joue avec les rideaux. Tout de suite, nous nous y sentons bien, comme si nous y étions chez nous.

La Croatie : Korçula photo 3

L’impression positive qui nous berce se prolonge lors de notre découverte de la ville. Nous sommes d’emblée séduits par cette cité médiévale pavée en forme de poisson qui semble s’élancer vers la mer.

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La Croatie : Hvar photo 4

La Croatie : Hvar

Nous nous réveillons heureux de car une belle journée s’annonce : le soleil est radieux, la température déjà élevée pour l’heure et le programme de notre journée alléchant.

Le check-out est à 10 heures, comme dans toutes les locations en Croatie. Nous quittons notre chambre pile à l’heure et nous arrêtons petit déjeuner dans un café nommé “health food”.

Au menu : un grand café, des œufs, des toasts et du bacon pour Matt, du muesli au yaourt avec une coupe de fruits frais pour Cécile. C’est vraiment un régal. Nous prenons notre temps, au soleil et profitons de la vie.

Vers 11 heures, nous entamons une promenade agréable le long du port et admirons les luxueux bateaux amarrés là. Dans la grande majorité, ils sont britanniques et croates.

Nous nous rendons au quai pour prendre un catamaran rapide, pour lequel nous avions réservé nos billets la veille. Notre destination est l’île de Hvar (à prononcer CHVAR). Nous embarquons sereinement et nous plaçons à l’avant du flotteur droit, pour apprécier au maximum la vue de la traversée. Nous quittons Split tout doucement.

Dès que nous atteignons le large, si le ciel et la température sont cléments, la mer est déchaînée. Des creux de 3 à 4 mètres secouent le bateau qui s’élance dans les airs et retombe lourdement sur les crêtes. Les passagers, d’abord amusés par cette attraction digne du grand huit, déchantent rapidement. Chaque vague déclenche des cris stridents.

Au bout de quelques temps, c’est la course aux vomito-bags, disposés à l’avant du bateau. Tous les passagers vomissent les uns après les autres, c’est vraiment impressionnant !

Grâce à notre super petit déjeuner, nous défions Neptune et saluons chaque vague d’un rire tonitruant, notamment celui de Matt, qui rit de plus belle lorsqu’un de nos voisins se met à remplir son petit sac.

Une heure trente plus tard, nous débarquons sur l’île de Hvar. Il fait chaud mais une brise légère et agréable nous rafraîchit tandis que nous marchons vers la gare routière ou nous attend Anita, notre logeuse.

Nous passons sur le main square, la place pavée principale de l’ile. La population à l’air bien plus aisée qu’à Split : moins de sacs à dos de randonnée et beaucoup plus de valises.

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Douze jours en Croatie : arrivée à Split photo 4

La Croatie : arrivée à Split

Un départ épique

Il est 3h30 du matin lorsque notre réveil sonne. L’œil hagard, nous partons à 4h15 avec notre voiture pour rejoindre l’aéroport. Arrivés sur le périphérique, nous nous rendons compte que le pont de Cheviré est fermé et que nous devons donc faire demi-tour pour prendre le périphérique dans l’autre sens.

Un coup de stress, mais tout va bien, nous avons encore du temps jusqu’à l’embarquement pour notre vol de 6 heures.

Matt a réservé quelques jours plus tôt une place de parking chez NGPark, que le GPS a bien du mal à trouver. Il est 5 heures 10, et nous errons en pleine campagne, sur un chemin gravillonné sans savoir où aller.

Le stress commence à monter car l’heure tourne. Nous appelons le parking qui nous indique la route. En quelques minutes, nous y sommes, garons notre voiture et embarquons dans la petite navette qui nous conduit à l’aéroport.

Il est 5h30 quand nous y arrivons. Nous passons les contrôles, mais surprise, un nouveau contrôle d’identité aux frontières nous attend et la file d’attente est démente.

À 5h50, une employée appelle les derniers retardataires et nous enjoint de doubler la queue pour embarquer. Nous arrivons à nos places dans l’avion et il décolle aussitôt.

Arrivée à Split

Deux heures plus tard, nous arrivons à Split. Il est 8h15 du matin et il fait 28 degrés. On retire des kunas (la monnaie croate) et on prend notre premier bus, direction Split.

En arrivant au port, nous sommes assoiffés et affamés car à 3h30, nous n’avions pas déjeuné. Nous nous enfilons un croissant et de l’eau et sommes prêts à démarrer la journée.

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Salvaged - A Surf Film photo

Salvaged – A Surf Film

Salvaged is a black and white longboarding picture shot on location on the islands of Indonesia in clean, shoulder high surf, with a few large exceptions.

It features local Indonesian Surfers Deni Firdaus and Husni Ridhwan, along with Matt Cuddihy, Thomas Bexon and Zye Norris.

Enjoy !

Visite du théâtre d'Épidaure et du temple d'Asclépios photo 1

Visite du théâtre d’Épidaure et du sanctuaire d’Asclépios

Aujourd’hui, c’est notre dernier jour avant le grand départ. Nous projetons de l’occuper par la visite du site d’Épidaure, situé à environ 150 kilomètres d’Athènes. Un bus permet de rallier la capitale à Epidaure, en faisant un changement à Nauplie.

La veille, nous sommes couchés vers 3 heures du matin du fait de notre retour épique du Pirée et nous nous levons, un peu difficilement il faut l’avouer, à 8 heures, le temps de prendre un bus urbain qui nous mènera à l’une des deux gares routières d’Athènes.

Une fois arrivés, nous prenons nos billets de bus et demandons à la vendeuse où s’arrêter exactement et à quelle heure est le bus du retour. Elle est bien en peine de nous répondre: il faudra demander au chauffeur.

Lui-même ne sait pas trop, et nous conseille de demander à la gare routière de Nauplie, là où nous ferons un changement de bus pour nous rendre à Epidaure. Nous partons et profitons de ces quelques heures de route pour nous reposer.

Nous arrivons à Nauplie, très différente d’Athènes : la ville est très moderne, très européenne, nous avons l’impression de nous trouver dans une ville du sud de la France ou de l’Espagne. Nous demandons les horaires de bus retour à partir d’Épidaure à la dame de la gare routière qui nous donne un prospectus offrant les horaires.

Nous sommes rassurés car un bus part du site d’Épidaure dans quelques heures, ce sera le dernier de la journée : ce laps de temps nous permettra de mener notre visite à bien, tranquillement. Nous déjeunons dans un petit bouge en attendant notre prochain bus qui nous conduira sur le site.

Dès qu’il arrive, nous demandons au chauffeur si le bus retour part bien du site à l’heure indiquée sur le prospectus, ce qu’il nous confirme. Notre visite peut donc commencer sereinement.

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Shell : créer une liste de mot de passe facilement photo

Shell : créer une liste de mots de passe facilement

Créer une liste de mots de passe simples

Voici un moyen très simple de créer une liste de mots de passe en utilisant le terminal sous Linux ou MacOS par exemple :

for i in `seq 1 8`; do mktemp -u XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX; doneCode language: JavaScript (javascript)

Explications sur le fonctionnement de la commande:

  • seq 1 8 va nous créer 8 mots de passe différents,
  • mktemp -u XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX va nous créer des mots de passe alphanumériques dont le nombre de caractères dépend du nombre de X. Ici, j’ai mis 24 X donc les mots de passe feront 24 caractères.

Créer une liste de mots de passe sécurisés

La méthode précédente n’est pas vraiment sécurisée car le degré d’entropie est trop faible. Pour augmenter le niveau de sécurité, j’utilise cette commande:

for i in $(seq 1 8); do LC_CTYPE=C tr -dc '[:graph:]' < /dev/urandom | tr -d "'" | tr -d '"' | head -c 64 && echo; doneCode language: JavaScript (javascript)

Voici une explication de la commande :

  • for i in $(seq 1 8); do : Cela commence une boucle for qui se répète 8 fois (de 1 à 8).
  • LC_CTYPE=C : Cela définit la variable d’environnement LC_CTYPE à la valeur C, ce qui assure que le générateur de mots de passe utilise le jeu de caractères ASCII.
  • tr -dc '[:graph:]' < /dev/urandom : Cela utilise la commande tr pour supprimer les caractères non imprimables et générer des caractères graphiques aléatoires à partir de /dev/urandom, qui est une source d’entropie aléatoire sur les systèmes Unix.
  • tr -d "'" | tr -d '"' : Cela utilise deux commandes tr supplémentaires pour supprimer les caractères de guillemets simples (') et les guillemets doubles (") des mots de passe générés. Cela garantit que les guillemets simples et doubles sont supprimés des mots de passe générés.
  • head -c 32 : Cela utilise la commande head pour limiter la longueur des mots de passe générés à 32 caractères.
  • && echo; done : Cela termine la boucle for et ajoute un retour à la ligne (echo) pour afficher chaque mot de passe généré sur une ligne séparée.

Simple et efficace, j’utilise souvent cette commande lors de la création ou l’import d’utilisateurs en masse, lors de la création d’un fichier CSV par exemple.

Cela permet d’avoir des mots de passe un minimum sécurisés dès le départ de la création des comptes utilisateurs.

Lord Huron - Frozen Pines photo

Lord Huron – Frozen Pines

Lord Huron est un groupe d’indie folk américain, originaire de Los Angeles, en Californie.

Le nom du groupe vient du Lac Huron, un lac que le fondateur du groupe Ben Schneider a visité durant sa jeunesse, et où il aurait passé ses soirées à jouer de la musique autour du feu.

Voici Frozen Pines :

Deep into the night
With the moonlight as my guide
I will wander through the pines and make my way to nature’s shrines

And I look up to the sky
And I know you’re still alive
But I wonder where you are, I call your name into the dark

I wake up in the morning, oh, and I don’t know where I’ve been
All alone on a mountainside and huddled in the wind

And it feels like I’ve been away for an era, but nothing has changed at all
And it feels like I’ve been with you but, oh, what did you you do and where have you gone?
On the night you disappeared

Oh, if I had seen you clear
But the strange light in the sky was shining right into my eyes
There was no one else in sight

Just the endless frozen pines
But I wonder how they know, cause they don’t die if they don’t grow

I am ready to follow you even though I don’t know where
I’ve been waiting the night until you decide to take me there

Cause I know I don’t wanna stay here forever it’s gotta be moving on
Oh, I don’t wanna be the only one living if all of my friends are gone

I will be waiting for you on the other side of the frozen pines
I’m gonna find a way through, there’s another light beyond the lie
I will be waiting for you on the other side of the frozen pines
I’m gonna find a way through, there’s another life beyond the lie

Song: Frozen Pines
Artist: Lord Huron
Album: Strange Trails
Track: 10

Cider with Rosie by Laurie Lee : chapter analysis photo

Cider with Rosie by Laurie Lee : chapter analysis

  1. Cider with Rosie by Laurie Lee : chapter analysis
  2. Relatives in “Cider With Rosie” by Laurie Lee

Here is an analysis of each chapter in Cider with Rosie by Laurie Lee.

A general summary

In Cider with Rosie, Laurie Lee recalls his childhood and adolescence. He was one of seven children in a close family headed by his mother: he grew up in England, in a Cotswold village governed by tradition.

The book is organised in accord with his early exploration of his widening world. He examines his infant sensations, his cottage, his yard, his village and Cotswold Valley, then local superstitions, village education, his neighbours, public tragedies, private life stories, his childhood games, village celebrations, sexual initiations, and the eventual changes as his childhood, his close family life, and the traditional village life pass away forever.

Chapter 1: First Light

In this chapter, Lee gives a three-year-old’s perceptions and misconceptions: small about objects around him, Laurie crawls among “forests” of household objects and he believes autumn is a season and the war’s end means the end of the world. Lee uses metaphors and similes (often of water) to communicate the child’s sense of adventure.

This chapter introduces most of the themes that will be developed in the story throughout the different episodes of Laurie’s childhood: the importance of family ties, the constant presence and role of the women in his own development and the absence of a father, the magic in the world surrounding him causing numerous fears, the importance of the seasons and the overwhelming presence of nature and death.

Chapter 2: First Names

The second chapter is divided into three sections. It begins in a dark winter with peace and the men returning from war and it ends in the “long hot summer of 1921”. It roughly has to do with night-time feelings: dreams, terrors and superstitions.

The village legends: ignorance and superstition were common features shared by all the people of the village, and they led them to fear a world which seemed unpredictable and was governed by magic laws. Some animals or natural phenomena were given a particular meaning and there were ill omens that brought bad luck to those who crossed their path.

The village freaks: the freaks such as Cabbage Stump Charlie, Albert the Devil, Percy from Painswick… were all more or less physically or mentally peculiar. The reader might be surprised at the number of handicapped people who populate the area.

This phenomenon could be explained by the fact that there was so great mixing of the population, which led to the problem of consanguinity. Besides, diseases and malnutrition must have led to further handicaps. These freaks with their “cartoon” nicknames were probably the most striking and frightening people whom the little boy had heard of or seen in his narrow world.

The flood: the chapter ends then with another apocalyptic scene: the flood following a particularly dry summer. This part enables the narrator to emphasize the role religion played for the villagers at that time.

In their eyes, the world was driven by magic forces that could be influenced, either by appeals to god, the Christian God or if this did not work, by resorting to other methods: “As the drought continued, prayer was abandoned and more devilish steps adopted”.

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Parkway Drive - The Cruise photo

Parkway Drive – The Cruise

Parkway Drive est un groupe australien de metalcore, formé en 2002. Le nom du groupe vient de celui de la rue dans laquelle se trouve la maison d’un des membres (la cave servant de local de répétition), à Byron Bay, en Nouvelle-Galles du Sud (NSW).

Peu de temps après sa formation, le groupe effectue un split avec le groupe de metalcore I Killed the Prom Queen, en 2003.

Parkway Drive apparaît également sur la compilation de The Red Sea : What We’ve Built, peu de temps avant la sortie de son premier EP, Don’t Close Your Eyes.

Sur Don’t Close Your Eyes, on peut retrouver une chanson interlude instrumentale qui s’intitule The Cruise:

Appréciez le bruit du ressac avec la ligne mélodique des deux guitares.

Mais pourquoi donc une chanson chill sur un album de metal me direz-vous ?

Et bien tout simplement parce que dans les années 80, 90 et 2000, quasiment tous les albums un peu heavy avaient une chanson chill pour pouvoir fumer des substances illicites.

Étonnant non ?

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Coup de coeur : Greta Van Fleet

Greta Van Fleet est un groupe de rock américain, originaire de Frankenmuth, dans le Michigan.

Il est formé en 2012, par les frères Josh Kiszka, Jake Kiszka, Sam Kiszka et Kyle Hauck (remplacé par Danny Wagner en 2013).

Il suffit d’écouter quelques titres comme Safari Song :

et vous allez immédiatement trouver leurs sources d’inspiration et leurs influences classic rock millésimées !

Une voix à la Robert Plant, des riffs lourds comme les morceaux de Led Zeppelin I, des break de batteries à la John Bonham… il est difficile de ne pas y voir un hommage aux années 60 et 70.

Même Robert Plant les a remarqué :

“There’s a band in Detroit called Greta Van Fleet. They are Led Zeppelin I,” Plant told Loudwire. “Beautiful little singer, I hate him! He borrowed [his voice] from somebody I know very well, but what are you going to do? At least he’s got a bit of style, because he’s said he based his whole style on Aerosmith [eye roll].”

Greta Van Fleet revendique ses influences et Jake est d’accord avec Robert Plant :

“We have certain debut records that are like benchmarks to us—Van Halen’s first record, Zeppelin’s first, even the Black Crowes’ Shake Your Money Maker. Those records really seemed to sum up each band so well. Those albums are like the gold standard, and they give us something to shoot for. It’s like, ‘Can we be that good?’”

Même l’alien et guitar-hero Joe Satriani a déclaré sur NJ Arts être devenu fan de Greta Van Fleet quasi-immédiatement :

“I’ve been listening to this young band, Greta Van Fleet, and I’m really enjoying that exuberance that I’m hearing. When I first heard them, I sent their album to all my friends that were in my high-school band. We’re still good friends and we stay in touch and, I swear, that’s what we were trying to do when we were 15 years old.

We were just trying to be like Led Zeppelin, Black Sabbath and The Stones, but these guys are really good at it! [Laughs] They have that same kind of… it just sounds like they love music and they love what they’re doing and yeah, I’ve been listening to that quite a bit.”

J’écris cet article en écoutant leur album, intitulé From the Fires et je peux vous dire que si vous aimez Led Zeppelin, vous allez vraiment apprécier cet album.

On est à des années lumières de la musique actuelle et c’est une vraie cure de jouvence pour les oreilles.

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