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The Handmaid’s Tale saison 1

The Handmaid’s Tale est une série télévisée créée par Bruce Miller, basée sur le roman éponyme de Margaret Atwood, paru en 1985.

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Dans un avenir proche, la combinaison de pollutions environnementales et de maladies sexuellement transmissibles a entraîné une baisse dramatique de la fécondité qui a pour conséquence un taux de natalité extrêmement bas.

Les « Fils de Jacob », une secte politico-religieuse protestante de type restaurationniste et aux accents fondamentalistes, en a profité pour prendre le pouvoir, détruisant la Maison-Blanche, la Cour suprême et le Congrès lors d’un coup d’État.

Dans cette version dystopique et totalitaire des États-Unis, la République de Gilead, les dissidents, les homosexuels et les prêtres catholiques sont condamnés à mort par pendaison.

Les relations hommes/femmes obéissent dorénavant à des règles très strictes. Alors que les hommes occupent toutes les positions du pouvoir, les femmes ont été démises de leur statut de citoyennes à part entière.

Elles ne peuvent ni travailler, ni posséder d’argent, ni être propriétaires, ni lire. Elles sont catégorisées selon leur fonction : les Épouses (habillées en bleu/vert) sont les femmes des dirigeants, les Martha (en gris) s’occupent de la maisonnée et les Servantes (en rouge pourpre) sont uniquement dédiées à la reproduction, sous la surveillance rigide des Tantes (en marron).

Les Servantes sont affectées au sein des familles dirigeantes, jusqu’à ce qu’elles mettent au monde les enfants tant désirés.

La série suit le parcours de June, une femme devenue servante sous le nom d’ Offred (car au service du commandant Fred Waterford).

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Preacher saison 3 photo

Preacher saison 3 : Welcome to AngelVille

La troisième saison de Preacher a été diffusée sur AMC.

La saison commence avec un flashback dans lequel on voit la mère de Jesse qui essaie de fuir sa propre mère – Madame L’Angelle, qui est une sorcière vaudou.

La mère de Jesse est arretée par les hommes de main de Madame L’Angelle, T.C. et Jody. Lorsqu’elle avale une photo de Jesse, Marie L’Angelle lui ouvre le ventre, retire la photo, puis laisse mourir sa propre fille.

Retour dans le présent. Jesse and Cassidy arrive à Angelville avec le corps de Tulip, à la recherche de la grand-mère de Jesse.

Jesse l’implore de ramener Tulip à la vie, et lui promet tout ce qu’elle veut en échange. La grand-mère envoie Jesse et Cassidy lui procurer les choses dont elle a besoin pour le rituel.

Jesse doit se rendre chez le clan rival, les Boyds, avec Jody, l’homme qui a tué son père, pour obtenir du transpoil.

Pendant ce temps, Tulip est au Purgatoire et revit des scènes traumatiques de son enfance…

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Nicolò Renna - Breathing photo

Nicolò Renna – Breathing

“Breathing” is an original piece for classical guitar composed and performed by Nicolò Renna.

The composition has evident popular influences that recall the sounds of Ireland and Celtic music. The academic style of classical guitar combined with very catchy percussive elements create an original mix between classical music and finger-style.

The guitar used in the video is by lutist Roberto De Miranda.

Installer Redis pour accélérer WordPress sous Debian photo

Installer Redis pour accélérer WordPress sous Debian

Aujourd’hui, nous installons le serveur Redis pour accélérer les temps de chargement de tous les sites présents sur le serveur.

Redis (de l’anglais REmote DIctionary Server qui peut être traduit par « serveur de dictionnaire distant » et jeu de mot avec Redistribute1) est un système de gestion de base de données clef-valeur scalable, très hautes performances, écrit en C ANSI.

Il fait partie de la mouvance NoSQL et vise à fournir les performances les plus élevées possibles.

Redis permet de manipuler des types de données simples : chaînes de caractères, tableaux associatifs, listes, ensembles et ensembles ordonnés.

Une des principales caractéristiques de Redis est de conserver l’intégralité des données en RAM. Cela permet d’obtenir d’excellentes performances en évitant les accès disques, particulièrement coûteux sur ce plan.

Lorsqu’une page WordPress est chargée par exemple, des requêtes sur la base de données sont lancées et cela prend un certain temps pour récupérer ces informations.

Lorsque Redis est activé, il garde ces requêtes SQL en mémoire, ce qui permet de gagner en temps de chargement des pages.

Voici donc le tutoriel pour mettre en place Redis sur votre serveur. Cela prend environ 15 minutes.

Installation du serveur Redis

Nous installons le serveur Redis et le paquet PHP associé:

apt install redis-server php-redis

Nous vérifions que Redis est bien actif, il nous suffit de lancer redis-cli:

redis-cli

On tape ping dans l’invite:

127.0.0.1:6379> pingCode language: CSS (css)

Réponse:

PONG

Parfait, le serveur Redis est bien installé et actif.

Configuration de Redis

Editons le fichier de configuration de Redis :

nano /etc/redis/redis.conf

Changez les valeurs suivantes :

maxmemory 256mb # max memory 
maxmemory-policy allkeys-lru # replace old keys with fresher ones
requirepass VOTRE-MOT-DE-PASSECode language: PHP (php)

Enregistrez et relancez le serveur pour prendre en charge la nouvelle configuration:

service redis-server restart

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PHP : configurer un pool PHP pour chaque site photo

PHP : configurer un pool PHP pour chaque site

Au départ, ce serveur n’avait qu’un seul site – celui que vous lisez en ce moment ;) – mais au fil du temps, plusieurs sites sont venus s’installer dans son giron.

Au début, nous n’avions donc besoin d’une seule configuration PHP – www.conf par défaut – qui est un pool (ou conteneur) selon la terminologie PHP.

Ce fichier de configuration dicte le nombre de threads PHP à lancer, les permissions, etc.

Afin de monter en charge et fournir à chaque site les ressources qui lui sont nécessaires, adoptons la stratégie “un site, un pool”.

Mise en place du nouveau pool PHP

Pour être sûr de partir d’une base éprouvée, copions notre pool de départ dans un nouveau fichier :

cp /etc/php/7.2/fpm/pool.d/www.conf /etc/php/7.2/fpm/pool.d/skyminds.conf

Editons ensuite notre pool :

nano /etc/php/7.2/fpm/pool.d/skyminds.conf

1. Nom du pool : remplacez [www] par le nom de votre site, ici [skyminds] de manière à pouvoir l’identifier plus aisément.

2. Vérifiez l’utilisateur et le groupe dans les directives user et group.

3. On modifie le nom du site dans la directive listen en utilisant le nom du pool que vous avez choisi dans l’étape 1:

listen = /run/php/skyminds.sockCode language: JavaScript (javascript)

Mise à jour de la configuration NginX

Il nous reste maintenant à mettre à jour la configuration du site :

nano /etc/nginx/sites-available/skyminds.net

Mettez à jour cette ligne (même chemin que la directive listen dans la configuration PHP):

fastcgi_pass unix:/run/php/skyminds.sock;Code language: JavaScript (javascript)

Relancez les services PHP et NginX:

service php7.4-fpm restart && service nginx restartCode language: CSS (css)

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High Tone - Rub-A-Dub Anthem (feat. Pupa Jim) photo

High Tone – Rub-A-Dub Anthem (feat. Pupa Jim)

High Tone est un groupe lyonnais de dub, créé en 1997 à Lyon sur les pentes de la Croix Rousse et mélange bon nombre d’influences musicales : dub jamaïcain des années 1970, hip-hop, jungle, drum and bass, techno, sonorités orientales.

High Tone sort son premier maxi 45T Bot Bud Season en 1998. Il sera suivi en 1999 par Low Tone, nouveau maxi 4 titres également édité en CD qui servira de promo.

En 2000 sort le premier véritable album du groupe, Opus Incertum. High Tone, avec les groupes Improvisators Dub ou Zenzile s’inscrit comme représentant d’un nouveau style de dub, porté sur la fusion et l’expérimentation sonore.

Voici Rub-A-Dub Anthem, à retrouver sur l’album Out Back (2010) :

Pour toutes les compositions, les 5 musiciens du groupe se réunissent dans un local où un MiniDisc tourne en permanence afin de capter les bons moments musicaux de la journée.

Puis vient le travail de réécoute et de sélection de passages qui semblent intéressants. Enfin la création finale du morceau se fait en répétition ou sur un ordinateur, seul ou à plusieurs selon les cas.

La musique parfaite pour passer un été tranquille !

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La Croatie : Trogir

Le lendemain, c’est le grand départ. Notre voyage commence à toucher à sa fin et nous décidons de passer les deux derniers jours qui nous restent à Trogir : la vieille ville est classée au patrimoine de l’Unesco et l’aéroport se trouve à quelques kilomètres. nous prenons le bus pour rejoindre Split puis Trogir.

Cela fait 6 heures de bus donc bon, il va falloir s’accrocher. Dur de devoir rester prostré dans un siège alors que nous marchons tous les jours au grand air !

Nous avons acheté nos billets sur Internet le jour d’avant pour être sûr d’avoir une place. Cécile se présente au chauffeur qui lui intime l’ordre de mettre son sac à dos dans la soute du car, non sans lui lancer un froid mais impérieux “ten kunas!”.

Hé oui, pour mettre son sac dans la soute, il faut graisser la patte des chauffeurs, en liquide et le prix est un peu à la tête du client !

Nous quittons donc Dubrovnik en bus pour rejoindre Trogir, en 6 heures. Le car sillonne des petits villages ce qui nous permet de découvrir un nouveau visage, plus montagnard, du pays. Le contrôleur du car vérifie les tickets de l’ensemble des voyageurs.

L’un de nos voisins, touriste comme nous, semble avoir commis une erreur dans la date de son billet, qui n’est donc pas valide. Ni une, ni deux, le contrôleur arrête le chauffeur, laisse le pauvre touriste au beau milieu de nulle part et repart illico. Nous restons interdits.

Au cours de notre périple, nous traversons aussi la Bosnie-Herzégovine, théâtre d’une anecdote qui fait encore rire Matt aujourd’hui: Cécile, le matin du départ, a déposé son sac à dos dans la soute du car, dans lequel elle a laissé (mais pourquoi ???) tous ses papiers et sa carte d’identité.

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La Croatie : Dubrovnik ou la citadelle de King's Landing photo 18

La Croatie : Dubrovnik ou la citadelle de King’s Landing (Game of Thrones)

Nous débarquons à Dubrovnik vers 23 heures et attrapons l’un des derniers bus qui va du port vers la citadelle de Dubrovnik où nous avons réservé notre chambre d’hôte.

Douze jours en Croatie : Dubrovnik ou la citadelle de King's Landing photo

Le retour à la civilisation se fait dans le bus et c’est plutôt rude : nous sommes dans un bus bondé, où se côtoient les petites vieilles locales et un groupe d’anglaises complètement déjantées, vociférant de manière alcoolisée avant leur arrivée fracassante dans l’une des boites de nuit de la ville.

Notre logeur, Sergio, nous attend à l’entrée de la citadelle et nous informe tout en marchant qu’il y a un problème avec notre réservation et que nous allons passer la première nuit dans un autre logement.

C’est un peu étrange de suivre quelqu’un qui nous emmène on ne sait où, dans de petites ruelles pavées, en tournant un coup à gauche, un coup à droite et en marchant comme des cosaques alors que la nuit est tombée depuis belle lurette.

Nous arrivons dans la cour de ce qui semble être une ferme, ce qui semble tout à fait surréaliste. J’ai pensé au film Hostel mais je n’ai rien dit à Cécile pour ne pas l’effrayer.

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La Croatie : Korçula

Le lendemain, nous nous réveillons assez tôt car nous avons réservé une place dans le bateau qui nous mènera à Korçula (à prononcer kor-tchou-la).

Avant d’embarquer, nous prenons un petit déjeuner au soleil, face à la mer, afin d’éviter les tourments marins. Finalement, la mer est très calme et le voyage est très serein.

A notre arrivée sur Korçula, notre hôtesse nous attend sur le port, coiffée d’un chapeau aux larges rebords pour se protéger du soleil brûlant de midi. L’image de cette femme accueillante et si belle restera gravée dans notre esprit, augurant la beauté et les saveurs de cette île.

Cette chambre qui sera la nôtre quelques jours durant, est idéalement située: près du port, dans une petite ruelle pentue s’ouvrant vers la mer, dont les petites fenêtres débordent de bougainvillées en fleurs. Lorsque nous y entrons, les fenêtres ouvertes laissent entrer le vent qui joue avec les rideaux. Tout de suite, nous nous y sentons bien, comme si nous y étions chez nous.

La Croatie : Korçula photo 3

L’impression positive qui nous berce se prolonge lors de notre découverte de la ville. Nous sommes d’emblée séduits par cette cité médiévale pavée en forme de poisson qui semble s’élancer vers la mer.

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La Croatie : Hvar photo 4

La Croatie : Hvar

Nous nous réveillons heureux de car une belle journée s’annonce : le soleil est radieux, la température déjà élevée pour l’heure et le programme de notre journée alléchant.

Le check-out est à 10 heures, comme dans toutes les locations en Croatie. Nous quittons notre chambre pile à l’heure et nous arrêtons petit déjeuner dans un café nommé “health food”.

Au menu : un grand café, des œufs, des toasts et du bacon pour Matt, du muesli au yaourt avec une coupe de fruits frais pour Cécile. C’est vraiment un régal. Nous prenons notre temps, au soleil et profitons de la vie.

Vers 11 heures, nous entamons une promenade agréable le long du port et admirons les luxueux bateaux amarrés là. Dans la grande majorité, ils sont britanniques et croates.

Nous nous rendons au quai pour prendre un catamaran rapide, pour lequel nous avions réservé nos billets la veille. Notre destination est l’île de Hvar (à prononcer CHVAR). Nous embarquons sereinement et nous plaçons à l’avant du flotteur droit, pour apprécier au maximum la vue de la traversée. Nous quittons Split tout doucement.

Dès que nous atteignons le large, si le ciel et la température sont cléments, la mer est déchaînée. Des creux de 3 à 4 mètres secouent le bateau qui s’élance dans les airs et retombe lourdement sur les crêtes. Les passagers, d’abord amusés par cette attraction digne du grand huit, déchantent rapidement. Chaque vague déclenche des cris stridents.

Au bout de quelques temps, c’est la course aux vomito-bags, disposés à l’avant du bateau. Tous les passagers vomissent les uns après les autres, c’est vraiment impressionnant !

Grâce à notre super petit déjeuner, nous défions Neptune et saluons chaque vague d’un rire tonitruant, notamment celui de Matt, qui rit de plus belle lorsqu’un de nos voisins se met à remplir son petit sac.

Une heure trente plus tard, nous débarquons sur l’île de Hvar. Il fait chaud mais une brise légère et agréable nous rafraîchit tandis que nous marchons vers la gare routière ou nous attend Anita, notre logeuse.

Nous passons sur le main square, la place pavée principale de l’ile. La population à l’air bien plus aisée qu’à Split : moins de sacs à dos de randonnée et beaucoup plus de valises.

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La Croatie : arrivée à Split

Un départ épique

Il est 3h30 du matin lorsque notre réveil sonne. L’œil hagard, nous partons à 4h15 avec notre voiture pour rejoindre l’aéroport. Arrivés sur le périphérique, nous nous rendons compte que le pont de Cheviré est fermé et que nous devons donc faire demi-tour pour prendre le périphérique dans l’autre sens.

Un coup de stress, mais tout va bien, nous avons encore du temps jusqu’à l’embarquement pour notre vol de 6 heures.

Matt a réservé quelques jours plus tôt une place de parking chez NGPark, que le GPS a bien du mal à trouver. Il est 5 heures 10, et nous errons en pleine campagne, sur un chemin gravillonné sans savoir où aller.

Le stress commence à monter car l’heure tourne. Nous appelons le parking qui nous indique la route. En quelques minutes, nous y sommes, garons notre voiture et embarquons dans la petite navette qui nous conduit à l’aéroport.

Il est 5h30 quand nous y arrivons. Nous passons les contrôles, mais surprise, un nouveau contrôle d’identité aux frontières nous attend et la file d’attente est démente.

À 5h50, une employée appelle les derniers retardataires et nous enjoint de doubler la queue pour embarquer. Nous arrivons à nos places dans l’avion et il décolle aussitôt.

Arrivée à Split

Deux heures plus tard, nous arrivons à Split. Il est 8h15 du matin et il fait 28 degrés. On retire des kunas (la monnaie croate) et on prend notre premier bus, direction Split.

En arrivant au port, nous sommes assoiffés et affamés car à 3h30, nous n’avions pas déjeuné. Nous nous enfilons un croissant et de l’eau et sommes prêts à démarrer la journée.

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Salvaged - A Surf Film photo

Salvaged – A Surf Film

Salvaged is a black and white longboarding picture shot on location on the islands of Indonesia in clean, shoulder high surf, with a few large exceptions.

It features local Indonesian Surfers Deni Firdaus and Husni Ridhwan, along with Matt Cuddihy, Thomas Bexon and Zye Norris.

Enjoy !