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Megaupload : l’ascension et la chute d’un empire du partage de fichiers

Dans les annales d’Internet, peu de noms résonnent avec autant de controverse et de fascination que Megaupload. Ce géant du partage de fichiers en ligne, qui a marqué le début des années 2000, incarne à lui seul les promesses et les périls de l’ère numérique.

De son ascension fulgurante à sa chute brutale, l’histoire de Megaupload est indissociable de celle de son fondateur charismatique et excentrique, Kim Dotcom.

Plongeons dans cette saga qui continue d’alimenter les débats sur la propriété intellectuelle, la liberté sur Internet et les limites de la loi dans le cyberespace.

Les débuts : naissance d’un géant

Megaupload voit le jour en 2005, fruit de l’imagination fertile de Kim Schmitz, qui se fera plus tard connaître sous le nom de Kim Dotcom. Né en Allemagne en 1974, Schmitz s’est déjà fait un nom dans le monde de l’informatique, oscillant entre piratage et entrepreneuriat.

L’idée de Megaupload naît d’un constat simple : à l’époque, partager des fichiers volumineux est un véritable casse-tête. Les boîtes mail ont des limites de taille ridicules, et les solutions existantes sont peu pratiques. Schmitz flaire l’opportunité et crée un service révolutionnaire : un site permettant de téléverser facilement des fichiers de grande taille et de les partager via un simple lien.

Le concept est simple mais génial. N’importe qui peut uploader un fichier, qu’il s’agisse d’une présentation PowerPoint, d’un album photo de vacances ou d’un film entier. Le site génère alors un lien unique que l’utilisateur peut partager à sa guise. Les destinataires n’ont plus qu’à cliquer pour télécharger le fichier, sans même avoir besoin de s’inscrire.

Dès ses débuts, Megaupload se démarque par sa facilité d’utilisation et ses capacités techniques impressionnantes. Le site permet de stocker des fichiers jusqu’à 200 Mo, une taille considérable pour l’époque. Cette générosité, couplée à une interface intuitive, séduit rapidement les internautes du monde entier.

L’ascension fulgurante

Le succès de Megaupload est fulgurant. En quelques années, le site devient l’un des plus visités au monde. En 2011, il revendique plus de 50 millions d’utilisateurs quotidiens et capte jusqu’à 4% du trafic Internet mondial. Ces chiffres vertigineux en font le 13e site le plus populaire de la planète.

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L'image présente le logo RapidShare, un service réputé de partage de fichiers en ligne. Il s'agit d'une flèche bleue courbée vers le bas et vers la gauche, qui croise une forme incurvée grise qui reflète la courbe de la flèche. Le texte « RAPIDSHARE » est positionné en diagonale, avec « RAPID » en bleu et « SHARE » en gris.

RapidShare : l’histoire d’un pionnier du partage de fichiers en ligne

RapidShare a été l’un des services de partage et d’hébergement de fichiers les plus populaires au monde dans les années 2000. Lancé en 2002, ce site allemand a connu une ascension fulgurante avant de décliner et de fermer définitivement ses portes en 2015.

Retour sur l’histoire mouvementée de ce géant du partage de fichiers qui a marqué toute une époque d’Internet.

Les débuts prometteurs de RapidShare

RapidShare a été fondé en 2002 par Christian Schmid, un jeune entrepreneur allemand alors âgé de 20 ans. L’idée lui est venue alors qu’il cherchait un moyen simple de partager des fichiers volumineux avec ses amis. À l’époque, les connexions Internet étaient encore relativement lentes et les solutions de partage limitées.

Le concept de RapidShare était simple mais novateur : permettre aux utilisateurs de télécharger gratuitement des fichiers sur les serveurs du site, puis de les partager via un lien unique. N’importe qui pouvait ensuite télécharger le fichier en cliquant sur ce lien, sans avoir besoin de s’inscrire.

Le service a rapidement gagné en popularité grâce à plusieurs avantages :

  • Une interface simple et intuitive
  • La possibilité de partager des fichiers volumineux (jusqu’à 200 Mo au départ)
  • Aucune inscription requise pour télécharger
  • Une vitesse de téléchargement élevée pour l’époque

Dès 2004, RapidShare comptait déjà plusieurs millions d’utilisateurs. Le site a continué sa croissance exponentielle les années suivantes, devenant l’un des 50 sites les plus visités au monde en 2006.

L’âge d’or de RapidShare

Entre 2006 et 2010, RapidShare a connu son apogée. Le site était devenu incontournable pour partager toutes sortes de fichiers : photos, vidéos, logiciels, documents, etc. Plusieurs facteurs expliquent ce succès fulgurant :

Une capacité technique impressionnante

RapidShare disposait d’une infrastructure colossale, avec des milliers de serveurs répartis dans le monde entier. Cela lui permettait de gérer un trafic énorme et d’offrir des vitesses de téléchargement élevées.

Un modèle économique efficace

Le service de base était gratuit, mais RapidShare proposait aussi des comptes premium payants offrant plus d’avantages (téléchargements illimités, vitesse maximale, etc.). Ce modèle freemium s’est avéré très rentable.

Une forte viralité

Le partage de liens RapidShare s’est généralisé sur les forums, blogs et réseaux sociaux. Le site bénéficiait ainsi d’un bouche-à-oreille massif et gratuit.

Une relative tolérance envers les contenus illégaux

Bien que RapidShare affirmait lutter contre le piratage, le site était largement utilisé pour partager illégalement des films, séries, musiques et logiciels. Cette tolérance de fait a contribué à sa popularité.

Au plus fort de son succès, RapidShare revendiquait :

  • Plus de 50 millions d’utilisateurs inscrits
  • Jusqu’à 400 000 téléchargements simultanés
  • 10 pétaoctets de données stockées
  • Plus de 500 employés

Le site générait alors des revenus estimés à plusieurs centaines de millions d’euros par an.

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Un homme aux cheveux noirs lissés en arrière, vêtu d'un costume, se tient en évidence au centre de l'image. Autour de sa tête s'élève un escalier en spirale, avec de petits personnages dans des poses et des tenues diverses, y compris certains avec des casques à cornes. L'arrière plan laisse deviner un grand cadran d'horloge avec des chiffres romains ornés, ressemblant au fonctionnement interne d'une machine entropique facétieuse.

Le PC : cette machine facétieuse et entropique

Léo, un jeune développeur passionné de technologie, pensait avoir trouvé le compagnon idéal pour ses projets ambitieux. Il avait investi dans un PC haut de gamme, qu’il avait baptisé “Loki”, en hommage au dieu nordique connu pour ses farces et ses tours.

Cependant, ce qu’il ignorait, c’est que Loki ne se contenterait pas d’être un simple outil de travail. Au contraire, il se révélerait être une machine capricieuse, capable de faire vivre à Léo des moments d’angoisse mêlés d’humour.

Le ballet imprévisible du démarrage

Chaque matin, Léo s’installait devant son bureau, prêt à plonger dans le monde du code et de la créativité. Mais avant de pouvoir ouvrir son éditeur de texte favori, il devait d’abord affronter le mystère du démarrage de Loki. Parfois, la machine se mettait en marche sans problème, affichant le logo Windows avec une rapidité déconcertante. D’autres fois, elle restait muette comme une tombe, refusant obstinément de dépasser l’écran du BIOS.

Un lundi matin particulièrement frustrant, Léo appuya sur le bouton d’alimentation avec l’espoir que Loki soit de bonne humeur. Après un bip prometteur et l’affichage du logo du fabricant, la machine s’arrêta brusquement. L’écran noir semblait se moquer de lui. Après plusieurs tentatives infructueuses et quelques soupirs exaspérés, Léo décida d’effectuer un redémarrage forcé. Cette fois-ci, Windows daigna s’afficher, mais au prix d’une lenteur insupportable. Chaque icône semblait hésiter avant de se dévoiler.

L’entropie : cette force capricieuse

L’imprévisibilité de Loki rappelait étrangement le concept d’entropie en thermodynamique. Ce terme désigne le degré de désordre dans un système : plus l’entropie est élevée, plus le système est chaotique. Tout comme l’entropie tend à augmenter naturellement dans un système fermé, le comportement erratique de Loki semblait se dégrader avec le temps.

Léo commença à réfléchir à ces parallèles entre son ordinateur et les systèmes thermodynamiques. Il comprit que chaque démarrage était une sorte d’expérience aléatoire où les résultats variaient considérablement. La variation d’entropie pouvait être représentée par l’équation ΔS = Sfinal – Sinitial : ici, l’état final de Loki était invariablement plus désordonné que son état initial.

Il se mit à imaginer Loki comme un petit univers en soi, où chaque démarrage était une nouvelle aventure pleine de surprises. Cette prise de conscience transforma sa frustration en curiosité.

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Une personne portant un t shirt orange est assise, penchée sur un ordinateur portable, les mains tenant sa tête en signe de frustration, probablement après avoir reçu des courriels de l'Éducation Nationale dont elle souhaite se désabonner. Une tasse turquoise et des écouteurs blancs sont posés sur la table à côté d'eux, sur un fond uni et clair.

Se désabonner des listes syndicales de l’Éducation Nationale

La communication dans l’Éducation Nationale est devenue un véritable défi pour les enseignants. Notre messagerie académique, autrefois outil professionnel essentiel, se trouve aujourd’hui submergée par un flot incessant de messages syndicaux, dont la pertinence est parfois discutable. Cette situation, loin d’être anodine, contribue à une surcharge informationnelle préoccupante.

La multiplication des canaux de communication

La messagerie académique n’est plus le seul vecteur d’information pour les professeurs. L’Environnement Numérique de Travail (ENT) et Pronote sont venus s’ajouter à l’arsenal communicationnel, offrant des fonctionnalités telles que la messagerie interne, les discussions et les chats. Cette diversification des canaux, bien qu’elle puisse sembler pratique à première vue, engendre en réalité une charge mentale considérable pour les enseignants.

L’impact sur le quotidien des enseignants

La gestion de multiples plateformes de communication nécessite un temps et une énergie non négligeables. Les enseignants se retrouvent contraints de jongler entre différents systèmes, chacun avec ses propres notifications et interfaces. Cette fragmentation de l’attention peut nuire à la concentration et à l’efficacité dans les tâches pédagogiques essentielles.

La surcharge informationnelle

L’afflux constant de messages, qu’ils soient syndicaux, administratifs ou pédagogiques, crée un bruit de fond informationnel difficile à gérer. Les informations importantes risquent de se perdre dans cette masse, rendant ardu le tri entre l’essentiel et le superflu. Cette surcharge peut mener à un sentiment de submersion et de stress chez les professeurs.

La nécessité de réduire le flux d’informations

Face à cette situation, il devient crucial de mettre en place des stratégies pour réduire le nombre de messages reçus. Une approche efficace consiste à se désabonner des listes syndicales jugées moins pertinentes pour sa pratique professionnelle. Cette démarche permet non seulement de diminuer le volume de courriels, mais aussi de recentrer son attention sur les informations véritablement utiles.

Le défi du désabonnement manuel

Jusqu’à présent, se désabonner des listes syndicales pouvait s’avérer fastidieux. Le processus impliquait de se rendre sur une page dédiée et de décocher manuellement chaque liste, une par une. Pour de nombreux enseignants, cette tâche chronophage s’ajoutait à une liste déjà longue de responsabilités administratives.

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Gros plan d'un stylo avec une poignée rouge posé sur une feuille de papier. Le papier contient du texte avec plusieurs mots entourés et d'autres soulignés à l'encre rouge, probablement issus d'un devoir de spécialité LLCER en anglais ou d'une préparation à l'examen du bac. Le stylo semble être utilisé pour éditer ou relire le document, en se concentrant sur les corrections apportées.

Réussir la transposition en spécialité anglais LLCER du bac

  1. Réussir la traduction de la spécialité Anglais LLCE
  2. Réussir la transposition en spécialité anglais LLCER du bac
  3. 10 conseils pour bien réussir l’épreuve de Compréhension Orale du bac
  4. La compréhension écrite au bac : la méthode pour réussir
  5. Conseils pour bien réussir l’épreuve d’Expression Orale du bac
  6. Bac : le dossier en spécialité LLCER Anglais
  7. Bac : épreuve orale de spécialité LLCER Anglais
  8. Conseils pour bien réussir le Grand Oral du Bac
  9. La synthèse de documents en LLCER : méthode pour réussir

La transposition est un exercice clé de l’épreuve écrite de spécialité Anglais LLCER (Langues, Littératures et Cultures Étrangères et Régionales) au baccalauréat. Pour les élèves de terminale, maîtriser cet exercice est essentiel pour réussir l’examen.

Cet article vise à vous fournir une compréhension approfondie de la transposition, ainsi que des conseils pratiques, une méthode détaillée et des techniques efficaces pour exceller dans cet exercice.

1. Comprendre la transposition

Avant de plonger dans les techniques, il est crucial de bien comprendre ce qu’est la transposition et ce qu’on attend de vous.

Définition et objectifs

La transposition consiste à rendre compte en français des idées principales d’un texte en anglais. Contrairement à la traduction mot à mot, elle exige une compréhension globale et fine du texte source, ainsi qu’une capacité à reformuler les idées de manière concise et structurée en français.

Les objectifs de cet exercice sont multiples :

  1. Évaluer votre compréhension approfondie du texte anglais.
  2. Tester votre capacité à identifier et hiérarchiser les idées essentielles.
  3. Vérifier votre aptitude à reformuler ces idées en français clair et correct.
  4. Évaluer votre capacité à structurer un compte-rendu cohérent.
  5. Mesurer votre maîtrise des nuances de la langue française.

Caractéristiques de la transposition

  • Longueur : généralement, une transposition doit faire environ un tiers de la longueur du texte original.
  • Style : le style doit être neutre et objectif, sans ajout d’opinions personnelles.
  • Contenu : vous devez restituer les idées principales et la structure argumentative du texte, sans entrer dans les détails secondaires.

2. Méthode détaillée pour réussir la transposition

Pour aborder efficacement l’exercice de transposition, suivez cette méthode en 5 étapes :

Étape 1 : Lecture attentive et analyse du texte source

  • Lisez le texte en entier au moins deux fois.
  • Lors de la première lecture, concentrez-vous sur la compréhension globale.
  • Pendant la deuxième lecture, soulignez ou surlignez les éléments clés :
  • Thème principal
  • Idées essentielles
  • Mots-clés et concepts importants
  • Structure argumentative
  • Identifiez la source, la date et le contexte du texte.

Étape 2 : Prise de notes structurée

  • Notez en français les éléments essentiels que vous avez identifiés.
  • Organisez vos notes de manière logique, en suivant la structure du texte original.
  • Utilisez des abréviations et des symboles pour gagner du temps.
  • Hiérarchisez les informations : idées principales, arguments secondaires, exemples.

Étape 3 : Élaboration d’un plan

  • Basez-vous sur vos notes pour créer un plan clair et structuré.
  • Votre plan devrait généralement comporter :
  1. Une introduction
  2. 2 à 3 parties principales correspondant aux idées majeures du texte
  3. Une conclusion

Étape 4 : Rédaction de la transposition

  • Introduction :
    • Présentez la nature du document, sa source, sa date et son thème principal.
    • Annoncez brièvement les grandes lignes du texte.
  • Corps de la transposition :
    • Développez les idées principales en suivant votre plan.
    • Utilisez des connecteurs logiques pour assurer la fluidité et la cohérence.
    • Reformulez les idées dans un français clair et précis, sans calquer les structures anglaises.
  • Conclusion :
    • Résumez le message global du texte.
    • Mentionnez le ton ou le point de vue de l’auteur si pertinent.

Étape 5 : Relecture et peaufinage

  • Relisez attentivement votre transposition.
  • Vérifiez la cohérence globale et la fidélité au texte source.
  • Corrigez les erreurs de grammaire, d’orthographe et de syntaxe.
  • Assurez-vous que votre français est fluide et naturel.

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Gros plan d'une page de dictionnaire, centrée sur le mot « anglais ». Le mot est en gras et écrit en texte noir, suivi des symboles de prononciation phonétique « /ˈɪŋɡlɪʃ/ ». Le texte environnant est légèrement flou, ce qui rend la définition et les autres mots partiellement visibles mais illisibles. De petites notes sur la « traduction » sont visibles.

Réussir la traduction de la spécialité Anglais LLCE

  1. Réussir la traduction de la spécialité Anglais LLCE
  2. Réussir la transposition en spécialité anglais LLCER du bac
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  5. Conseils pour bien réussir l’épreuve d’Expression Orale du bac
  6. Bac : le dossier en spécialité LLCER Anglais
  7. Bac : épreuve orale de spécialité LLCER Anglais
  8. Conseils pour bien réussir le Grand Oral du Bac
  9. La synthèse de documents en LLCER : méthode pour réussir

La traduction est un art délicat qui demande de la pratique, de la patience et une bonne compréhension des deux langues concernées. Pour les élèves de terminale préparant la spécialité LLCE (Langues, Littératures et Cultures Étrangères) en anglais, l’épreuve de traduction de l’anglais vers le français, aussi appelée “version”, peut sembler intimidante.

Cet article vise à vous fournir une méthode complète, des conseils pratiques et des techniques de traduction éprouvées pour vous aider à aborder cette épreuve avec confiance et à obtenir les meilleurs résultats possibles.

Comprendre l’épreuve de traduction

Avant de plonger dans les techniques de traduction, il est essentiel de bien comprendre ce qu’on attend de vous lors de l’épreuve de version du bac LLCE anglais.

Objectifs de l’épreuve

L’épreuve de traduction vise à évaluer votre capacité à :

  • Comprendre un texte en anglais dans toutes ses nuances
  • Restituer fidèlement le sens du texte en français
  • Maîtriser les subtilités de la langue française
  • Faire preuve de créativité et d’adaptation linguistique

Format de l’épreuve

Généralement, vous devrez traduire un extrait d’environ 250 mots tiré d’une œuvre littéraire anglophone. Le temps alloué est d’environ 1 heure, ce qui vous laisse le temps de bien analyser le texte et de peaufiner votre traduction.

La méthode en 5 étapes pour réussir votre traduction

Pour aborder efficacement votre traduction, suivez cette méthode en 5 étapes :

Étape 1 : Lecture attentive du texte source

Commencez par lire le texte en entier, sans chercher à traduire. Cette première lecture vous permettra de :

  • Saisir le contexte général
  • Identifier le ton et le style de l’auteur
  • Repérer les éventuelles difficultés ou passages ambigus

Étape 2 : Analyse du texte

Relisez le texte en vous concentrant sur :

  • La structure des phrases
  • Les champs lexicaux dominants
  • Les temps verbaux utilisés
  • Les expressions idiomatiques ou figures de style

Prenez des notes sur ces éléments, ils vous guideront dans vos choix de traduction.

Étape 3 : Première ébauche de traduction

Commencez à traduire le texte, paragraphe par paragraphe. À ce stade :

  • Ne vous attardez pas trop sur les détails
  • Laissez des blancs pour les mots ou expressions qui vous posent problème
  • Concentrez-vous sur la transmission du sens général

Étape 4 : Révision et peaufinage

Relisez votre première version en vous concentrant sur :

  • La fidélité au texte source
  • La fluidité et la naturalité en français
  • La cohérence des choix de traduction
  • La résolution des passages difficiles laissés en blanc

Étape 5 : Relecture finale

Effectuez une dernière lecture en vous mettant dans la peau d’un lecteur français qui découvrirait ce texte pour la première fois. Vérifiez :

  • L’orthographe et la grammaire
  • La ponctuation
  • La cohérence globale du texte

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Une couronne stylisée avec deux créatures héraldiques dos à dos, chacune ressemblant à un renard ou à un loup, est positionnée au centre sur un fond de formes géométriques violettes. En dessous, elle passe à un dégradé d'orange et de rouge rappelant les teintes vibrantes trouvées dans les versions Ubuntu Server 22.04 LTS et 24.04 LTS.

Mise à jour du serveur vers Ubuntu 24.04 LTS

L’heure est venue de mettre notre serveur Apollo à jour: jusqu’alors sous Ubuntu 22.04 (jammy jellyfish), nous passons à Ubuntu 24.04 LTS (noble numbat).

On installe l’outil de mise à jour Ubuntu:

apt install ubuntu-release-upgrader-core

On vérifie que l’outil est bien configuré pour récupérer la version LTS:

 grep 'lts' /etc/update-manager/release-upgrades

#  lts    - Check to see if a new LTS release is available.  The upgrader
Prompt=ltsCode language: PHP (php)

On ajoute une règle pour ufw pour ouvrir le port 1022 en cas de souci:

sudo ufw allow 1022/tcp comment 'Open port ssh TCP/1022 as failsafe for upgrades'
Rule added
Rule added (v6)Code language: JavaScript (javascript)

On lance la mise à jour:

sudo do-release-upgrade -d
Checking for a new Ubuntu release

= Welcome to Ubuntu 24.04 LTS 'Noble Numbat' =

The Ubuntu team is proud to announce Ubuntu 24.04 LTS 'Noble Numbat'.

Reading cache

Checking package manager

Continue running under SSH?

This session appears to be running under ssh. It is not recommended
to perform a upgrade over ssh currently because in case of failure it
is harder to recover.

If you continue, an additional ssh daemon will be started at port
'1022'.
Do you want to continue?

Continue [yN] y

Starting additional sshd

To make recovery in case of failure easier, an additional sshd will
be started on port '1022'. If anything goes wrong with the running
ssh you can still connect to the additional one.
If you run a firewall, you may need to temporarily open this port. As
this is potentially dangerous it's not done automatically. You can
open the port with e.g.:
'iptables -I INPUT -p tcp --dport 1022 -j ACCEPT'

To continue please press [ENTER]Code language: PHP (php)

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Une personne remplit un formulaire avec un stylo bleu sur un dossier ou un bloc notes bleu clair, travaillant peut être sur un essai en français. L'individu porte une chemise sombre. Une règle et une gomme sont visibles sur la table à côté du formulaire. L'accent est mis sur la main et la forme de la personne, le visage étant partiellement flou et flou.

Fiche méthode bac : l’essai en français

  1. Bac : méthode pour l’étude d’un texte poétique
  2. Fiche méthode bac : la dissertation en français
  3. Fiche méthode bac : réussir l’introduction et la conclusion du commentaire littéraire
  4. Fiche méthode bac : l’essai en français
  5. Fiche méthode bac : la contraction de texte

Présentation de l’essai

  • Définition : il s’agit de répondre à une question en lien avec la littérature en deux parties (la première prouve le sujet, la seconde le réfute), de façon argumentée (en utilisant des arguments et des exemples).
  • Elle s’organise en plusieurs étapes : l’introduction, la partie 1 constituée de minimum deux sous-parties, la partie 2 constituée de minimum deux sous-parties et la conclusion

Comment réussir l’introduction d’un essai ?

  • L’introduction commence toujours par un alinéa et doit contenir 4 étapes dans cet ordre :
  1. Faire une phrase d’accroche qui rappelle l’objet d’étude
    • Phrase outil :
      • Lorsqu’on étudie …., on peut se poser la question suivante :  « … ? »  (étape 2) …
        • le théâtre
        • la littérature d’idées
        • le roman
        • la poésie
  2. Rappeler le sujet :
    • On recopie la question posée dans le sujet en la mettant entre « ».
    • Phrase outil :
      • On peut se poser la question suivante : «… ? »
  1. Définir les termes importants du sujet 
    • Par exemple : définir ce qu’est le genre littéraire de l’apologue
    • Phrase outil :
      • Poser la question en ces termes interroge sur…
  1. Annoncer le plan
    • Phrase outil :
      • Dans un premier temps, nous montrerons que …
      • Dans un second temps, nous observerons que …

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Un livre ouvert repose sur une surface en bois, avec des lettres flottantes dispersées en arrière plan. Le texte « Contraction de texte » est affiché bien en évidence en noir au centre de l'image. Sur un fond flou de teintes blanches et grises, il ressemble à une fiche méthode utile pour les étudiants du bac.

Fiche méthode bac : la contraction de texte

  1. Bac : méthode pour l’étude d’un texte poétique
  2. Fiche méthode bac : la dissertation en français
  3. Fiche méthode bac : réussir l’introduction et la conclusion du commentaire littéraire
  4. Fiche méthode bac : l’essai en français
  5. Fiche méthode bac : la contraction de texte

Présentation de l’exercice

  • La contraction de texte porte toujours sur l’objet d’étude « la littérature d’idées » et est l’exercice combiné à l’essai. Chacun est sur 10 points.
  • Contraction = résumé d’un texte argumentatif, extrait d’un journal ou d’un essai.
  • Il s’agit de réduire le texte en reprenant ses idées essentielles et en respectant un nombre de mots donnés

Quelles règles à appliquer pour réussir la contraction de texte ?

  • Reformuler avec ses propres mots : pas de montage de citations
  • Respecter la contrainte du nombre de mots.
  • Suivre le texte d’origine :
    • respecter l’ordre des idées du texte
  • Neutralité et objectivité :
    • même si on ne partage pas les opinions de l’auteur, on ne déforme pas sa pensée
  • Adopter le même système d’énonciation
    • mêmes pronoms : il, je
    • mêmes temps verbaux : présent / passé
      • Attention :
        • pas de « selon l’auteur »
        • pas de « l’auteur affirme que »

Quelle méthodologie adopter ?

  • Etape 1 : Prendre contact avec le texte
    • date, auteur, titre : comportent-ils des éléments d’information utiles pour comprendre le sens du texte ?
  • Etape 2 : Lire le texte
    • Il faut le faire au minimum 2 fois jusqu’à être capable de :
      • saisir le sujet du texte (de quoi il parle?)
      • définir la thèse de l’auteur (quelle idée l’auteur défend-il?)
      • identifier dès le départ au brouillon
        • les pronoms utilisés (je / il / on)
        • les temps verbaux (présent ? Passé ?)
  • Etape 3 : Analyser le texte
    • repérer les mots de liaison qui explicitent l’enchaînement des idées (lire la première et la dernière phrase d’un paragraphe est souvent précieux pour cela)
    • on peut à ce stade souligner les mots-clés, les phrases-clés (attention, les passages soulignés doivent être courts)
  • Etape 4 : Etablir le plan du texte
    • reformuler les idées et les arguments du texte, paragraphe par paragraphe
    • Repérer l’essentiel de l’accessoire (essentiel : arguments / accessoire : exemples)
  • Etape 5 : Rédiger le résumé
    • Etre attentif à respecter la personne qui parle (on / il / nous…) et au temps verbal utilisé (présent ou passé)
    • reformuler avec ses propres mots en suivant le plan du texte
    • supprimer les exemples, les citations (sauf s’ils ont une réelle valeur argumentative)
    • insérer des connecteurs logiques

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Les mains d'une personne sont représentées tenant un crayon et écrivant sur un bloc notes. La superposition de texte indique « Méthodologie Littéraire : Commentaire Littéraire » en lettres blanches sur fond sombre, mettant en valeur la méthode bac. En arrière plan, un livre vert est partiellement visible sur la table. La scène est bien éclairée.

Fiche méthode bac : réussir l’introduction et la conclusion du commentaire littéraire

  1. Bac : méthode pour l’étude d’un texte poétique
  2. Fiche méthode bac : la dissertation en français
  3. Fiche méthode bac : réussir l’introduction et la conclusion du commentaire littéraire
  4. Fiche méthode bac : l’essai en français
  5. Fiche méthode bac : la contraction de texte

Fiche méthode bac : réussir l’introduction générale du commentaire littéraire

Mise en page de l’introduction au sein du devoir :

  • L’introduction générale du commentaire littéraire est le premier paragraphe du devoir
    • elle commence toujours par un alinéa
    • elle constitue un seul bloc : on ne va pas à la ligne à l’intérieur de l’introduction
  • On saute deux lignes entre l’introduction générale et la première partie du commentaire.

Comment bien la réussir ?

  1. Présenter l’auteur
    • son nom et son prénom
    • son siècle (en chiffres romains, ex : XXème siècle)
    • son mouvement littéraire et la définition de ce mouvement (si on le connaît)
      • est un auteur du … ème siècle. Il est connu pour être une figure importante du mouvement … qui consiste à …
  2. Présenter l’œuvre
    • son titre (souligné !)
    • son genre (théâtre, roman, nouvelle, poésie, …)
    • son résumé en une phrase (si possible)
      • (auteur) a écrit …. qui est un roman / une pièce de théâtre. Cette œuvre raconte …
  3. Présenter le texte étudié
    • sa situation dans l’œuvre (début, moment très attendu, fin…)
    • les personnages qui apparaissent dans le texte
    • ce qui se passe dans l’extrait étudié en une phrase
    • son registre (comique, parodique, épique…)
      • Le texte étudié est l’incipit de l’œuvre et fait apparaître pour la première fois le personnage de … et de….
      • L’extrait, situé au milieu/ début / fin de l’oeuvre présente… .
  1. Présenter la problématique
    • Ainsi, nous nous poserons la question suivante : …. ?
  1. Annoncer le plan
    • Nous déclinerons donc notre développement en deux temps. Dans un premier temps, nous développerons l’idée que… Puis, dans un second temps, nous démontrerons que…

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